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A l'heure où le déclinisme ambiant plombe le monde et où la haine de soi nourrit une culpabilité mortifère, ce livre-chapitres original est de toute nécessité. Il raconte - de l'avènement d'Henri IV à la victoire de l'équipe de France contre le Brésil - treize journées particulières où notre « cher et vieux pays » s'est senti uni, ou le « je » individualiste et querelleur, caractère de l'esprit gaulois, s'est aboli dans un nous unanime et rassembleur, porté par une transcendance collective et une foi dans l'avenir.
En voici le sommaire :
22 mars 1594 : Entrée d'Henri IV dans Paris.
1er septembre 1715 : Mort de louis XIV.
14 juillet 1790 : Fête de la Fédération.
27 mars 1802 : La Paix d'Amiens.
1er avril 1867 : Inauguration de l'Exposition Universelle.
1er juin 1885 : Funérailles de Victor Hugo.
14 Juillet 1919 : Le défilé de la Victoire.
3 mai 1936 : Le Front Populaire.
25 et 26 Août 1944 : La Libération de Paris.
8 janvier 1959 : Le retour de De Gaulle.
9 février 1968 : La troisième médaille de Killy aux Jeux Olympiques de Grenoble.
21 Juillet 1969 : l'homme sur la Lune.
12 Juillet 1998 : L'équipe de France championne du monde de football.
Au hameau de Ginestière situé près d'Oraison, dans les Alpes-de-Haute-Provence, Marcel tombe par hasard sur une truffière laissée à l'abandon. Dès la découverte de son premier diamant noir, la passion de la rabasse va le happer. La truffe, objet de toutes les convoitises, finira par bouleverser sa vie. Tout pourrait aller pour le mieux si les rapports avec sa compagne Mathilde n'étaient pas aussi houleux. La rencontre de Kim, jeune et jolie Suédoise, ne va pas arranger les choses. Heureusement, il y a les amis, Jacky et Lucie, toujours présents dans les bons et les mauvais moments.
Avec « Retour à Ginestière », Robert Gaymard complète la fresque de la famille Maurel. Son nouveau livre nous entraîne une fois de plus dans cette Provence qu'il affectionne particulièrement. Jacky, chassé par son père de Ginestière pour une faute irréparable, a fini par se fixer dans le Var où il a fondé une famille et développé l'entreprise de son beau-père. Bien que bénéficiant d'un statut enviable, il ne peut se résoudre à tirer un trait sur sa jeunesse.
La mort accidentelle du petit Lulu, à peine âgé de cinq ans, plonge la famille Maurel dans le deuil, et Jacky, l'oncle, à qui on avait confié la garde de l'enfant, est rongé par le remords. Henri et Jeanne, les parents, minés par le désespoir, ne trouvent plus en eux ni le goût, ni la force de faire vivre Ginestière et ses arpents couverts de lavande. Quant à l'aïeul, que la disparition brutale de son petit-fils a désespéré, il préfère désormais la compagnie des bêtes à celle des hommes. Trente années ont passé. Jacky, qui a été chassé par l'aïeul loin du pays, a fait sa vie et bien développé la petite entreprise de maçonnerie de son beau-père, sans pour autant se résoudre à oublier Ginestière, ni ceux de là-bas dont il souhaite obtenir le pardon. Mais saura-t-il transcender son lourd passé pour emprunter à nouveau le sentier qui conduit à la colline aux lavandes ?
Fille de paysans des Basses Alpes, Louise savait, dès la fin de sa première année d'école primaire, qu'elle serait plus tard maîtresse d'école. Mais la seconde guerre mondiale est venue contrarier ses projets de vie. Au sortir du conflit, elle brûle du désir de voir évoluer une société patriarcale figée par des siècles d'immobilisme. Sa volonté inébranlable et son sens de la justice lui permettront-ils de relever la tête et de retrouver le goût du bonheur ?
Louise l'insoumise, malgré le temps qui passe, demeure indomptable. Elle n'a comme seuls guides que sa générosité, son sens de la famille et son désir de justice.
Sa vocation d'enseignante lui apporte, certes, beaucoup de satisfaction, mais elle ne suffit pas à combler tous ses désirs de jeune femme.
Aura-t-elle enfin droit au bonheur ?
Lorsque Lino, le jeune et beau Calabrais apprend qu'Olivier, l'enfant auquel Rosemai a donné naissance, est son fils et non celui de son époux Maurice Granier, il n'a qu'une seule idée : récupérer la mère et l'enfant. Le ciel s'éclaircit pour la charmante Grassoise née au milieu des champs de roses et de jasmin. Le bonheur semble enfin à portée de main. Pourtant le bonheur va s'acharner.
