Cet ouvrage est le deuxième opus d'un triptyque consacré à l'étude des liens entre l'Art, le Politique et la Création. L'art est devenu un enjeu politique, social, culturel, économique, idéologique. À un moment où de plus en plus de voix s'élèvent pour affirmer que le lien entre art et politique est, soit erroné, soit dangereux, il importe de se pencher encore sur cette relation complexe et sur les représentations qu'elle suscite aujourd'hui dans un climat de désillusion tant politique qu'artistique. Cet opus aborde : les états ou régimes de l'art, les liens peuple-public, les questions d'anomie, d'hérésie et de subversion.
Cet ouvrage est le troisième opus d'un triptyque consacré à l'étude des liens entre l'Art, le Politique et la Création. L'art est devenu un enjeu politique, social, culturel, économique, idéologique. À un moment où de plus en plus de voix s'élèvent pour affirmer que le lien entre art et politique est, soit erroné, soit dangereux, il importe de se pencher à nouveau sur cette relation complexe et sur les représentations qu'elle suscite aujourd'hui dans un climat de désillusion tant politique qu'artistique. Cet opus aborde : l'art comme absence et/ou dialogue avec le politique, les frottements et affrontements art/politique, l'interrogation politique des oeuvres.
La socio-anthropologie constitue un concept médiateur permettant de saisir la genèse des divers modes de connaissance du soi et de l'autre. Cet ouvrage revisite dans cette première édition le questionnement socio-anthropologique à travers les thèmes récurrents de l'oeuvre de Jean-Olivier Majastre : corps, signe, animalité, féminité, représentation, étrangeté, autrui, matérialité, objets, vaches, existentiel, culture, transformation, signification, entre-deux, art, montagne, asile, émotion, désir, folie.
Comment peut on construire le Texte comme l'un des sujets (acteurs) cognitifs du processus de construction fictionnelle? Nombreuses sont les recherches ayant montré l'importance du rôle de la fonction fictionnelle qui s'ancre dans la littérature mais investit plus largement l'espace culturel et social. Cette fonction est en effet au coeur de la construction des entités et groupes sociaux.
Comment appréhender l'intersubjectivité Texte/Public comme étant elle-même une construction fictionnelle productive ? Approcher la place des récits dans la société nécessite la maîtrise de l'analyse des processus fictionnels constituant un des ressorts essentiels des processus de socialisation. Comment appréhender, à partir du concept de Texte-acteur construit dans le premier volume, la question de l'intersubjectivité, tant comme pratique, que comme émergence et convergence, ou encore comme performatif social ?
Il y a 40 ans, P. Bourdieu, L. Boltanski, R. Castel et J.-C. Chamboredon publiaient : Un art moyen. Essai sur les usages sociaux de la photographie, fruit d'une grande enquête sociologiques où ils étudiaient les usages sociaux de la photographie. Ils en montraient d'abord le caractère normatif et la prégnance des conformités. A une époque où les frontières entre amateurs et professionnels sont devenues de plus en plus floue et après 40 ans d'avancées technologiques fulgurantes, voici une interrogation autour de nouvelles pratiques : vidéo, appareil photo et caméra numérique, téléphone portable, internet, web, etc.
Il y a 40 ans, P. Bourdieu, L. Boltanski, R. Castel et J.-C. Chamboredon publiaient : Un art moyen. Essai sur les usages sociaux de la photographie, fruit d'une grande enquête sociologiques où ils étudiaient les usages sociaux de la photographie. Ils en montraient d'abord le caractère normatif et la prégnance des conformités. A une époque où les frontières entre amateurs et professionnels sont devenues de plus en plus floue et après 40 ans d'avancées technologiques fulgurantes, voici une interrogation autour de nouvelles pratiques : vidéo, appareil photo et caméra numérique, téléphone portable, internet, web, etc.
Approche sociologique du Texte-acteur chez Julio Cortazar. L'auteur s'interroge sur la façon de saisir le texte comme objet d'une recherche scientifique et surtout sur la façon dont on peut partir du texte lui-même pour alimenter la réflexion en sociologie de l'art. Florent Gaudez tente de répondre à ces questions en considérant qu'une sociologie de l'art tenant compte du procès de création est un aspect régional d'une sociologie de la connaissance. L'auteur construit une lecture spécifique du texte comme sujet structurant et signifiant de la réalité sociale : le Texte comme acteur.
