Venue d'outre-Atlantique, la « cancel culture » menace de saper les fondements de notre civilisation : statues déboulonnées, auteurs classiques rayés des programmes scolaires, livres mis à l'index. Face à cela, il est urgent de faire oeuvre de transmission, en sortant de l'oubli ou en mettant en lumière des oeuvres fondatrices.
Dans un premier volume, la Bibliothèque du jeune Européen, Alain de Benoist et Guillaume Travers présentaient 200 essais pour « apprendre à penser ». Ce second volume est tout entier consacré aux oeuvres de fiction, des récits mythologiques à la poésie, en passant évidemment par le roman ou la bande dessinée. Plus de 400 oeuvres sont présentées et analysées, offrant un précieux guide de lecture pour tous les âges. Le panorama ainsi offert, de l'Antiquité à nos jours, des pays latins à la Scandinavie, de l'Irlande à la Russie, donne à voir la richesse de l'univers esthétique européen. Les sensibilités qui s'y incarnent, les styles qui nous élèvent, les émotions dont on s'enivre par les grandes oeuvres, dessinent par petites touches la vaste fresque de notre héritage culturel propre.
La transmission est en crise. Pour les Européens de notre temps, la tentation est grande de se laisser bercer par les écrans, les slogans publicitaires et le conformisme ambiant. De suspendre tout jugement critique. De cesser de penser.
Par une sélection de 200 oeuvres marquantes dans l'histoire des idées, cet ouvrage pose des jalons essentiels pour quiconque veut penser le monde. Les textes présentés sont presque exclusivement des essais, auxquels ont été adjoints certains écrits fondateurs des mythologies européennes et de rares oeuvres de fiction ayant laissé une image indélébile dans l'imaginaire européen. Les oeuvres retenues sont d'une grande diversité, couvrant de nombreuses familles de pensée et la quasi-totalité des sciences humaines et naturelles. À qui veut aiguiser sa pensée, ce livre donne une vision du monde, tout en permettant d'explorer des voies transversales, nouvelles.
Fruit du travail d'une quarantaine d'auteurs, cette bibliothèque idéale est la meilleure porte d'entrée pour accéder au patrimoine intellectuel de notre continent. Tous les grands thèmes traversant les sols d'Europe depuis plusieurs millénaires y sont traités avec clarté et rigueur.
Lié de nombreuses années avec le grand écrivain allemand Ernst Jünger (1895-1998), prix Goethe 1982, Alain de Benoist passe ici au crible près dun siècle de création littéraire.
Si l'on refuse l'égalitarisme, faut-il pour autant se satisfaire de toutes les inégalités ? Non, carl'égalité bien comprise n'est jamais un absolu. Les hommes peuvent être égaux sous certainsrapports - par exemple, leur appartenance politique à une communauté - et inégaux sous d'autres. En tant qu'être communautaire, l'homme doit nécessairement admettre de telles formes d'égalité. Ce qui doit être combattu, en revanche, est l'« idéologie du Même », qui est au coeur de la dynamique moderne. Celle-ci vise l'arasement pur et simple de toutes les différences, la neutralisation du monde, et l'effacement des communautés - au nom d'une vision purement mathématique de l'égalité. C'est une dénaturation pathologique du concept d'égalité politique. L'égalité n'est pas synonyme de mêmeté.
La vogue actuelle de l'écologie (et de l'écologisme) s'explique par deux facteurs essentiels : l'aggravation des pollutions de toutes sortes, qui saccagent les paysages, détruisent les écosystèmes, infectent les nappes phréatiques et menacent les océans ; et l'épuisement programmé des réserves naturelles, dont on sait aujourd'hui qu'elles ne sont ni inépuisables ni gratuites, à un moment où plus des trois-quarts de nos ressources énergétiques sont encore des ressources fossiles (gaz, pétrole, charbon, uranium).
S'y ajoutent les débats sur le réchauffement climatique, le traitement des déchets industriels et nucléaires, les perturbateurs endocriniens, les menaces sur l'alimentation, etc.
De nombreux auteurs se sont déjà attachés à étudier ces problèmes. Mais peu l'ont fait au point de prendre fermement position en faveur de la décroissance.