C'est un personnage et un destin qu'aurait aimés Romain Gary. Une vie qui va vite, traversée par les déchirements du XXe siècle. Bernard Fall est l'une des légendes les plus secrètes et attachantes parmi les reporters de guerre. Né en 1926 à Vienne dans une famille juive, contraint de fuir après l'Anschluss, il se réfugie à Nice où il échappe à la grande ra e de la police de Vichy, qui sera fatale à ses parents. À seize ans, il entre dans la Résistance. Deux ans plus tard, il décroche ses galons de lieutenant des FFI en Savoie. Traducteur au procès de Nuremberg, toujours en mouvement, conjurant deuils et blessures, il part étudier aux États-Unis, s'empare de la ques- tion indochinoise. Il multiplie les séjours en Asie du Sud-Est, s'impose comme l'un des premiers spécialistes de la guerre révolutionnaire et de la contre-insurrection, devient l'un des correspondants de presse les plus avisés et redoutés, surveillé par le FBI qui le prend pour un espion français. Avec l'Indochine puis le Vietnam, c'est une histoire d'amour dont il tirera des livres, notamment Rue sans joie. Plus qu'un titre, la Rue sans joie est une région maritime, au nord de Hué, qui a le visage de la beauté mais reste un enfer pour les com- battants : Bernard Fall y trouvera la mort le 21 février 1967 à quarante ans en sautant sur une mine. Depuis longtemps un pacte unit Bernard B. Fall à Hervé Gaymard. Il est parti sur les traces de ce frère d'armes et de larmes : à Vienne, en Ukraine, à Nice, en Savoie, à Washington, au Vietnam. Un récit de voyage sur cet aventurier, universitaire- soldat, toujours en marge, gure ardente de la liberté et de la vérité dont on aurait voulu faire son meilleur ami.
Les représentations sociales sont des processus, des statuts cognitifs, qui permettent d'appréhender les aspects de la vie ordinaire par un recadrage de nos propres conduites à l'intérieur des interactions sociales. Elles sont caractérisées par trois aspects interdépendants : communication, (re)construction du réel, maîtrise de l'environnement social.
Cet ouvrage fait le point sur la formation, la structuration et la transformation des représentations sociales, à travers un état des lieux des recherches les plus récentes sur ce thème.
A la fin des années 1950, la campagne grassoise se partage entre rosiers, jasmins, tubéreuses et oliviers.
Rosemai, fille cadette d'un couple de paysans n'a pour seule ambition que de perpétuer l'exploitation familiale alors que ses parents la verraient bien faire un bon mariage.
Rosarno, Italie du Sud, Lino est le sixième enfant d'une fratrie de huit que le père, modeste métayer, peine à nourrir. Le quotidien est rude, néanmoins le jeune garçon y trouve des joies à sa mesure jusqu'à ce que la mafia vienne s'immiscer dans la vie de la famille.
Peut-on imaginer un destin commun à ces deux enfances parallèles ?
« Nous n'incarnons pas à nous seules une génération. Nous en sommes deux représentantes, à la fois marginales mais en même temps représentatives des valeurs et des moteurs d'une époque. Nos discussions et nos débats se retrouvent dans beaucoup de familles.
Nous avons aucune prétention à l'exhaustivité et encore moins à la neutralité ou à la rigueur philosophique, historique ou sociologique. Nous avons voulu retracer nos lignes de frontières, nos fractures de lecture des évènements, nos visions si différentes et nos réactions parfois à l'opposé face à des situations communes alors que seuls 28 ans nous séparent. Nous avons grandi dans le même pays, nous avons eu les mêmes références culturelles, notre environnement familial et amical n'est pas si différent. Mais le contexte mental, et le corpus de valeurs a fondamentalement changé. Et si c'est ensemble que nous écrivons ce livre, Bérénice a retracé des visions et des opinions qui sont partagées par beaucoup de ceux qui incarnent la génération Y et j'ai le sentiment, en écho, de retrouver les réflexes de notre classe d'âge, enfants de Mai 68.
Ce qui nous a animé, c'est de mettre en lumière des contradictions inhérentes à nos différentes éducations et contextes générationnels et que chacun puisse se dire : mais oui, je n'avais pas pensé à cette manière de voir les choses. C'est intéressant et enrichissant. Et de cette contradiction apparente, en tirer un nouveau territoire d'apprentissage de l'autre, et une manière d'aimer et de regarder le monde incroyablement divers, imprévisible, changeant et venu de partout, qui se construit sous nos yeux. » Clara Gaymard
Les droits d'auteur du présent ouvrage sont entièrement reversés à la Fondation pour la Recherche médicale et à la Fondation Abbé-Pierre.
Les jeunes filles franco-maghrébines ont comme particularité d'appartenir à deux systèmes culturels qui n'ont pas les mêmes "exigences normatives".