La revue Sociologie de l'art est de retour dans sa nouvelle formule OPuS dont voici le premier moment : OPuS 1/2.
Ce numéro est construit sur le même mode que le précédent (un peu de continuité dans le changement), d'où son titre : Au prisme de l'art 2. Instantané de recherche, puisqu'il est cette fois-ci une émanation (partielle) de la session du CR 18 "Art, identité et mondialisation culturelle" lors du XVIème congrès international de l'AISLF "Une société monde ?", qui s'est tenu à Québec du 3 au 7 juillet 2000.
Ce numéro n'est donc pas thématique mais conjoncturel, nous renouerons dès la prochaine livraison avec notre ligne éditoriale traditionnelle en proposant des numéros thématiques autour de sujets tels que la critique d'art, le travail artistique, la littérature, le jazz.
Connaître avec la littérature, plutôt que connaître la littérature. Partant de cette posture, cet ouvrage tente de réunir dans une même approche de l'objet de l'art, la dimension esthétique et la dimension scientifique, afin d'essayer de montrer comment le texte littéraire, de par sa dimension esthétique, en tant qu'objet d'art créé par l'artiste puis réapproprié, réinvesti par un lecteur, peut s'exprimer en tant que tel, et induire des possibilités de discours dans une démarche de connaissance, en considérant que la lecture en tant qu'acte fictionnel est un acte productif.
Connaître avec la littérature, plutôt que connaître la littérature. Partant de cette posture, et afin de réunir dans une même approche de l'objet d'art, la dimension esthétique et la dimension scientifique, ce livre essaye de montrer comment le texte littéraire peut s'exprimer en tant que tel et induire des possibiltés de discours dans une démarche de connaissance, en considérant que la lecture en tant qu'acte fictionnel est un acte productif.
Organisées à l'UPMF par le Laboratoire de Sociologie de Grenoble EMC2-LSG, ces rencontres visent à discuter d'une crise en perspective de l'ici et de l'ailleurs, d'une production du soi par l'autre, d'un agencement possible entre le proche et le lointain. Elles revisitent le questionnement socio-anthropologique à travers les thèmes récurrents de l'oeuvre de Pierre Bouvier : altérité, endoréisme, construits, ensemble populationnel, autoscopie, lien social, quotidien, art/culture, identité et universalisme, colonialisme et postcolonialisme.
Si les arts et les sciences sont souvent opposés dans les discours, émotion contre raison, subjectif contre objectif..., les deux types d'activités, parce qu'ils incluent l'un comme l'autre des processus de création et des opérations de connaissance, sont bien souvent confrontés à des problèmes similaires : la question de l'attribution de la paternité et de la propriété des créations, l'établissement de la valeur de ces créations, l'importance prise par les moyens techniques dans le travail de conception, de réalisation, de diffusion...
Si les arts et les sciences sont souvent opposés dans les discours, émotion contre raison, subjectif contre objectif..., les deux types d'activités, parce qu'ils incluent l'un comme l'autre des processus de création et des opérations de connaissance, sont bien souvent confrontés à des problèmes similaires : la question de l'attribution de la paternité et de la propriété des créations, l'établissement de la valeur de ces créations, l'importance prise par les moyens techniques dans le travail de conception, de réalisation, de diffusion...
Ce numéro propose d'aborder à différentes échelles territoriales la manière dont tous les professionnels de l'art (du spectacle vivant, des arts visuels, de productions littéraires et cinématographiques, etc.) et certaines institutions (services de l'Etat, collectivités, etc.) interagissent et se coordonnent. Les trois contributions regroupées dans ce volume permettent de mesurer finement la manière dont la rencontre entre artistes et institutions relève de l'imbrication entre différentes dimensions : spatiale, temporelle et axiologique. Trois niveaux d'action publique permettent de l'illustrer : l'application d'une politique européenne de cohésion en Sicile (Fanny Bouquerel), la politique de promotion des artistes espagnols installés à Berlin (Gloria Guirao Soro) ou encore le RSA artiste piloté par le conseil départemental de la ville de Paris (Luc Sigalo Santos).