Le constat de base que font les « décroissants » est celui-ci : une croissance matérielle infinie est impossible dans un espace fini (comme l'est notre planète). Sans pour autant vouloir arrêter l'histoire ni retourner en arrière, vient un moment où il est nécessaire comprendre que « plus » ne veut pas automatiquement dire « mieux » et qu'il est parfois nécessaire de dire : « C'est assez ! » Alain de Benoist, à qui l'on doit déjà de nombreux essais d'histoire des idées et de philosophie politique, explique dans ce nouveau livre pourquoi le « développement durable » est voué à l'échec : en prétendant concilier croissance et écologie, il revient, dans le meilleur des cas, à réduire la vitesse sans pour autant changer de cap dans la mauvaise direction. La notion même de croissance, issue de la modernité occidentale, est ici déconstruite à partir d'une critique radicale, qui s'appuie notamment sur les notions d'« empreinte écologique » et d'« effet-rebond ».
L'ouvrage contient également plusieurs textes sur le sens profond de le pensée écologiste, ainsi que sur l'idée de « valeur intrinsèque de la nature ». L'auteur plaide, en conclusion, pour restituer un rapport de co-appartenance à la nature rompant avec l'idée d'un monde transformé en simple objet du vouloir humain : « Le monde naturel n'est pas un simple décor de nos existences, c'est l'une des conditions systémiques de la vie ».
Une société libérale est une société où dominent la primauté de l'individu isolé, l'idéologie du progrès, l'idéologie des droits de l'homme, l'obsession de la croissance, la place disproportionnée des valeurs marchandes, l'assujettissement de l'imaginaire symbolique à l'axiomatique de l'intérêt. Le libéralisme a acquis en outre une portée mondiale depuis que la mondialisation a institué le capital en tant que réel sujet historique de la modernité.
Il est à l'origine de cette mondialisation, qui n'est jamais que la transformation de la planète en un immense marché. Il inspire ce qu'on appelle aujourd'hui la "pensée unique" libérale-libertaire. Et bien entendu, comme toute idéologie dominante, il est aussi l'idéologie de la classe dominante. Le libéralisme est une doctrine philosophique, économique et politique, et c'est comme tel qu'il doit être étudié et jugé.
Le vieux clivage droite-gauche est à cet égard de peu d'utilité, puisque la gauche morale, oubliant le socialisme, s'est ralliée à la société de marché, tandis qu'une certaine droite conservatrice ne parvient toujours pas à comprendre que le capitalisme libéral détruit systématiquement tout ce qu'elle veut conserver. Ce livre se propose d'aller à l'essentiel, au coeur de l'idéologie libérale, à partir d'une analyse critique de ses fondements, c'est-à-dire d'une anthropologie essentiellement fondée sur l'individualisme et sur l'économisme - celle de l'Homo oeconomicus.
Utilisée par les Germains à partir du 1er siècle de notre ère pour transcrire diverses langues germaniques antérieurement à l?alphabet latin, puis concurremment avec lui, l?écriture runique, attestée par plusieurs milliers d?inscriptions, reste à certains égards une énigme. Du fait de son apparition relativement tardive, les spécialistes se divisent entre ceux qui la font dériver du latin, ceux qui la rattachent à l?alphabet grec et ceux qui font appel aux alphabets nord-italiques (ou « nord-étrusques »). Mais aucune de ces solutions n?est de nature à expliquer les particularités spécifiques de l?écriture runique : l?ordre des lettres, qui diffère totalement de celui des alphabets méditerranéens, leur regroupement en trois séries immuables de huit runes (les ættir), le fait que chaque rune porte un nom qui lui est propre (le phonème initial de ce nom déterminant la valeur phonétique de la rune), etc.
En s?en tenant aux données strictement scientifiques, à l?exclusion de toutes les interprétations fantaisistes qui ont fleuri depuis deux siècles, ce livre reprend l?ensemble du dossier. Il examine les arguments en présence, aborde la question d?un usage symbolique ou « magique » des runes antérieur à leur usage comme écriture, s?interroge sur la possible homologie des ættir et des trois phases du cycle lunaire, puis dresse un bilan plus général de ce que l?on sait actuellement sur l?apparition et la diffusion de l?écriture en Europe.