Comment gérer au quotidien un désir d'émancipation sans remettre en question les valeurs de la culture d'origine ? Comment définir son identité quand elle est partagée entre l'appartenance à une culture traditionnelle et l'appartenance à une culture occidentale ? Comment se situer par rapport aux parents qui n'ont pas cette double acculturation ? Des entretiens individuels constitués de différents outils d'analyse ont été menés auprès des jeunes filles franco-maghrébines en rupture familiale ou à l'inverse épanouies dans leur contexte familial et faisant des études supérieures.
On constate que les étudiantes d'origine maghrébine élaborent des stratégies de négociation avec leurs parents, qui leur permettent de trouver des compromis entre les deux cultures. Ce jeu subtil de négociation interculturelle et intergénérationnelle est analysé et permet de mieux comprendre comment les filles en rupture peuvent se trouver en échec de négociation et quelles difficultés d'intégration peuvent en découler.
Pour mettre à jour ces stratégies implicites, l'auteur s'appuie sur la théorie des représentations sociales et en particulier s'interroge sur son articulation avec les aspects normatifs.
La sécurité dans les moyens de transport (terrestre, aérien) sous ses formes diverses constitue un réel enjeu de santé publique, et des réseaux européens de recherche se sont constitués pour apporter des réponses aux questions posées sur le terrain. Les contributions sont rassemblées sous quatre grands thèmes : évaluation et méthodes d'évaluation pour la sécurité ; communications, médias et sécurité ; politiques publiques, environnements et sécurité ; usagers vulnérables, normes et sécurité.
"La sécurité routière représente un défi à l aube du XXIème siècle. En effet, chaque année, environ 1,3 millions de personnes sont tuées sur les routes dans le monde, 50 millions sont blessées et handicapées à cause d accidents de la route. 90% de ces incidents arrivent dans les pays à revenus moyens et bas. Le coût économique global de la totalité des accidents de la route est supérieur à 500 milliards de dollars par an. L insécurité sur les routes est donc un véritable problème de santé publique et différents acteurs dans le monde travaillent pour tenter de le résoudre. Nous verrons dans cet ouvrage ce qu il se passe en France, en Norvège, en Algérie et en Côte d Ivoire."
La question des mobilités et transports durables fait partie des thématiques incontournables en ce XXIe siècle car il y a derrière cette question des enjeux essentiels liés à la protection de l'environnement, à la sécurité et au bien-être de chacun. Dans
Publié à l'occasion du 50e anniversaire du complexe Roselend-La-Bâthie, ce livre nous invite à un autre regard sur cette formidable aventure technique et humaine que sont les barrages hydroélectriques en Savoie. Une invitation, grâce aux photographies de Céline Clanet, à découvrir la beauté surprenante des formes et des machines, de même que la relation intime entre les hommes et leur création. La majesté des cathédrales de béton - les barrages -, mais aussi d'autres éléments moins visibles par les non-initiés - les conduites forcées -, est magnifiée par le parti pris artistique de la photographe, tout en offrant une lecture documentaire des lieux présentés. Des portraits sensibles de quelques témoins encore vivants de cette grande épopée laissent transparaître l'incroyable attachement des hommes à ce qu'ils ont collectivement réalisé.
Très tôt, l'homme a su utiliser les barrages pour réguler un fleuve capricieux ou transformer la puissance de l'eau en force motrice. Mais avec la découverte quasi simultanée de la turbine, de l'alternateur et des lignes électriques, une véritable révolution énergétique émerge dans les dernières années du xixe siècle : produire de l'électricité à la demande en arrêtant l'eau dévalant des sommets dans un barrage, puis en la turbinant pour entraîner un alternateur. La Savoie fait figure de précurseur dans cette étonnante aventure, dont les acteurs furent d'abord des ingénieurs et des industriels audacieux et, au sortir de la guerre, Électricité de France.
Aujourd'hui, les barrages de Savoie sont une rente précieuse laissée par nos aînés. Une installation déjà ancienne, mais qui possède étonnamment tous les atouts que l'on est en droit d'attendre d'une production d'énergie adaptée aux bouleversements énergétiques et climatiques à venir : propre, sans déchets toxiques, sans émissions, stockable, régulable en fonction de la demande, inépuisable à l'échelle humaine, sans prélèvement sur un gisement lointain. Si leur inscription dans le paysage ne s'est pas faite sans difficultés, les barrages de Savoie ont su éviter le gigantisme ou d'irréversibles atteintes à une région entière. Bien au contraire, ancrés dans la roche, ils se sont inscrits dans le territoire jusqu'à en devenir une composante majeure.
