La Marchandise est 1e premier chapitre du Capital, dans la traduction française de Joseph Roy "entièrement révisée" par Marx lui-même.
Ce chapitre parut en France en 1872, au prix de dix centimes. Ainsi publié sous forme de petits fascicules, en livraisons périodiques, Le Capital, ouvre immense mais chère, "sera plus accessible à la classe ouvrière, et pour moi, déclare Marx à son éditeur français, cette considération l'emporte sur toute autre". Ainsi, en publiant à part ce premier chapitre du Capital, "Les Philosophiques" entendent prendre le voeu de Marx au sérieux et rendre accessible une ouvre fondamentale dont la taille risquerait de condamner le plus grand nombre à n'en rien lire du tout.
Il se trouve en outre que La Marchandise n'est pas un simple chapitre parmi d'autres, mais contient l'une des trouvailles les plus importantes de tout Le Capital, de l'avis même de Marx. Et aujourd'hui encore, pouvons-nous nier l'importance de ce concept de marchandise, nous qui baignons dans un monde de marchandises et qui affirmons que l'école, la santé, le monde ne sont pas des marchandises ? Mais savons-nous au juste ce que c'est qu'une marchandise ? Pour ne pas se contenter de juger et de condamner le présent, La Marchandise nous offre les moyens conceptuels de le comprendre.
La valeur ne porte donc pas écrit sur le front ce qu'elle est.
Elle fait bien plutôt de chaque produit du travail un hiéroglyphe. ce n'est qu'avec le temps que l'homme cherche à déchiffrer le sens du hiéroglyphe, à pénétrer les secrets de l'oeuvre sociale à laquelle il contribue, et la transformation des objets utiles en valeurs est un produit de la société, tout aussi bien que le langage.
Marx écrivit cet ouvrage en français dans le courant de l'hiver 1846-1847 en réponse à l'étude de Proudhon parue en octobre 1846 sous le titre Contradictions économiques, ou philosophie de la misère. Misère de la philosophie est une étape de grande importance dans l'?uvre de Marx. Elle constitue la première synthèse entre une philosophie méthodique et une économie politique à la fois objective et concrète. Marx combat les thèses de Proudhon sur les problèmes économiques tels que la valeur, la concurrence, les crises, et en particulier celle qui consiste à déclarer que lorsque les salaires augmentent, ils entraînent une augmentation automatique des prix. Il y dénonce l'inconséquence de la métaphysique proudhonienne aux prises avec "l'histoire réelle". Il y définit la réalité et la nécessité de la lutte des classes et ses perspective. L'ouvrage est introduit par un avant-propos du philosophe Henri Mougin et les préfaces d'Engels aux premières éditions allemandes.
Les Éditions sociales se sont imposées depuis leur recréation comme la maison d´édition de référence des écrits de Marx et d´Engels. La parution en 2016 d´une version révisée par J.-P. Lefebvre de sa traduction de 1983 du livre 1 du Capital a participé de cette reconnaissance. La publication prochaine du livre 1 du Capital en format poche permettra tout d´abord de rendre à nouveau disponible sur le marché l´édition de 2016, aujourd´hui épuisée. Elle sera aussi l´occasion d´une réactualisation du texte, notamment la correction des coquilles, l´ajout d´une introduction et la refonte de l´index. Cette initiative vise plus largement à fournir à un prix accessible et dans un format maniable, la meilleure traduction du Capital en circulation.
Rédigé à chaud à partir de documents, cet opuscule tente d'expliquer le coup d'Etat du 2 décembre 1851. Comment comprendre le succès du futur Napoléon III, cet aventurier qui va à l'encontre des royalistes du parti de l'ordre en rétablissant le suffrage universel masculin, tout en réprimant les manifestations des démocrates, et que les Français plébiscitent néanmoins le 21 décembre 1851 oe
La Critique de l'économie politique, aussi connue sous le titre de Manuscrits de 1844 est restée inédite du vivant de Marx et ne fut publiée qu'en 1932. C'est une «oeuvre de jeunesse», une oeuvre d'avant la fameuse «coupure épistémologique» théorisée par Louis Althusser. On peut rappeler que ce philosophe français et sa suite, Étienne Balibar, Roger Establet, Pierre Macherey et Jacques Rancière voyaient dans la publication du Capital châtré du chapitre consacré au caractère fétiche de la marchandise (publié par Allia), une rupture radicale dans l'oeuvre de Marx. Celle-ci devenait désormais «scientifique», et Althusser renvoyait avec mépris dans la sphère de la «philosophie» tout ce qui précédait. C'est que le Marx de 1844 ne faisait pas du tout les affaires de l'idéologue communiste. On découvre en effet avec la Critique de l'économie politique un Marx humaniste, qui dénonçait non seulement l'exploitation économique mais aussi l'aliénation essentielle de l'homme créée par la société capitaliste. Nulle trace de jargon, de ce qui deviendra plus tard la phraséologie marxiste, aucun développement économique technique.
Marx (1818-1883) n'a cessé depuis un siècle d'être au co-eur des luttes idéologiques du monde contemporain. Génie multiforme, il est à la fois le philosophe qui renverse la philosophie idéaliste de Hegel (La Sainte Famille, 1845), l'historien des révolutions (Les Luttes de classes en France, 1850), le pamphlétaire qui donne au prolétariat une doctrine, l'économiste du Capital et l'un des fondateurs de l'Internationale. Mais sous sa dispersion apparente, son o-euvre n'a jamais qu'un seul but, la quête des contradictions de la société capitaliste et des moyens de leur résolution.