« Qu'on s'explique ! », disait Céline. C'est précisément ce que fait Alain de Benoist dans ce livre. Il s'explique sur son itinéraire, sur ses idées, sur les livres qu'il a publiés. Quand on veut juger la perspective d'une peinture, on prend un peu de recul. Il en va de même de l'actualité : une certaine distance est nécessaire pour saisir la portée d'un événement. Se tenant à l'écart de la politique politicienne, Alain de Benoist observe, analyse, compare - et propose des réponses sur l'essentiel dans ces entretiens d'une actualité brûlante, qui interrogent l'harmonie rompue d'un monde où l'homme, hors-sol, évolue selon le critère de l'indistinction et se voue à la nouvelle religion planétaire : l'économie. Dans cet univers, l'échange marchand régit le moindre des rapports ; et la terre, sacrifiée, devient peu à peu une poubelle. Remplacer, déconstruire, polluer, circuler : où nous conduiront les prédicats de la gabegie mondialiste ? Sans jamais céder aux sirènes du réductionnisme droite-gauche, ni verser dans un manichéisme confortable, Alain de Benoist nous livre sa pensée, incisive et non conformiste, loin des idées battues de la doxa politico-médiatique. Simple. Efficace. Percutant.
« Il y a des idées qui surgissent brusquement, on ne sait d'où ni comment, qu'on trouve intéressantes mais qui ne restent dans la tête que quelques instants. Comme un papillon qui s'envole. Pour les retenir, il faut les attraper au vol, et les transcrire immédiatement. Mes carnets, au fond, sont aussi ceux d'un chasseur de papillons. » Tantôt lumineuses, tantôt graves, le lecteur trouvera au fil de ces pages autant de ces idées « sans tige, qui voltigent » à la façon des papillons de Nerval. Des réflexions, des pensées, des aphorismes, des citations choisies, révélant une nature portée à la beauté et à l'exil. Alain de Benoist y cultive, comme l'Argonaute, un esprit d'aventure dans l'intelligence, avec cette sagacité qui est le ferment des grands livres.
Alain de Benoist, qu'on a longtemps présenté comme le chef de file de la «Nouvelle Droite», reste aujourd'hui mal connu. Intellectuel atypique, qui a toujours voulu être fidèle à la pensée critique, il appartient au petit nombre des penseurs français étudiés à l'étranger. En France, il reste ostracisé dans certains milieux, qui ne l'ont généralement pas lu. Trop de malentendus sont venus brouiller la perception de son oeuvre.
Mémoire vive est l'occasion de les dissiper. Dans ces entretiens menés à bâtons rompus, Alain de Benoist s'explique pour la première fois sur son parcours personnel et sur son itinéraire intellectuel, centré sur la philosophie politique et l'histoire des idées. Il dit pourquoi il a choisi de se tenir à l'écart de l'action politique et comment il n'a jamais voulu se laisser prendre au piège des postures partisanes dans lesquelles Ortega y Gasset voyait une forme d'hémiplégie morale.
Paul Valéry mettait en garde contre la « comédie de la sincérité » à l'oeuvre dans toute entreprise autobiographique. Le risque pour tout penseur est de camper sur des positions acquises. Rien de tel ici. Lecteur infatigable et auteur prolifique, Alain de Benoist se confie à coeur ouvert, offrant le portrait d'un homme à l'affût de tout, très loin des clichés et des caricatures. À mi-chemin de l'autobiographie et du bilan philosophique, cet intellectuel engagé fait défiler au fil des pages un demi-siècle d'histoire.
Des hommes et des idées, des livres et des rencontres. Le tout esquissant la physionomie de l'époque et le visage de l'auteur.
Théorisé dans les dernières années du XIXe siècle par Georges Sorel, le syndicalisme révolutionnaire se distinguait des autres tendances du mouvement socialiste par son insistance sur l'idée de grève générale et son refus de participer au jeu des partis politiques et de la démocratie parlementaire.
La classe ouvrière devait se libérer par ses propres moyens afin d'instaurer une « société de producteurs» sur les ruines de la société bourgeoise, d'où l'importance donnée aux syndicats et à l'« action directe ».
Telle est la doctrine qui triompha en 1906 à l'intérieur de la CGT, avec l'adoption de la célèbre Charte d'Amiens.
Considéré par les historiens des idées comme le meilleur disciple de Georges Sorel, Édouard Berth resta toujours fidèle à l'idéal du syndicalisme révolutionnaire.
À l'exemple de son maître, il se voulait un « serviteur désintéressé du prolétariat ». Mais son parcours fut plus qu'original. Formé à l'école de Proudhon et de Marx, admirateur des valeurs héroïques de l'Antiquité, il participa aux côtés de Georges Valois à l'aventure du Cercle Proudhon, fut successivement séduit par Maurras et Lénine, qu'il entreprit ensuite de critiquer vigoureusement. Il mourut en 1939, à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
Ce livre, qui s'appuie sur des documents inédits, est la première biographie publiée sur Édouard Berth.
