Visitez des palais fermés au public, admirez des oeuvres d'art exceptionnelles à l'écart des touristes, assistez à un concert dans un magnifique oratoire secret, faites bénir votre chien ou votre voiture, assistez à la liquéfaction du sang de saint Pantaléon, interrogez-vous devant une rare méridienne catoptrique ou devant une étonnante anamorphose, découvrez le stupéfiant tableau motorisé de Rubens, pénétrez les secrets du Vatican, retrouvez un chef-d'oeuvre perdu du Bernin, recueillez-vous devant une image sacrée du visage du Christ qui fut déposée sur la lune en 1968, organisez un dîner pour deux dans un palais privé, protégez votre gorge des rigueurs de l'hiver.
Un guide entièrement consacré à cette destination des Alpes italiennes devenue ultratendance en quelques années.
Des auteurs italiens qui connaissent parfaitement la région.
Tout sur les randonnées pour découvrir le haut massif déchiqueté des Dolomites (Dolomiti) : les pâturages des Alpes di Siusi et les pics du Sciliar, le Parco Naturale Puez-Odle au-dessus du col Gardena et le long des falaises de la Vallunga, circuit de Sassolungo...
Des informations et des conseils pour qui voudrait aller skier dans le domaine des Dolomiti Superski (Val di Fassa, Val Gardena, Val Badia...).
De nombreuses adresses pour se restaurer et se loger au coeur de cette région attachante.
Les secrets de la cuisine des Dolomites, imprégnée d'influences autrichiennes.
Qu'y a-t-il de plus beau qu'un MERCI dit du fond du coeur ?
Lorsque que tu reçois un présent ou qu'une personne te fait plaisir, il existe un mot que tu dois connaître. Petits et grands l'utilisent parce que c'est un petit mot magique qui rend les gens heureux. Ne l'oublie jamais et utilise-le avec joie et sincérité.
À travers un récit original et de splendides illustrations, voilà un mode amusant et sympathique pour apprendre la politesse aux enfants.
Seconde anthologie bilingue publiée dans la Pléiade, l'anthologie de la poésie italienne réunit des textes qui vont du XIIe au XXe siècle. Pour ample qu'elle est, la limite de quelque vingt mille vers a conduit à des exclusions. Si l'on a eu le souci de faire sa place à la poésie dialectale, importante en Italie à partir du XVIIe, on s'est refusé à égrener de façon peu significative les textes de la poésie néo-latine - pourtant fondamentale jusqu'au début du XVIe. Àl'intérieur des secteurs retenus, le désir de suggérer en filigrane l'histoire de la littérature italienne a orienté le choix et la succession des textes. Le lecteur trouvera les noms des poètes les plus célèbres comme ceux de poètes modestes, dont seules les compilations érudites du XVIIIe ou du XIXe siècles signalent encore les dates de mort ou de naissance mais auxquels l'équilibre suspendu d'un sonnet, le tour pétillant d'un madrigal ou la force dramatique d'une chanson valent d'être présents dans ce volume. Les auteurs de cet ouvrage ont retenu les textes canoniques, qui figurent pour un public français dans son florilège européen et qui restent pour les Italiens les joyaux de leur patrimoine littéraire. Il ne s'agissait pas plus de chercher à dérouter par des absences inattendues qu'à délaisser les infimes paradis poétiques que les anthologies italiennes ont su diligemment répertorier. Enfin, les traductions proposées ici sont, pour la plus grande partie, entièrement nouvelles.
Contient notamment des oeuvres de Vittorio Alfieri, Ludovico Ariosto, Giosue Carducci, Dino Campana, Gabriele d'Annunzio, Dante, Giovanni Della Casa, Ugo Foscolo, Saint François d'Assise, Giacomo Leopardi, Alessandro Manzoni, Lorenzo de Medici, Eugenio Montale, Aldo Palazzeschi, Pier Paolo Pasolini, Cesare Pavese, Salvatore Quasimodo, François Pétrarque, Torquato Tasso, Giuseppe Ungaretti et Gaspara Stampa.
Depuis sa parution en Italie en 1971, l'édition critique de la Chanson de Roland par Cesare Segre s'est imposée comme la " bible " des rolandiens.