Accompagnant ces images, une préface d'Hervé Gaymard, écrivain et homme politique qui porte aujourd'hui, en tant qu'élu, les réflexions nécessaires à l'évolution de la Savoie, et un texte de Thierry Salomon nous invitent à réfléchir à ce que représente, pour l'homme et son environnement, cette énergie qui part de l'eau dévalant les sommets jusqu'au flux des électrons, qui s'écoule du torrent au courant.
Mondialisation surmultipliée par la digitalisation, spectre de la guerre resurgissant sur tous les continents, menace terroriste inscrite dans notre quotidien : plus que jamais les Français pressentent l'importance décisive de la politique étrangère, tandis qu'aux quatre coins de la planète grandit le besoin d'une France assumant à nouveau sa vocation.
Comment ne plus nous soustraire au lien impératif entre notre équilibre intérieur et notre projet extérieur ?
Comment assurer, dans et hors les frontières, notre identité ? Comment l'incarner de manière exemplaire ?
La France n'est grande que lorsqu'elle se dépasse, prévient Hervé Gaymard. Comme dans la vie, il lui faut une ligne de force. En un tour d'horizon magistral des défis, des menaces et des opportunités, où les leçons de l'histoire viennent éclairer les crises du présent, la voici.
Voici la suite de l'histoire du Cirque Bidon, le seul cirque qui se déplace en roulottes. Après l'Italie l'année passée, le Cirque Bidon retrouve les routes de France en remontant la Loire. Il a suivi les routes et chemins de la Loire à vélo en visitant les charmants villages du jardin de la France, chargés d'histoire.
Ce livre est retrace l'année 2017 en photos.
Le cirque Bidon est un cirque traditionnel se déplaçant avec des roulottes tirées par des chevaux. Ce cirque a été créé en 1974 et a tourné pendant de nombreuses années en Italie. Revenu en France, il égaye les étés des régions françaises avec son "Théâtre d'art et de poésie".
Ce livre est un recueil de photos de la tournée 2015 dans le Berry. Le titre du spectacle est "Il fera beau ce soir".
Le cirque Bidon est un cirque traditionnel. Il est le seul cirque se déplaçant encore avec des roulottes tirées par des chevaux. Après avoir parcouru l'Italie pendant des années, on peut le rencontré, à la belle saison, sur les routes de France. Chaque année, sa caravane serpente le long des routes d'une région. Il est stationné en hiver dans le Berry, près du village où fut tourné 'Jour de fête' de Jacques Tati.
J'ai la chance de suivre depuis trois ans cette troupe:
Son spectacle alterne les numéros d'acrobatie, de comédie ou de clowns. Il dénonce avec humour les travers de la vie moderne. Au spectacle avec un public qui retient son souffle ne voulant pas perdre une seconde des scènes qui s'entrecroisent.
La route qui fait l'éloge de la lenteur, si l'étape fait plus de 30 km, un bivouac s'impose pour préserver les chevaux.
Le montage et démontage du palc (cirque en plein air, sans chapiteau) travail méthodique où chacun répète ses gestes appris par l'expérience.
Je vous propose dans se livre de photos quelques moments que j'ai pu partagé avec ces artistes dont la vie, j'en suis sûr saura vous captiver.
Le Cirque Bidon est un Cirque se déplaçant avec des roulottes tirées par des chevaux. En 2016, il est retourné en Italie après une dizaine d'année d'absence. Ce livre est un recueil de photo de son spectacle présenté: "Bulle de rêve".
"A l'heure où l'inquiétude, le scepticisme et le désabusement marquent les esprits et les coeurs, cette lettre d'amour a surgi de ma plume.
Enthousiaste, et injuste peut-être. Mais vivante, et guidée par l'espérance. Il y a bien longtemps que j'ai compris qu'il fallait nous délivrer du carcan qui enserre la France, de cette peur qui la paralyse, de ce ressentiment qui la défigure. Pour mieux la servir. Et pour écrire ensemble de belles pages françaises dans ce nouveau monde qui se construit, en arrachant l'Europe à son tâtonnement, et en renouant avec notre appétit de vivre.
C'est une invitation à tourner le dos au fatalisme, à refuser la frénésie et le vacarme de cette société qui nous asservit, à renouer avec l'engagement. Dans mes diverses activités politiques, j'ai connu des succès, mais aussi la déception et le rejet, lorsque j'ai dû démissionner du ministère de l'Economie et des Finances. Mon enracinement local et politique m'a permis de reconquérir la confiance de mes électeurs.
Et je sais que c'est dans l'amour de la France et de l'humaine condition que nous saurons nous reconstruire. Si nous le voulons."
En 2018 le Cirque Bidon est retourné en Italie présenter son nouveau spectacle 'Entrez dans la danse'. Entre Pennabilli et Bologne, toujours au rythme des roulottes, il a parcouru les routes sous le soleil italien égayant les soirées des villages traversés.Ce livre retrace en photos l'année 2018 riche en rebondissement.