Il éclaire toute une époque d'une lumière nouvelle.
Voici Liann, un petit faune haut comme trois pommes, chargé d'une mission bien périlleuse : sauver une forêt menacée de destruction. Doté de pouvoirs magiques qu'il a parfois du mal à maîtriser, avec l'aide des créatures fabuleuses qui l'entourent et d'un jeune garçon débrouillard, il mettra tout en oeuvre pour y parvenir ! Un peu de magie et de fantaisie, du suspense et de l'action, un message respectueux de l'environnement : cette histoire rythmée et délicieusement illustrée s'adresse aux jeunes lecteurs et à tous ceux qui ont gardé leur âme d'enfant.
L'extraordinaire défiance de couches de population toujours plus larges envers les « partis de gouvernement » et la classe politique en général, au profit de mouvements d'un type nouveau, qu'on appelle « populistes », est sans nul doute le fait le plus marquant des transformations du paysage politique intervenues depuis au moins deux décennies.
Ce phénomène, qui a d'abord touché l'Europe du Sud et de l'Ouest (Syriza, Podemos, Front national, Mouvement Cinq étoiles), avant de s'étendre à l'Allemagne (montée de l'AfD) et aux pays anglo-saxons (« Brexit » britannique), atteint même désormais les Etats-Unis (phénomènes Trump et Sanders). Partout se confirme l'ampleur du fossé séparant le peuple de la Nouvelle Classe dominante. Partout émergent de nouveaux clivages qui rendent obsolète le vieux clivage droite-gauche.
Mais que faut-il exactement entendre par « populisme », étiquette aujourd'hui péjorative employée comme une sorte de fourre-tout par des esprits trop souvent partisans ou paresseux ? C'est à ce question que cherche à répondre ce livre, qui part de l'actualité la plus immédiate pour situer les enjeux politiques, sociologiques et philosophiques du débat.
L'auteur fait notamment le point sur la nature et le sens exact de la crise de la représentation et de la crise de la démocratie (la « gouvernance » nous fait-elle entrer dans une ère post-démocratique ?), sur l'histoire du populisme et sur la façon dont ses représentants entendent répondre à ceux qui veulent « gouverner sans le peuple ».
Plusieurs chapitres sont également consacrées aux « conservateurs de gauche », à Ernesto Laclau, théoricien de gauche du populisme, aux thèses de Jean-Claude Michéa, ainsi qu'à celles d'Antonio Negri et Michael Hart (la théorie des « multitudes »).
A quelques mois de l'élection présidentielle, où le débat sur le populisme ne va pas manquer d'être relancé avec vigueur, Alain de Benoist publie un véritable manuel de la question.
Voici Liann, un petit faune haut comme trois pommes, chargé d'une mission bien périlleuse : sauver une forêt menacée de destruction. Doté de pouvoirs magiques qu'il a parfois du mal à maîtriser, avec l'aide des créatures fabuleuses qui l'entourent et d'un jeirne garçon débrouillard, il mettra tout en oeuvre pour y parvenir ! Un peu de magie et de fantaisie, du suspense et de l'action, un message respectueux de l'environnement : cette histoire rythmée et délicieusement illustrée s'adresse aux jeunes lecteurs et à tous ceux qui ont gardé leur âme d'enfant.
« Penser à » n'est pas la même chose que penser tout court. La tâche de l'historien des idées consiste à étudier et à faire connaître l'oeuvre de ceux qui ont proposé diverses grilles d'interprétation, diverses façons de voir et de comprendre le monde, révélant ainsi ce que penser veut dire.
À l'époque moderne, Rousseau s'est efforcé de penser la nature de l'homme et l'origine de la société, Carl Schmitt la nature du politique, Karl Marx l'essence du capitalisme. Sigmund Freud et Carl Jung ont tenté de jeter les bases d'une psychologie des profondeurs, Gustave Le Bon s'est penché sur la psychologie des foules, Jules Monnerot a analysé le phénomène totalitaire, Michel Villey a entrepris de révéler la véritable nature du droit.
C'est l'oeuvre de ces penseurs et de bien d'autres, de Heidegger à Arthur Koestler, de Goethe à Georges Sorel, de Nietzsche à Montherlant, de Leo Strauss à Jean Baudrillard, de Charles Péguy à Hannah Arendt, de Denis de Rougemont à Julien Freund, qui est présentée de façon vivante et pédagogique dans ce livre.
