Marx écrivit cet ouvrage en français dans le courant de l'hiver 1846-1847 en réponse à l'étude de Proudhon parue en octobre 1846 sous le titre Contradictions économiques, ou philosophie de la misère. Misère de la philosophie est une étape de grande importance dans l'?uvre de Marx. Elle constitue la première synthèse entre une philosophie méthodique et une économie politique à la fois objective et concrète. Marx combat les thèses de Proudhon sur les problèmes économiques tels que la valeur, la concurrence, les crises, et en particulier celle qui consiste à déclarer que lorsque les salaires augmentent, ils entraînent une augmentation automatique des prix. Il y dénonce l'inconséquence de la métaphysique proudhonienne aux prises avec "l'histoire réelle". Il y définit la réalité et la nécessité de la lutte des classes et ses perspective. L'ouvrage est introduit par un avant-propos du philosophe Henri Mougin et les préfaces d'Engels aux premières éditions allemandes.
Les Éditions sociales se sont imposées depuis leur recréation comme la maison d´édition de référence des écrits de Marx et d´Engels. La parution en 2016 d´une version révisée par J.-P. Lefebvre de sa traduction de 1983 du livre 1 du Capital a participé de cette reconnaissance. La publication prochaine du livre 1 du Capital en format poche permettra tout d´abord de rendre à nouveau disponible sur le marché l´édition de 2016, aujourd´hui épuisée. Elle sera aussi l´occasion d´une réactualisation du texte, notamment la correction des coquilles, l´ajout d´une introduction et la refonte de l´index. Cette initiative vise plus largement à fournir à un prix accessible et dans un format maniable, la meilleure traduction du Capital en circulation.
Alors qu'il séjourne entre mai et octobre 1843 dans la petite ville de Kreuznach, Marx s'attèle à l'élaboration d'une critique de la philosophie du droit de Hegel, dont la pensée constitue alors l'horizon philosophique des jeunes penseurs critiques allemands. Ce travail prend la forme d'un commentaire ligne à ligne des paragraphes 261 à 313 des Principes de la philosophie du droit consacrés à la constitution interne de l'État.
Marx laisse finalement ce travail inachevé sous la forme d'un manuscrit. C'est ce texte que nous publions aujourd'hui dans une nouvelle traduction qui, pour la première fois en France, s'appuie sur l'édition critique allemande la plus récente, et tente de faire apparaître le manuscrit de Kreuznach comme ce qu'il est?: un brouillon qui est aussi un véritable laboratoire de la pensée de Marx en train de se construire et de se préciser au contact du texte de son maître.
Une introduction, un plan détaillé du texte, un appareil de notes, un glossaire et un choix de textes complémentaires, dont les paragraphes de Hegel commentés, permettent de replacer ce texte étonnant dans le cheminement de pensée de Marx, et en particulier dans le débat qu'il n'a jamais cessé d'entretenir avec la pensée de Hegel.
A la veille du congés d'unification de 1873, Kart Marx commente le programme des sociaux-démocrates allemands. Cette nouvelle traduction et l'appareil critique qui l'entoure replace le commentaire de Marx dans les circonstances de son écriture, et particulièrement dans le débat qu'il entretient avec les idées de Ferdinand Lassalle.
Les manuscrits de 1857-1858, couramment appelés Grundrisse, sont un moment essentiel dans le long travail de préparation du Capital de Karl Marx. Dès les années 1960, le débat s'anima entre les tenants de Grundrisse encore englués dans les catégories hégéliennes et ceux pour qui ces manuscrits marquaient la première analyse du mouvement du mode de production capitaliste dans les termes de la propre dialectique de Marx. Depuis, ces textes n'ont cessé d'inciter recherches et disputes, jusqu'à constituer pour certains le sommet du marxisme, le moment de l'union de la théorie et de la pratique... L'introduction de Jean-Pierre Lefebvre, dont la traduction ici reproduite fut publiée en 1980 par les Éditions sociales, nous prévient du " caractère inclassable, du statut mixte, pluriel, ou, comme dirait Marx, multilatéral " des manuscrits écrits en 1857 et 1858. Ce foisonnement de la pensée explique, sans nul doute, l'intérêt que continue de susciter cet ouvrage.
