Ce passage des Mémoires d'outre-tombe consacré à la fin de l'empereur déchu, exilé sur l'île de Sainte-Hélène, loin d'être la chronique d'une mort annoncée, éclaire le parcours hors du commun d'un homme que Chateaubriand montre conquérant plus que politique, soucieux des territoires bien plus que des peuples. La critique est vigoureuse mais l'admiration n'est pas en reste.