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Premier ouvrage rétrospectif d'une oeuvre déjà très collectionnée, il rassemble sept séries de collages de Katrien de Blauwer. Après une exposition très remarquée à la célèbre galerie des Filles du Calvaire au printemps 19 et au Fotomuseum de Rotterdam cet hiver, Katrien de Blauwer exposera à Arles cet été une toute nouvelle série.
Le catalogue de l'exposition qui se tient au Jeu de Paume à Tours en 2022, avec plus de 250 photographies réalisées après-guerre par Frank Horvat, entre 1950 et 1965.
Né en Italie en 1928, de parents juifs originaires d'Europe centrale, réfugié en Suisse en 1939, Frank Horvat commence la photographie au début des années 1950. De 1952 à 1955, ses premiers voyages au Pakistan, en Inde, en Israël et en Angleterre lui valent de nombreuses parutions dans la presse internationale. Parvenant à capter en gros plans des scènes d'une grande intensité et parfois des lieux interdits, il se révèle un photographe du corps et de l'intime. Une fascination qu'il exprimera aussi dans ses images de mode pour Jardin des modes, Vogue, Harper's Bazaar ou dans les vibrations hallucinées d'un tour du monde effectué en 1962-1963, resté largement inconnu.
Publié à l'occasion de l'exposition au Jeu de Paume-Tours, ce catalogue se concentre sur les quinze premières années de la carrière de Frank Horvat, période durant laquelle il affirme une personnalité hors norme d'auteur-reporter et de photographe de mode. Cet ouvrage constitue la première monographie historique sur l'oeuvre de Frank Horvat, renouvelant la vision et l'analyse de son travail, à travers un ensemble de photographies, de documents inédits et de textes de spécialistes.
« J'aime le soleil ; il n'y en a plus à Paris », aurait déclaré Helmut Newton à l'officier monégasque en charge d'instruire son dossier. Nous sommes en 1981, et c'est sur un trait d'humour que le photographe d'origine allemande arrive à Monte-Carlo, après vingt ans passés à Paris.
Son installation à Monaco n'a rien d'une retraite. Cette période est même une des plus prolifiques et, sans conteste, la plus libre de sa carrière. Il s'essaye ainsi au paysage et développe une de ses séries les plus personnelles, « Yellow Press », images étranges, d'un glamour inquiétant, inspirées de scènes de crimes.
Naturellement, Monaco offre à Newton un cadre original à ses photographies de mode. C'est là aussi qu'il réalise de très nombreux portraits de beautiful people. Ils ont pour noms David Bowie, Michael Cimino, Isabelle Huppert, Paloma Picasso, Robert Evans, etc. Il portraiture également les danseurs des Ballets de Monte-Carlo et la famille princière, notamment la princesse Caroline dont il est proche.
L'exposition « Newton, Riviera » laisse apparaître, d'image en image, un Newton solaire portant un regard à la fois ironique et fasciné sur un mode de vie élégant et facile, un monde d'apparences et de faux-semblants, dont il était à la fois l'acteur et le témoin privilégié.
Ce guide se présente comme un indicateur de nouvelles tendances en matière de mode, de design, d'arts plastiques ou de gourmandises. Il propose une sélection d'adresses (hôtels, restaurants, cafés, bars, objets de qualité, etc.), des flâneries urbaines, un agenda des manifestations ou encore des informations pratiques. Avec le programme de l'édition 2021 des Rencontres de la photographie.
Louis Vuitton Fashion Eye est une collection d'albums photographiques qui donne à voir une destination à travers l'oeil d'un photographe de mode. Elle instaure un dialogue inédit entre des talents émergents, des photographes chevronnés et des légendes de la photographie de mode ; Fashion Eye met en regard la création actuelle et des trésors d'archives méconnus pour constituer une collection d'ouvrages de référence, tant dans son approche que dans son esthétique.
Consacrée aux artistes portugais Pedro Costa (né en 1959), Rui Chafes (né en 1966) et Paulo Nozolino (né en 1955), cette exposition collective se présente sous la forme d'un dialogue renouvelé entre cinéma, sculpture et photographie.
Articulée autour de l'installation « As filhas do Fogo » de Pedro Costa et Rui Chafes, et du film « Minino macho, Minino fêmea » de Pedro Costa accompagnés d'une série de photographies de Paulo Nozolino, l'exposition est pensée comme un parcours mental et immersif à la croisée des interrogations plastiques de ces trois artistes engagés, au fil des années, dans une collaboration féconde.
Vivid, bold, spectacular and unexpected: a definitive overview of one of contemporary photography's most innovative fields, showcasing flower imagery by more than 120 of the world's leading practitioners.
There has never been a period in photography's long history - no school, no movement - when flowers have not been a central focus, whether in the form of the classic still life, the botanical study, incorporated into portraiture and studies of the human body, documented in street photography, or used subversively in surrealist collage and montage.