Tous ces auteurs attestent que le travail de la pensée a joué un rôle décisif dans l'histoire, entraînant des mutations bien différentes des révolutions bruyantes, des grandes explosions que tout le monde connaît mais qui sont restées sans lendemain. « Les révolutions silencieuses sont les plus efficaces », disait Jünger. Ce sont peut-être aussi les plus passionnantes.
Alain de Benoist, écrivain, philosophe, directeur des revues « Nouvelle École » et « Krisis », est l'auteur d'une centaine de livres consacrés pour la plupart à la philosophie politique et à l'histoire des idées.
Tout au fond de la forêt, à l'abri du regard des humains, vit le mystérieux peuple des faunes. Et parmi eux, Liann l'enfant faune.
Curieux et épris de liberté, il décide de quitter sa forêt pour explorer le monde et découvrir la civilisation des hommes. Dans cette toute première aventure de la série, il connaîtra l'amitié mais devra aussi surmonter bien des dangers. Mis en cage et emmené à la ville, pourra-t-il un jour revoir sa famille ?
Les auteurs, à travers ce petit personnage, abordent des questions comme le respect de tous les êtres vivants et l'acceptation des différences. Avec les deux tomes suivants, Liann et la forêt menacée, et Liann et le bâton de pluie, parus aux éditions Ex Aequo, ils délivrent également un message en faveur de la nature et de la biodiversité.
Dans leur village au fond des bois, les faunes sont frappés par un mal mystérieux et perdent peu à peu leurs pouvoirs magiques. Que se passe-t-il ?
Pour le découvrir et sauver son peuple, Liann se risque une fois de plus dans le monde des hommes. Mais affaibli lui-même par la maladie, pourra-t-il mener sa mission à bien ?
Heureusement, ses amis Khali, Brunelle et la fée Capucine seront à ses côtés, sans oublier la fidèle Althéa toujours disposée à lui prêter main forte quand le danger le menace.
On n'épiloguera pas ici sur le mot « droite », dont la valeur est nécessairement conventionnelle. Notre « Bibliographie générale des droites françaises » réunit des auteurs qui ont généralement - mais pas toujours - été classés « à droite » ou dont se sont réclamés des courants de pensée étiquetés eux-mêmes de la sorte. Il reste que parmi les auteurs dont nous traitons, on trouve de tout : des monarchistes et des républicains, des révolutionnaires et des conservateurs, des nationalistes et des européens, des libéraux et des antilibéraux, des antisémites et des philosémites, des chrétiens et des antichrétiens. Cette diversité même des auteurs et de leurs oeuvres, de leurs idées comme de leurs engagements, montre combien le caractère unitaire du mot « droite » est illusoire, et combien il est malaisé de les rassembler sous une même désignation. ?Alors même qu'il ne se sent pas nécessairement d'affinités avec les écrivains ou les théoriciens dont il s'est occupé, l'auteur de ce travail est à cet égard conscient d'être allé à contre-courant. À sa façon, toute bibliographie relève d'un « travail de mémoire ». Elle aide à maintenir hors de l'oubli des noms qui ont marqué une époque et joué un rôle dans la vie culturelle, littéraire ou intellectuelle. Elle offre au regard un panorama qui dévoile l'étendue d'une oeuvre et permet d'apprécier l'influence que celle-ci a pu exercer. Elle restitue l'écho des polémiques et des passions qui ont marqué les décennies écoulées depuis la fin du XIXe siècle. C'est ainsi qu'elle contribue à l'histoire des idées. ?Ce travail s'adresse au grand public cultivé, aux étudiants, aux chercheurs et aux lecteurs motivés.
