Uzerche, édifiée sur un éperon rocheux contourné par la Vézère, est un bourg médieval limousin (19) qui possède un charme particulier. D'abord cité forteresse, Pépin le Bref fait fortifier la ville en 763 et bâtir une enceinte de 18 tours et un palais. Les armes et la devise de la ville remontent aux invasions sarrasines du VIIIe siècle. La noblesse marquera le paysage architectural en faisant construire de magnifiques hôtels particuliers à tourelles. Lors de ses nombreux séjours à Uzerche, Françoise Baume a pu apprécier les vieilles maisons, les superbes demeures, les portes d'entrées sculptées dans le granit, dominées par le clocher roman de l'abbatiale Saint-Pierre. Des berges de la Vézère, elle nous fait partager le superbe spectacle des façades austères et imposantes des châteaux s'y reflétant.
Des légendes fournies et documentées nous informe sur la grande et la petite histoire de cette «perle du Limousin».
- Cet ouvrage met l'accent sur les petits gâteaux, les biscuits qu'il est d'usage de déguster en Bretagne mais on y trouve également les recettes de "bons gros gâteaux", des confitures, compotes, crèmes et sirop.
- Le petit livre idéal pour retrouver toute la gourmandise de la Bretagne
Le carnet rassemble des recettes liées aux traditions vendéennes?: la soupe de la mariée, les coquillages et crustacés, les poissons dont l'incontournable sardine, les choux et les mojettes, le canard challandais jusqu'aux caillebottes et la célèbre brioche sans laquelle un repas vendéen ne saurait mériter le nom.
« Au fond Paris est inépuisable, et bénies soient les villes avec lesquelles on n'en a jamais fini. Cela ne tient pas à l'immensité, Paris n'est pas si grand. Pas davantage à sa complexité, il est difficile de s'y perdre, la capitale a ses repères : la Seine, les grands axes Nord-Sud, Est-Ouest. Ne cherchons pas plus avant, cela fait partie de son mystère, de son ambiguïté : on marche et voici de l'inconnu brusquement. » Patrick Cauvin
Le château de Louis-Léonard Vassivière, massif et paisible, domine le lac du même nom.
Il s'agit d'une véritable mer intérieure - formée dans les années 1950 lors de la construction du barrage - dont les contours esquissent la forme d'un papillon. Nous sommes en Limousin. Bort-les-Orgues, à cheval entre l'Auvergne et le Limousin, doit son nom à une curiosité géologique des coulées de phonolite de 80 à 100 m de hauteur qui font immanquablement penser à de gigantesques orgues et dominent une autre retenue artificielle plus vaste encore que la précédente.
Plus au sud, au pays de la race aubrac, des toitures en lauze et, à proximité de l'ancienne résidence d'été des évêques de Rodez, la retenue artificielle de Pareloup. Françoise Baume nous fait découvrir les lacs du Massif Central : quelques touffes de bruyère, un village médiéval, l'incontournable pêche à la truite et puis ces eaux calmes et limpides, cette belle pierre ocre qui fait chanter les façades.
Le Conservatoire du littoral, à distance des fureurs de l'océan, veille sur ces mers intérieures aux rives paisibles et accueillantes.
« Que les amoureux des vieilles pierres ne soient pas déçus, ici, c'est la brique qui donne ses couleurs à la ville. Elle est rose bien sûr, mais aussi rouge foncé, ocre jaune, et parfois presque blanche. C'est que le temps et les hiérarchies sociales se sont immiscés dans la durée et la qualité de la cuisson de la terre, donnant aux façades cette variété qui va, comme sur l'étal d'un légumier du marché Cristal, du ton de la tomate la plus mûre à celui du safran le plus délicat. Cette brique, les Romains l'utilisaient déjà pour bâtir leurs luxueuses villas. Elles ornaient la Tolosa antique, ville impériale dédiée à Auguste. »