En 1989 a paru la version française de cette édition, due au soin talentueux de Madeleine Tyssens. Les médiévistes français ont salué d'une seule voix les qualités de l'ouvrage. Aujourd'hui reparaît l'édition du texte critique de la version O avec ses variantes, enrichie de l'ample introduction et de l'index des noms propres de Cesare Segre, ainsi que d'un glossaire établi par Bernard Guidot. Ce faisant, cette édition est un remarquable instrument d'enseignement pour découvrir ou redécouvrir la Chanson de Roland.
Cet ouvrage permet de s'orienter avec une extrême facilité parmi les personnages, les scènes et les épisodes tirés de l'Ancien et du Nouveau Testament, que les artistes occidentaux n'ont cessé de représenter depuis la fin l'Antiquité. La tradition du Livre des Livres, celle des Evangiles canoniques mais aussi celle des textes apocryphes, a été illustrée ainsi à des fin théologiques et dévotionnelles durant des siècles mais elle a servi de support à un extraordinaire foisonnement de recherches artistiques et de tous formats, depuis les grandes fresques monumentales (comme celle de la chapelle Sixtine au Vatican) jusqu'aux humbles panneaux de piété à usage intime. Chacune des 700 oeuvres de l'ouvrage est décryptée dans les détails : signification de la scène, identification des personnages, explications des attributs et des symboles.
Que disent les oeuvres d'art et que représentent-elles ? Est-il possible que, sous ce que nos yeux voient, l'artiste ait représenté un message caché ? Dans le très vaste répertoire des symboles du passé, les peintres ont puisé images et codes de représentation, dont la clef de lecture est souvent perdue. Ces images et ces codes, le trésor iconographique de l'art occidental présenté ici les regroupe sous les thèmes suivants : le temps, l'homme, les allégories, l'espace, les plantes, les fleurs et les fruits, les animaux.
Cette compilation du trésor iconographique occidental réunit l'essentiel du contenu des titres Symboles et Allégories et La Nature et ses symboles de la collection «Guides Hazan», en grand format, à un prix très attractif. Les grands thèmes iconographiques y apparaissent sous les rubriques suivantes : le temps, l'homme, les allégories, l'espace, les plantes, les fleurs, les fruits, les animaux.
Si la Divine Comédie fut plus admiree qu'imitée, il n'en alla pas de même pour l'«humaine comédie» que fut le Decaméron. Durant plus de deux siècles le recueil de Boccace devint un archétype, donnant à la nouvelle un rôle privilégié dans la fondation de la jeune littérature italienne en prose. Quelques-uns de ces «conteurs» sont restés célèbres : Alberti, Laurent de Médicis, Vinci, l'Arétin, Castiglione, Machiavel. Mais d'autres ne sont pas sortis de l'anonymat ou sont tombés dans l'oubli. Tous cependant furent lus, traduits et souvent plagiés, constituant ainsi pour les littératures européennes une source inépuisable de trames qui furent reprises par les plus grands auteurs. On n'en citera qu'un seul : Shakespeare. Ces récits brefs se veulent des précipités d'expérience : épisodes surprenants et passions indicibles s'y inscrivent paradoxalement dans la quotidienneté. Au détour d'un bon mot, le lecteur cueille l'expression d'un type humain dans une réduction de l'histoire qui contracte le sens, comme la maxime qui opère contre la logique linéaire d'un traité démonstratif. En fait, ces textes - qui prennent corps dans un incessant va-et-vient entre la transcription d'une libre parole et la rigoureuse élaboration de la construction littéraire - témoignent de la tension entre l'oralité et l'écriture aux premiers temps de l'imprimerie. Car ce n'est pas la mesure et les proportions harmonieuses recherchées par la nouvelle perspective du Quattrocento qui émergent de ces contes et de ces nouvelles, mais bien la variété et le mouvement. Pour plaire et divertir, il faut surprendre, quand bien même l'arrière-pays témoigne d'un monde bouleversé par le déclin de la civilisation communale et par les guerres d'Italie.
Sur l'île de Gorm, quatre enfants partent en quête de la Tour des Éléments. Cette forteresse légendaire abritait autrefois les puissants seigneurs Gormiti. Riff, Trek, Ikor et Eron réussiront-ils à faire renaître ces héros pour lutter contre le terrible Lord Voidus ?
Mon théâtre, c'est le livre d'un artiste qui fait du théâtre à la première personne.
