Notre planète a-t-elle la capacité de supporter le poids d'une population encore accrue, d'ici 2050, de quelques milliards d'êtres humains, alors que l'atmosphère, les océans et, plus généralement, l'ensemble des ressources et écosystèmes sont déjà en situation de tension extrême ? La Terre serait-elle pleine ?
10 scientifiques de renom, pour la plupart issus de l'Université d'Oxford, abordent, chacun au travers du prisme de sa propre spécialité (économie, démographie, géologie, santé publique, institutions.), la question de la durabilité des niveaux de population que l'on connait actuellement et, surtout, que l'on anticipe pour les décennies à venir.
L'approche multifacette met de la perspective, pousse de nouvelles portes, oppose les faits aux idées reçues : à certains égards, oui la Terre est pleine, mais de manière inégale, et rien n'est perdu : ce que l'Homme a fait il peut le défaire, ou l'améliorer - mais le temps presse.
Visionary Oxford professor Ian Goldin and The Economist''s Tom Lee-Devlin show why the city is where the battles of inequality, social division, pandemics and climate change must be faced.
From centres of antiquity like Athens or Rome to modern metropolises like New York or Shanghai, cities throughout history have been the engines of human progress and the epicentres of our greatest achievements. Now, for the first time, more than half of humanity lives in cities, a share that continues to rise. In the developing world, cities are growing at a rate never seen before.
In this book, Professor Goldin and Tom Lee-Devlin show why making our societies fairer, more cohesive and sustainable must start with our cities. Globalization and technological change have concentrated wealth into a small number of booming metropolises, leaving many smaller cities and towns behind and feeding populist resentment. Yet even within seemingly thriving cities like London or San Francisco, the gap between the haves and have-nots continues to widen and our retreat into online worlds tears away at our social fabric. Meanwhile, pandemics and climate change pose existential threats to our increasingly urban world.
Professor Goldin and Tom Lee-Devlin combine the lessons of history with a deep understanding of the challenges confronting our world today to show why cities are at a crossroads - and hold our destinies in the balance.>
The Butterfly Defect addresses the widening gap between the new systemic risks generated by globalization and their effective management. It shows how the dynamics of turbo-charged globalization has the potential and power to destabilize our societies. Drawing on the latest insights from a wide variety of disciplines, Ian Goldin and Mike Mariathasan provide practical guidance for how governments, businesses, and individuals can better manage globalization and risk. Goldin and Mariathasan demonstrate that systemic risk issues are now endemic everywhere--in supply chains, pandemics, infrastructure, ecology and climate change, economics, and politics. Unless we address these concerns, they will lead to greater protectionism, xenophobia, nationalism, and, inevitably, deglobalization, rising inequality, conflict, and slower growth. The Butterfly Defect shows that mitigating uncertainty and risk in an interconnected world is an essential task for our future.
Phénomène qui existe depuis des siècles, la mondialisation s'est accélérée au fil du temps. A la colonisation des régions habitées du monde a succédé l'apparition des nations, aux conquêtes l'accession à l'indépendance des pays, aux bateaux à voile et aux caravanes les bateaux à vapeur, les flottes de camions et les avions-cargo, au commerce de quelques dentées les réseaux mondiaux de production et de distribution, et on assiste maintenant, à l'échelon international, à une véritable explosion de la circulation des services, des capitaux et de l'information.
Devant une évolution aussi spectaculaire, la question est de savoir si ce phénomène est bon ou mauvais pour l'humanité, s'il faut encourager ou le freiner et, si c'est le cas, par quels moyens. Pour juger la mondialisation, on peut appliquer de nombreux critères, mais le plus important est incontestablement le développement sous toutes ses formes, notamment, la réduction de la pauvreté.
Dans ce livre remarquable, Ian GOLDIN et Kenneth REINERT proposent une analyse introductive de tous les aspects clés de la mondialisation -commerce, finance et migrations- dont ils montrent la complexité des liens avec la pauvreté et le développement.