Today, flower photography remains in full bloom, with photographers the world over depicting flowers and floral motifs in novel ways. Featuring works by more than 120 photographers, Flora Photographica links the very best of flower photography from the past thirty years with its predecessors - canonical floral studies from the realms of photography, botanical illustration, drawing and painting that have marked the collective imagination for centuries, if not millennia.
Works by contemporary photographers such as Cindy Sherman, Thomas Ruff, Vik Muniz, Valerie Belin, Viviane Sassen, and Martin Schoeller appear across nine thematic chapters, complemented by two in-depth essays by curators William A. Ewing and Danae Panchaud exploring the relationship between contemporary works and the rich traditions of floral art and photography.
Vibrant and abundant with myriad species of flora, this stunning book is both a celebration of organic beauty and a keen look at the meaning of flowers in human culture - not to mention an insightful look at a key aspect of contemporary photography - making it a must-have publication for lovers of flowers and photography alike.
Premier livre consacré au photographe d'origine écossaise Alexander Henderson (Édimbourg, 1831-Montréal, 1913), artiste amoureux de la nature sauvage du Canada. Arrivé à Montréal en 1855 à l'âge de 24 ans,Alexander Henderson n'aura de cesse d'explorer le territoire de son nouveau pays et d'exprimer dans ses paysages les émotions que lui procurent la forêt, les cours d'eau, la glace et la neige des hivers canadiens. Une atmosphère de sérénité et de contemplation traverse son oeuvre empreinte de romantisme. La vie dans les bois tout comme l'ambiance de la ville et la beauté du givre sont rendues avec une même sensualité qui le distingue de ses contemporains. Plus de 170 reproductions fidèles aux tirages d'époque font voyager au gré des saisons, depuis Montréal vers les régions éloignées du Québec et de l'Ouest canadien durant la seconde moitié du dix-neuvième siècle. Deux textes présentent d'une part la biographie de l'artiste et d'autre part l'influence du régime colonial britannique sur le style et les sujets des photographies de Henderson. Cet ouvrage comblera les collectionneurs et les historiens de la photographie canadienne, de même que tous les fervents de nature et de paysages.
Un beau livre somme, le plus complet jamais publié sur l'oeuvre magistrale d'August Sander - photographe attaché à révéler son époque (le XXe siècle), et qui fait date dans l'histoire de la photographie.
Né en Allemagne, le photographe portraitiste August Sander (1876-1964) s'est attaché dans sa pratique artistique à transmettre une image fidèle et objective de son époque. Au milieu des années 1920, il s'attelle à un ambitieux projet intitulé « Hommes du XXe siècle » : dresser à grande échelle une chronique documentaire la plus exacte possible de la société. Ainsi, sur plusieurs décennies, August Sander réalise des centaines de portraits de ses contemporains, seuls ou à plusieurs, classés par profession ou selon des critères sociaux ou familiaux et visant à représenter les différentes strates de la société classées en sept groupes différents : « le paysan », « l'artisan », « la femme », « les catégories socioprofessionnelles », « les artistes », « la grande ville », et enfin, sur les thèmes du grand âge, de la maladie et de la mort, « les derniers des hommes ». Remaniée à maintes reprises au fil des années, cette entreprise monumentale l'occupa jusqu'à la fin de sa vie. Elle fut partiellement publiée mais resta inachevée. Dans cette nouvelle édition en un seul volume, la plus complète jamais publiée, sont rassemblés 619 portraits en noir et blanc ainsi qu'une nouvelle analyse de l'oeuvre. Un travail magistral sans équivalent considéré comme un classique de la littérature photographique, unique dans l'histoire de cet art - aussi bien sur le plan du concept que du projet lui-même.
Jean-Christophe Béchet poursuit depuis plusieurs décennies une oeuvre photographique qui se déploie dans l'univers urbain et notamment dans la rue. Il s'inscrit alors dans ce courant photographique nommé Street Photography qui puise ses racines dans la tradition américaine. Dans ce nouvel ouvrage, il revisite son travail et sélectionne une centaine de photographies prises tout au long de sa carrière qui interrogent directement les différentes situations propres à ce genre photographique. Trois entretiens approfondis avec des spécialistes de l'image accompagnent ce parcours afin de réfléchir sur la spécificité de cette pratique, de questionner sa nature même, de voir ce qu'elle peut mettre en jeu, et de tenter d'en définir certains contours. De là nait l'idée de faire émerger un Manifeste photographique qui propose une lecture singulière et contemporaine de la Street Photography.
Aujourd'hui, vingt-deux ans après sa disparition, il était temps de se pencher sur son Å«uvre pour essayer de mieux la comprendre et la cerner. Pro tant du premier con nement, Claude Nori qui fut son ami et principal éditeur est parti à la recherche des moments précieux et plutôt joyeux qu'ils passèrent ensemble. À travers ses souvenirs, il évoque les grands événements et les thèmes majeurs qui structurent son travail : la mode, le nu, la publicité, le paysage, le portrait ou encore son goût pour l'écriture et la littérature. Il évoque des anecdotes du quotidien, leurs af nités sentimentales, les rencontres improbables et la complicité vivante qui les unissait pour une photographie poétique.