Il suit le parcours de cet aventurier épris du voyage qui le conduit de bolivie à pina bausch et de grèce à eugenio barba. le théâtre de pippo delbono porte la marque des expéditions dont il se nourrit et qu'il intègre sans cesse. ses choix de vie, il se les remémore et les commente ici avec une liberté propre à son identité. pippo delbono ne dissocie jamais l'expérience de son utilisation scénique : elles se confondent.
Mon théâtre, un livre concret où ce "baladin du théâtre occidental" parle de maladie et de déroute, de pasolini et de l'albanie, de sa mère et de ses amis. c'est d'un autoportrait en acte qu'il s'agit, d'une parole qui saisit le réel et en jouit, d'un théâtre qui se fait en mouvement. théâtre direct, vital, choral. "théâtre brut", pour rappeler la célèbre formule de peter brook. mon théâtre, récit de la constitution d'une équipe où se retrouvent des personnages marginaux, handicapés et rejetés, indispensables à pippo delbono, ce dubuffet des temps modernes.
Il raconte, sans impudeur ni complaisance, comment un artiste se met à l'écoute, parle, agit au sein de cette communauté qui réunit les exclus du monde. c'est elle qui sert d'assise à son théâtre. mon théâtre, un livre qui se lit comme un poème de françois villon.
Une approche culturelle des civilisations d'Australie, de Mélanésie, de Micronésie, Polynésie, fortement conditionnées par l'immensité des espaces mais aussi les richesses nourricières et mythiques de l'Océan. Une confrontation des structures des sociétés et du pouvoir, des rituels religieux et de la vie quotidienne aux spécificités des formes et du décor.
Le concept de champ analytique est né dans les années 1960 d'une intuition de deux analystes franco-argentins, Madeleine et Willy Baranger. En étudiant l'aspect relationnel en psychanalyse, ces auteurs se sont rendus compte que la « dyade analytique » crée un champ dynamique, où « aucun des membres du couple ne peut être compris sans l'autre ». Si l'idée de champ analytique est restée pendant longtemps cantonnée à l'Amérique latine, le concept s'est a peu à peu infiltré dans d'autres pays et a fini par jouer un rôle capital, notamment chez les Italiens. Aujourd'hui, ce concept imprègne la pensée d'analystes d'origines et d'orientations très diverses, créant un large éventail de points de contact, qui s'étend par exemple de W. R. Bion à Thomas Ogden, de James Grotstein à Antonino Ferro, de Francesco Corrao à Cláudio Laks Eizirik.
Aucune publication n'avait jusqu'à présent tenté de brosser le panorama des multiples contributions à la théorie du champ et d'en explorer en même temps les implications cliniques et techniques. C'est pourquoi la préférence a été ici donnée aux textes ayant une forte composante clinique capable d'illustrer leurs théories de la technique implicites. En effet, dans la Tour de Babel des langues psychanalytiques, la clinique est le moyen le plus efficace d'évaluer les modèles psychanalytiques.
Antonino Ferro et Roberto Basile sont psychiatres et psychanalystes. Ils sont tous deux membres de la Société psychanalytique italienne (SPI), dont Ferro est le président élu depuis 2013.
«Selon la légende, Rome tire ses origines d'un meurtre : un frère assassiné pour s'emparer du pouvoir.» Y avez-vous pensé en arpentant les ruelles pavées? Ce qui fait la Ville éternelle, ce ne sont pas les vieilles pierres, les trattorias et les cohortes de touristes, mais ses habitants. Chaque Romain porte en lui le poids de l'histoire sombre et souvent cruelle de sa ville.
ISBN/EAN/UPC: 9782706709197 Titre de l'ouvrage: Saint Jean-Marie Vianney : Le curé d'ars Auteur: Feliciano Innocente Editeur: Salvator Date de publication: 14/6/2012 Reliure: Broché Prix public/catalogue hors taxes: EUR 6,07 TVA: 7% Prix public taxes comprises: EUR 6,50 Nombre de pages: 48 Description: 1 Dardilly : naissance et baptême (8 mai 1786) de Jean-Marie Vianney. 2 Écully : Première Communion dans une maison privée. 3 Lalouvesc : 1807, pèlerinage au sanctuaire. 4 Lyon : en 1813, entrée au grand séminaire. 5 Grenoble : le 13 août 1815, ordination sacerdotale 6 Ars : le 13 février 1818 arrivée à Ars, où il restera jusqu'à sa mort, 1859. 7 Rome : Canonisé le 31 mai 1925, le curée d'Ars est proclamé Patron de tous les prêtres en 1929 par le pape Pie XI
Pour comprendre la culture et la civilisation humanistes, le jardin florentin du Quattrocento est un thème essentiel, qui conjugue les arts et les technologies, la nature et la culture, les idées et les mythes.
