Baisse d'acuité visuelle ? OEil rouge douloureux ? Identifier les pathologies en ophtalmologie et réussir les ECNi n'aura jamais été aussi facile grâce aux fiches visuelles de cet ouvrage. Ce guide est l'outil indispensable pour réviser les ECNi : - chaque item du programme est traité de manière anatomique, - les pathologies sont illustrées par une iconographie et des schémas détaillés, - le parcours diagnostique est explicité par des arbres et tableaux faciles à mémoriser. Concret, synthétique et pratique, cet ouvrage vous donne toutes les clés pour réviser efficacement et réussir les ECNi.
Cet ouvrage, réalisé par Benoît Delaunay, interne en DES d'ophtalmologie et conférencier d'internat, a été validé par le professeur Laurent Kodjikian et préfacé par les professeurs Philippe Denis et Christophe Chiquet.
Le droit public de la concurrence est devenu l'objet central du droit public économique.
Alors que la rencontre du droit marchand de la concurrence et du droit des acteurs publics ne relevait pas de l'évidence, la naissance d'un droit appliquant les règles de concurrence aux personnes publiques s'est progressivement imposée.
L'ouvrage identifie dans une première partie le droit public général de la concurrence et développe ainsi les questions de l'applicabilité et de l'opposabilité des règles du droit de la concurrence (pratiques anticoncurrentielles, concentrations, aides d'État) aux personnes publiques et de l'intervention des personnes publiques dans le secteur concurrentiel.
Il s'intéresse dans une seconde partie au droit public spécial de la concurrence qui comporte tant la mise en concurrence des contrats de la commande publique (marchés publics, contrats de concession et de partenariat) que l'ouverture à la concurrence des réseaux d'utilité publique (énergie, communications, transports).
La deuxième édition de ce manuel, à jour des dernières évolutions textuelles et jurisprudentielles, présente l'ensemble des relations qui unissent les collectivités publiques et la concurrence.
Baisse d'acuité visuelle ? OEil rouge douloureux ? Identifier les pathologies en ophtalmologie et réussir les ECNi n'aura jamais été aussi facile grâce aux fiches visuelles de cet ouvrage. Ce guide est l'outil indispensable pour réviser les ECNi : - chaque item du programme est traité de manière anatomique - les pathologies sont illustrées par une iconographie et des schémas détaillés - le parcours diagnostique est explicité par des arbres et tableaux faciles à mémoriser. Concret synthétique et pratique cet ouvrage vous donne toutes les clés pour réviser efficacement et réussir les ECNi. Cet ouvrage réalisé par Benoît Delaunay interne en DES d'ophtalmologie et conférencier d'internat a été validé par le professeur Laurent Kodjikian et préfacé par les professeurs Philippe Denis et Christophe Chiquet
trahissant une mauvaise organisation ou un mauvais fonctionnement des services, la faute de l'administration est née antérieurement à la responsabilité et a longtemps été sanctionnée par le droit statutaire et disciplinaire.
aujourd'hui, elle remplit encore des fonctions distinctes de la responsabilité et de son contentieux, se rapportant à la police de vie administrative et à la sanction des comportements de maladministration. du point de crue interne à l'administration, la faute permet, par la censure d'une ligne de conduite, de discipliner l'institution administrative dans son organisation et ses relations internes.
elle ne s'apprécie pas seulement par rapport aux règles externes de la légalité, mais aussi selon des lois propres à la vie administrative : codes de bonne conduite, recueils de bonne pratique, déontologie administrative. le juge ne possède ainsi aucun monopole dans l'identification et la répression de la faute de l'administration. celle-ci a également pour effet de signaler les limites dans lesquelles l'administration peut agir, faisant apparaître des liens étroits avec la maladministration, l'illégalité, le manquement à l'obligation et le blâme moral.
du point de vue externe à l'administration, la faute remplit deux offices complémentaires, chronologiquement successifs, dans la réparation du préjudice causé par l'administration. en tant que condition de la réparation, elle permet, en premier lieu, le déclenchement de cette dernière. elle se trouve toutefois limitée par les hypothèses de responsabilité sans faute et par la place accordée au préjudice et au lien de causalité.
elle intervient, en second lieu, dans le règlement effectif de la réparation, et notamment dans l'imputabilité de la charge de réparation par la désignation des auteurs de l'obligation et de la contribution à la dette. en revanche, en application du principe de réparation intégrale, son rôle ne peut être qu'accidentel dans la mesure de la réparation.
« La législation comparée offre ici d'utiles renseignements ». C'est à l'aune de ce constat que Laferrière choisit de consacrer, en 1887, l'essentiel du premier tome de son Traité de la juridiction administrative et des recours contentieux à l'étude des systèmes juridiques des États d'Europe.
Il est étonnant de mesurer combien ce constat, dont la pureté de l'expression, sous la plume de ce père fondateur du droit administratif français, montre qu'il relève de l'évidence, a pendant longtemps été oublié. Rares - trop rares - ont été, et sont encore, les thèses, études et manuels de droit administratif qui, sans peut-être même y consacrer des chapitres entiers, à tout le moins intègrent dans leurs analyses et leurs présentations des éléments de droit comparé.
La comparaison des systèmes et des droits est, pourtant, au coeur des dynamiques de formation et d'évolution du droit administratif contemporain : aucune des solutions de principe dégagées dans les formations les plus solennelles du Conseil d'État, aucune des lois qui intervient dans le champ du droit administratif ne se prépare aujourd'hui sans un recours à des études de droit comparé. Et, plus largement, les voyages, les échanges, les rencontres - en un mot le dialogue permanent - entres les juridictions, les universités et les institutions, en Europe et dans le monde, qui oeuvrent dans le domaine du droit administratif, font aujourd'hui de la comparaison une matrice qui irrigue ce droit de manière constante et profonde.
C'est au constat de ce décalage entre la pratique et la recherche, qu'a été créée, en décembre 2012, la section « Droit de l'action publique » de la Société de législation comparée. Présidée par Bernard Stirn, président de la section du contentieux du Conseil d'État, elle rassemble des juristes de droit public d'horizons variés - membres des juridictions administratives, de l'Université et avocats - qui ont entrepris, ensemble, de réaliser des études approfondies de droit comparé sur des thèmes qui présentent un intérêt, à la fois permanent et d'actualité. Cet ouvrage constitue l'une des premières études qui ont été réalisées. Il est constitué, à la fois, de fiches-pays, qui permettent une appréhension concrète de la thématique à laquelle il est consacré dans les systèmes juridiques retenus, et d'une synthèse qui rassemble des éléments d'appréciation et esquisse des pistes de réflexion sur notre propre système juridique, à partir de la comparaison.
Puisse cette étude, et les autres qui ont été et seront réalisées par cette section, contribuer à donner au droit comparé toute la place qui doit être la sienne dans l'étude du droit administratif français, et, plus largement, dans la formation d'un authentique droit administratif européen, et - qui sait ? - peut-être même global.
Deux corps s'apprivoisent entre les murs d'une chambre, quelque part à Odessa, Reykjavik, Tokyo ou Barcelone ; un corps déjà raidi se balance sous un arbre ; des corps d'enfants poursuivent un ballon de cuir dans une cour poussiéreuse. Les humains hantent les fragments du monde, ville, île, immeuble, lopin, sentier, tous territoires qu'il s'agit d'explorer pour se connaître soi-même, pour éloigner la peur tandis que la violence gronde au loin. Au delà, l'océan.