La commissaire, historienne de l'art et écrivaine Chus Martínez et l'écrivaine et commissaire Filipa Ramos réunissent un groupe d'artistes contemporains qui utilisent l'argile, la poterie et la céramique, entre méthodes ancestrales et pratiques post-technologiques.
Some may associate clay, pottery and ceramics to tradition, and tradition to the past. Some may associate technology, digital communication and data with the new, and the new with the future. What if the future is only a technology as old and unusual as clay? What if clay is a matter that renews itself constantly and gives time its unpredictable configurations?
What if clay is the future and the future is clay? And if the feet of clay only reveal a vulnerability because the rest of the body is made of a different material? And if the feet of clay are actually rooting people to the earth, connecting them through the same matter? And if feet of clay are a way to establish a post-technological communication that requires no webs, no networks, no cables; only our many, one, two, eight, twenty feet and some clay?
These are some of the questions and enigmas addressed by curators Chus Martínez and Filipa Ramos, who brought together a group of artists who have been using clay, pottery and ceramics in an exhibition entitled Feet of Clay, presented at Galeria Municipal do Porto in 2021. Like clay, the project has now been moulded into book format, bringing together exclusive texts and interviews with the participating artists: Neïl Beloufa, Isabel Carvalho, Gabriel Chaile, Pauline Curnier Jardin, Formabesta (Salvador and Juan Cidrás), Tamara Henderson, Ana Jotta and Eduardo Navarro.
Partie intégrante de la 13e Biennale de Shanghai, cette publication développe et prolonge les thèmes qui structurent l'exposition à travers un ensemble de textes qui révèlent l'originalité et les ramifications de la recherche curatoriale.
Flows est un ensemble de textes sur les relations que l'eau crée, révèle et érode, et sur les corps animaux, végétaux, minéraux, mécaniques, numériques, géologiques et cosmiques qu'elle forme et traverse. Les textes rassemblés ici décrivent les manières dont l'eau façonne la terre et le monde, et étudient leur signification historique, philosophique, matérielle et affective.
Des corps aux autres corps, aux climats, aux écosystèmes et aux technologies, toutes les formes de vie sont inextricablement liées et interdépendantes. L'exposition « Bodies of Water » nous invite à examiner cette collectivité vivante à une époque où la Terre est confrontée à des défis sans précédent, de l'accélération de la crise climatique à la pandémie mondiale actuelle. Les artistes et collectifs participants présentent des oeuvres (la plupart conçues spécifiquement pour le projet) qui explorent des approches fondées sur la bienveillance et qui interrogent notre imbrication dans des écosystèmes étendus d'interdépendance.
Si l'exposition est constituée sur les synergies entre les oeuvres, le livre est fait des synergies entre les idées des oeuvres, établissant des relations conceptuelles et interprétatives qui reflètent, développent et recontextualisent les thèmes de l'exposition dans son format propre.
Publié à l'occasion de l'exposition « Bodies of Water », la 13e Biennale de Shanghai, en 2021.
Présentant une sélection de documents, des premières recherches d'archives à la photographie des lieux, des dessins et diagrammes aux collages, des films aux planches d'archives, le livre met en lumière les étapes du développement de Cemetery, entre 2009 et 2019. Inspiré et basé sur le mythe du cimetière des éléphants, le film questionne non seulement notre idée de la nature et la signification du mythe mais aussi la capacité du cinéma à nous émouvoir, à nous affecter et à nous façonner, à travers une expérience sensorielle complexe qui abolit les frontières entre art, film et documentaire, mais aussi entre les espèces.
À l'occasion de son exposition au LaM à l'automne 2022, les éditions Dilecta publient la première monographie d'Étienne Chambaud. Pensée comme un vaste collage, l'exposition mettra en regard des oeuvres de l'artiste avec des pièces des collections muséales de la Métropole de Lille, notamment des spécimens de zoologie du Musée d'histoire naturelle. L'exposition se présentera à la fois comme un tout et comme un ensemble de fragments : comme un organisme complexe simultanément en gestation, vivant et disséqué. L'exposition permettra donc au au public de découvrir la richesse des formes produites par Étienne Chambaud. Le livre se présentera, à l'image de l'exposition, comme un entremêlement d'éléments iconographiques accompagnés de notices rédigées par l'artiste. Cette première mongraphie sera par ailleurs composée d'un essai de Mihnea Mircan parcourant le corpus d'oeuvres, d'un texte de Tristan Garcia et d'un focus de Filipa Ramos sur l'installation vidéo La Nuit Sauve.
Chronicling Saraceno's recurring fascination with spiders and their manifestations in his web-like installations
Since 2006, Tomás Saraceno (born 1973) has been collaborating with spiders and their webs, a research that has unfolded into a wide variety of formats and modalities. These range from large-scale environments, conceived for people to occupy, to the creation of an arachnophilia community that brings together experts from various areas.
Nouv.