La création ou la transformation de ces jardins prestigieux ont favorisé le développement de nombreuses disciplines : l'architecture, la sculpture, la peinture, la botanique, les techniques culturales et agraires, l'ornementation des jardins, les collections de plantes exotiques ou indigènes... Les peintres, les poètes et les philosophes du Quattrocento n'ont pas manqué de célébrer les jardins, et tout particulièrement ceux que les Médicis (de Cosme l'Ancien à Laurent le Magnifique) avaient aménagés à Florence ou dans les campagnes environnantes.
A partir d'architectures-jardins connues (le palais Medici-Riccardi à Florence, la villa Médicis à Fiesole...) ou d'autres plus secrètes (Careggi, Cafaggiolo, Agnano...), cet ouvrage analyse la genèse des jardins médicéens, l'importance et la variété des sources iconographiques et littéraires, le rapport entre le jardin monastique et le jardin laïc, le développement des techniques horticoles, l'image de ces jardins qui, au cours des siècles, s'est formée et déformée, pour souvent se reformer...
L'art des jardins, en cette période charnière, renvoie implicitement aux préoccupations paysagères qui caractérisent notre époque. Enfin, c'est toute la Toscane qui, ici, est célébrée, avec ses collines, ses villas, son art de vivre et sa "raison" humaine...
A travers les plus représentatives réalisations italiennes des dix dernières années, ce livre rend compte de travaux " d'auteurs " qui veulent redonner à l'architecture intérieure toutes ses lettres de noblesse en s'engageant, loin des manifestations éclatantes de l'architecture officielle, dans la recherche plus concrète et plus intime de ce que pourraient être les nouveaux espaces à habiter.
Dans la ville européenne se sont développées ces dernières années, sur un fond résolument individualiste, différentes formes de renforcement des liens sociaux horizontaux: la création d'associations en tous genres, des actions collectives parfois éphémères, une vie en commun par défaut ou encore des modalités de rencontre ne relevant pas de l'idée traditionnelle d'espace public. Ces formes de partage, tout en étant temporaires et fragiles, manifestent de multiples manières les changements des valeurs attribuées à l'habiter, changements dont les origines peuvent être d'ordre économique, relationnel, symbolique, culturel ou religieux.
Territoires partagés propose de distinguer ces nouvelles formes de partage en deux groupes. Le premier comprend des cas qui, bien qu'utilisant la ville, s'en disent étrangers : une attitude qui pourrait s'inscrire dans une forme inédite d'anti-urbanisme, un refus de la ville depuis son intérieur. Le second se réfère au désir de fonder, là où la ville est habituellement absente, de nouveaux urbanismes. Animés par une certaine euphorie, ces derniers s'ouvrent à la possibilité de reconstruire des formes de socialités en dehors du paradigme moderne, de ses normes, de ses valeurs, de ses conflits et de ses logiques.
Recueil d'interventions, interviews et analyses de Falcone et Borsellino, cet ouvrage témoigne des nombreuses difficultés rencontrées dans la lutte contre la mafia, entravée non seulement par le crime organisé, mais surtout par les collègues des deux juges et les représentants du monde politique.
Un ouvrage riche de paroles éclairantes, tristement prophétiques, comme celles-ci :
Une négociation est en cours entre la mafia et l'État depuis le massacre de Capaci, il y a un dialogue entre la mafia et certains secteurs infidèles de l'État [.] La mafia me tuera, mais ce sont d'autres qui voudront ma mort, la mafia me tuera quand d'autres y consentiront. (Paolo Borsellino) Ou bien celles-là :
Ce que j'ai eu à entendre dans les couloirs de ce palais est pénible ; devoir constater que, hormis une poignée de gens, tout le monde est content de me voir partir. (Giovanni Falcone, au moment de quitter le parquet de Palerme, un an avant sa mort.) Ce livre marque un retour fondamental aux sources directes, à ce qu'ils ont vraiment dit et écrit, dans la tentative de pénétrer les raisons (et les raisons d'État) qui ont amené à l'assassinat de ces deux juges-amis.