Le chapitre VI du livre I du Capital est la seule partie conservée de l'ultime manuscrit préparatoire à la rédaction de l'oeuvre maîtresse de Karl Marx.
Bien que ce texte n'ait pas été retenu dans la version parue en 1867 et qu'il soit encore sous divers rapports un brouillon, la richesse de la vue critique d'ensemble qu'il donne du mode de production capitaliste justifie les publications et traductions en nombreuses langues qui en ont été faites depuis sa première publication en 1933.
Le Capital est l'Å«uvre maîtresse de Karl Marx. Il fait partie de ces quelques productions de l'esprit qui font le corps du débat sur les sociétés humaines et leur devenir.
Entre la fin décembre 1851 et mars 1852, karl marx écrit en quelques semaines une brochure destinée à expliquer les raisons profondes du coup d'état de louis-napoléon bonaparte.
Sans négliger l'histoire précise des circonstances qui ont conduit au 2 décembre 1851, marx examine le cheminement des mentalités, en s'attachant aux traditions politiques qui imprègnent les masses populaires urbaines et rurales, en particulier le bonapartisme. ii s'efforce de préciser les formes du rapport entre le pouvoir et les masses en période de suffrage universel et enrichit ainsi la réflexion théorique sur l'état et le processus révolutionnaire, toujours solidement appuyé sur les rapports de classes.
Marx historien, marx théoricien, pamphlétaire et écrivain : le dix-huit brumaire offre du grand penseur révolutionnaire toutes ces images à la fois.
Le Capital est l'oeuvre maîtresse de Karl Marx. Il fait partie de ces quelques productions de l'esprit qui font le corps du débat sur les sociétés humaines et leur devenir.
Le Capital est l'oeuvre maîtresse de Karl Marx. Il fait partie de ces quelques productions de l'esprit qui font le corps du débat sur les sociétés humaines et leur devenir.
Le Capital est l'oeuvre maîtresse de Karl Marx. Il fait partie de ces quelques productions de l'esprit qui font le corps du débat sur les sociétés humaines et leur devenir.
Le Capital est l'oeuvre maîtresse de Karl Marx. Il fait partie de ces quelques productions de l'esprit qui font le corps du débat sur les sociétés humaines et leur devenir.
Texte français établi par Gilbert Badia, Jean-Pierre Briand, Georges Hadju-Villa, Félix Kreissler, Pierre Lefranc, Claude Mainfroy, Brigitte Pätzold, Claude Ravel, Jean Tailleur, Liliane Volery. Dans une lettre à Engels de 1865, Marx définit ainsi le Livre IV du Capital : consacré à l'histoire et aux sources, [il] sera pour moi, relativement, la partie la plus facile. Dans une autre lettre de 1867, il écrit : Le volume I embrasse la procès de production du capital. Marx a rédigé l'ensemble des 3 volumes du Livre IV entre 1861 et 1863. A n'en pas douter certaines les analyses qu'il a produites dans ces ouvrages présentent un intérêt qui déborde largement l'économie politique au sens étroit du terme. Philosophes, sociologues et tous ceux qui s'occupent de sciences humaines y trouveront ample matière à réflexion.
Texte français établi par Gilbert Badia, Jean-Pierre Briand, Georges Hadju-Villa, Félix Kreissler, Pierre Lefranc, Claude Mainfroy, Brigitte Pätzold, Claude Ravel, Jean Tailleur, Liliane Volery. Dans une lettre à Engels de 1865, Marx définit ainsi le Livre IV du Capital consacré à l'histoire et aux sources, [il] sera pour moi, relativement, la partie la plus facile. Dans une autre lettre de 1867, il écrit : Le volume I embrasse la Procès de production du capital. Marx a rédigé l'ensemble des 3 volumes du Livre IV entre 1861 et 1863. A n'en pas douter certaines les analyses qu'il a produites dans ces ouvrages présentent un intérêt qui déborde largement l'économie politique au sens étroit du terme. Philosophes, sociologues et tous ceux qui s'occupent de sciences humaines y trouveront ample matière à réflexion.