On n'épiloguera pas ici sur le mot « droite », dont la valeur est nécessairement conventionnelle. Notre « Bibliographie générale des droites françaises » réunit des auteurs qui ont généralement - mais pas toujours - été classés « à droite » ou dont se sont réclamés des courants de pensée étiquetés eux-mêmes de la sorte. Il reste que parmi les auteurs dont nous traitons, on trouve de tout : des monarchistes et des républicains, des révolutionnaires et des conservateurs, des nationalistes et des européens, des libéraux et des antilibéraux, des antisémites et des philosémites, des chrétiens et des antichrétiens. Cette diversité même des auteurs et de leurs oeuvres, de leurs idées comme de leurs engagements, montre combien le caractère unitaire du mot « droite » est illusoire, et combien il est malaisé de les rassembler sous une même désignation. ?Alors même qu'il ne se sent pas nécessairement d'affinités avec les écrivains ou les théoriciens dont il s'est occupé, l'auteur de ce travail est à cet égard conscient d'être allé à contre-courant. À sa façon, toute bibliographie relève d'un « travail de mémoire ». Elle aide à maintenir hors de l'oubli des noms qui ont marqué une époque et joué un rôle dans la vie culturelle, littéraire ou intellectuelle. Elle offre au regard un panorama qui dévoile l'étendue d'une oeuvre et permet d'apprécier l'influence que celle-ci a pu exercer. Elle restitue l'écho des polémiques et des passions qui ont marqué les décennies écoulées depuis la fin du XIXe siècle. C'est ainsi qu'elle contribue à l'histoire des idées. ?Ce travail s'adresse au grand public cultivé, aux étudiants, aux chercheurs et aux lecteurs motivés.
On n'épiloguera pas ici sur le mot « droite », dont la valeur est nécessairement conventionnelle. Notre « Bibliographie générale des droites françaises » réunit des auteurs qui ont généralement - mais pas toujours - été classés « à droite » ou dont se sont réclamés des courants de pensée étiquetés eux-mêmes de la sorte. Il reste que parmi les auteurs dont nous traitons, on trouve de tout : des monarchistes et des républicains, des révolutionnaires et des conservateurs, des nationalistes et des européens, des libéraux et des antilibéraux, des antisémites et des philosémites, des chrétiens et des antichrétiens. Cette diversité même des auteurs et de leurs oeuvres, de leurs idées comme de leurs engagements, montre combien le caractère unitaire du mot « droite » est illusoire, et combien il est malaisé de les rassembler sous une même désignation. ?Alors même qu'il ne se sent pas nécessairement d'affinités avec les écrivains ou les théoriciens dont il s'est occupé, l'auteur de ce travail est à cet égard conscient d'être allé à contre-courant. À sa façon, toute bibliographie relève d'un « travail de mémoire ». Elle aide à maintenir hors de l'oubli des noms qui ont marqué une époque et joué un rôle dans la vie culturelle, littéraire ou intellectuelle. Elle offre au regard un panorama qui dévoile l'étendue d'une oeuvre et permet d'apprécier l'influence que celle-ci a pu exercer. Elle restitue l'écho des polémiques et des passions qui ont marqué les décennies écoulées depuis la fin du XIXe siècle. C'est ainsi qu'elle contribue à l'histoire des idées. ?Ce travail s'adresse au grand public cultivé, aux étudiants, aux chercheurs et aux lecteurs motivés.
On n'épiloguera pas ici sur le mot « droite », dont la valeur est nécessairement conventionnelle. Notre « Bibliographie générale des droites françaises » réunit des auteurs qui ont généralement - mais pas toujours - été classés « à droite » ou dont se sont réclamés des courants de pensée étiquetés eux-mêmes de la sorte. Il reste que parmi les auteurs dont nous traitons, on trouve de tout : des monarchistes et des républicains, des révolutionnaires et des conservateurs, des nationalistes et des européens, des libéraux et des antilibéraux, des antisémites et des philosémites, des chrétiens et des antichrétiens. Cette diversité même des auteurs et de leurs oeuvres, de leurs idées comme de leurs engagements, montre combien le caractère unitaire du mot « droite » est illusoire, et combien il est malaisé de les rassembler sous une même désignation. ?Alors même qu'il ne se sent pas nécessairement d'affinités avec les écrivains ou les théoriciens dont il s'est occupé, l'auteur de ce travail est à cet égard conscient d'être allé à contre-courant. À sa façon, toute bibliographie relève d'un « travail de mémoire ». Elle aide à maintenir hors de l'oubli des noms qui ont marqué une époque et joué un rôle dans la vie culturelle, littéraire ou intellectuelle. Elle offre au regard un panorama qui dévoile l'étendue d'une oeuvre et permet d'apprécier l'influence que celle-ci a pu exercer. Elle restitue l'écho des polémiques et des passions qui ont marqué les décennies écoulées depuis la fin du XIXe siècle. C'est ainsi qu'elle contribue à l'histoire des idées. ?Ce travail s'adresse au grand public cultivé, aux étudiants, aux chercheurs et aux lecteurs motivés.