Un pas en arrière indispensable pour rappeler leur parcours humain et professionnel, alors que les procès concernant leurs assassinats ont été ré-ouverts en Sicile et que les vérités pour lesquelles ils ont sacrifié leur vie sont en train de voir le jour.
Des rues de Milan aux montagnes de Calabre, des hauteurs du Piémont aux faubourgs de Naples et de Palerme, des écrans berlusconiens aux chambres d'immigrés, ce livre nous emmène visiter le Bel Paese, ce « Beau Pays » comme l'Italie officielle aime s'appeler elle-même. Mais, sous cette Italie-là, s'en dévoile une autre, hilarante et tragique, violente et poétique. Un pays comme le nôtre et pourtant semblable à nul autre.
Le trafic d'ordures ou d'influences, les crimes mafieux ou policiers, les zones d'ombre de l'Histoire et celles de l'actualité : les thèmes et les codes du polar, qu'ils passent par le récit ou bien par l'analyse, apparaissent comme les mieux à même de rendre compte de l'Italie d'aujourd'hui. Les treize auteurs de roman noir qui nous servent ici de guides appartiennent à la part la plus dynamique et créative de la littérature transalpine contemporaine. À travers mille registres, du plus grave au comique le plus déchaîné, en explorant tous les genres, du conte fantastique à la satire en passant par la nouvelle policière la plus classique, on découvre un pays rongé par la corruption, le décervelage consumériste, la misère et la criminalité. Un pays où s'affirme pourtant la puissance des forces de la création et de la révolte : ce livre en est, parmi d'autres, un exemple.
Rose découvre grâce à une mystérieuse clé trouvée par hasard, une porte menant à un autre monde où dragons, contes et sortilèges coexistent. L'école est organisée par familles : Raiponce, Cendrillon, Bête et Grenouille. Un tout nouveau monde se dévoile sous les yeux de Rose, qui n'est pas au bout de ses surprises...
Pour entrer dans la sagesse de Dieu, nous devons prendre un chemin qui passe à travers l'expérience de notre propre misère, qui touche le fond et ensuite remonte au sommet. étroitement unie à Jésus. Le mysticisme chrétien n'est rien d'autre que cela. L'auteur propose ce texte pour nous guider, offrant un accès ascétique et mystique à tous, une "route de simplicité" qui nécessite comme condition minimale de savoir regarder vers le haut.
Il s'agit d'horizons décrits avec un langage calme et convaincant, qui donne souvent accès à la poésie, d'un homme qui connaît bien la montagne sur laquelle il imite à aller, qui connaît les sentiers, aussi bien quand ils font avancer dans une ascension progressive et que lorsque se présentent des passages plus ardus et délicats. Ce livre est né de l'expérience d'un ermite qui vit dans le diocèse de Saluzzo en Italie.
Aucune ville d'Europe n'est une vitrine de l'art plus que Florence, où la voix d'un passé apparaît toujours aussi glorieuse et éloquente. Ce splendide ouvrage retrace cinq siècles d'art, du Moyen-Âge à nos jours, et nous offre un décryptage passionnant de ses chefs-d'oeuvre architecturaux, picturaux et de sculpture, y compris de certains de ses trésors, qui restent cachés derrière les austères façades de ses palais ou de ses églises. Le Baptistère, le Palazzo Vecchio, Giotto, Piero della Francesca, Michel-Ange sont autant de fleurons parmi beaucoup d'autres de cette ville qui fut le berceau de la Renaissance, et dont le destin semble être le reflet et l'emblème de l'histoire de notre civilisation.
Francesco gabrieli a non seulement rassemblé des textes traduits en français par les orientalistes du xixe siècle, mais également des textes arabes publiés mais non traduits, et des textes manuscrits inédits à ce jour.
Epopées, chroniques, portraits, tous les genres se succèdent afin d'éclairer les événements majeurs : siège de tyr, prise et reconquête de jérusalem, chute de damiette, bataille de tibériade, rencontres sous les murs d'acre, sans oublier de longues années de paix armée, d'interminables négociations. sont aussi précisés les grands profils : baudouin ii, saladin, nûr ad-dîn zinkî, saint louis, coeur de lion, les templiers, frédéric barberousse, baïbars.
Par la richesse de la matière, l'abondance des précisions, l'historiographie arabe des croisades soutient la comparaison avec celle des chrétiens du moyen age. mais on y voit se renverser notre échelle des valeurs.