Marx (1818-1883) n'a cessé depuis un siècle d'être au co-eur des luttes idéologiques du monde contemporain. Génie multiforme, il est à la fois le philosophe qui renverse la philosophie idéaliste de Hegel (La Sainte Famille, 1845), l'historien des révolutions (Les Luttes de classes en France, 1850), le pamphlétaire qui donne au prolétariat une doctrine, l'économiste du Capital et l'un des fondateurs de l'Internationale. Mais sous sa dispersion apparente, son o-euvre n'a jamais qu'un seul but, la quête des contradictions de la société capitaliste et des moyens de leur résolution.
Dans Critique du droit politique hégélien, Karl Marx commente de manière exemplaire, paragraphe par paragraphe, une partie de la Philosophie du Droit de Hegel, où il est question de la Constitution, " l'Etat au plan interne ". Avec ce texte, il entame sa réflexion sur ce qu'il nomme la " vraie démocratie " et critique la conception hégélienne de l'Etat. Et cette critique ne se contente pas simplement de montrer les contradictions qui existent dans la philosophie de Hegel mais les explique, en comprend la genèse et la nécessité. Grand spécialiste des deux penseurs, Kostas Papaioannou a traduit avec lucidité ces écrits de jeunesse qui, publiés tardivement, révélèrent les qualités de philosophe de Marx. Les préceptes ici énoncés par Marx résonnent encore avec les préoccupations de notre temps, comme sa critique de la bureaucratie, ou celle, contradictoire, du citoyen idéal, " un être générique dans sa vie empirique ".
Les manuscrits de 1857-1858, couramment appelés Grundrisse, sont un moment essentiel dans le long travail de préparation du Capital de Karl Marx. Dès les années 1960, le débat s'anima entre les tenants de Grundrisse encore englués dans les catégories hégéliennes et ceux pour qui ces manuscrits marquaient la première analyse du mouvement du mode de production capitaliste dans les termes de la propre dialectique de Marx. Depuis, ces textes n'ont cessé d'inciter recherches et disputes, jusqu'à constituer pour certains le sommet du marxisme, le moment de l'union de la théorie et de la pratique... L'introduction de Jean-Pierre Lefebvre, dont la traduction ici reproduite fut publiée en 1980 par les Éditions sociales, nous prévient du " caractère inclassable, du statut mixte, pluriel, ou, comme dirait Marx, multilatéral " des manuscrits écrits en 1857 et 1858. Ce foisonnement de la pensée explique, sans nul doute, l'intérêt que continue de susciter cet ouvrage.
Les Manuscrits économico-philosophiques de 1844 ont parfois été considérés comme un simple document témoignant de ce qu'était Marx à la veille de sa "sortie" de la philosophie. Il ne s'agit certes pas de tomber dans l'extrême inverse, qui en ferait le seul texte de Marx digne d'entrer au Panthéon de l'histoire de la philosophie. Car si les Manuscrits ne sont pas un obstacle à surmonter pour accéder à Marx, ils ne sont pas non plus "tout Marx" : ils offrent une voie d'accès à sa pensée, justement parce que Marx y conquiert une pratique nouvelle de la philosophie comme "critique de l'économie politique ", c'est-à-dire comme critique du savoir dans et par lequel l'époque forme et expose sa conscience d'elle-même. En ce sens, Marx radicalise l'entreprise critique inaugurée par Kant, poursuivie par Fichte et Hegel : chez lui, la critique philosophique du savoir de soi de l'époque - un savoir tronqué, imaginaire et trompeur - aboutit à l'exigence d'une transformation de la pratique sociale qui engendre cette méconnaissance et cette fausse conscience. Mieux comprendre le monde en changeant ensemble notre manière d'être et d'agir : loin de tourner le dos à la philosophie, Marx renoue avec son ambition première et fondatrice, toujours actuelle.
Le chapitre VI du livre I du Capital est la seule partie conservée de l'ultime manuscrit préparatoire à la rédaction de l'oeuvre maîtresse de Karl Marx.
Bien que ce texte n'ait pas été retenu dans la version parue en 1867 et qu'il soit encore sous divers rapports un brouillon, la richesse de la vue critique d'ensemble qu'il donne du mode de production capitaliste justifie les publications et traductions en nombreuses langues qui en ont été faites depuis sa première publication en 1933.
C'est un extrait d'un ouvrage posthume du philosophe, Manuscrits de 1844 , publié seulement en 1932. C'est une dénonciation sans précédent du rôle que peut tenir l'argent dans nos sociétés, jusqu'à devenir comme l'écrit Marx, " le vrai et unique besoin ", à se substituer au propre de la condition humaine. " L'argent peut manger, boire, aller au bal. " Mais, note Marx, c'est un jeu pervers car alors, faute d'être sollicités, nos sens et l'être de nos sens s'éteignent. Seul demeure l'avoir. Nous sommes rendus " sots et bornés ".
Ce rapport de Marx pour le conseil général de la Première internationale illustre dans les grandes lignes la thèse de la plus-value qu'il développera en détail quelque année plus tard dans Le Capital. Ce texte est une première approche à l'analyse de Marx du mode de production. La différence entre le salariat ou l'esclavage ne se distingue en fin de compte que sur la manière dont est extorqué le travail.
Entre la fin décembre 1851 et mars 1852, karl marx écrit en quelques semaines une brochure destinée à expliquer les raisons profondes du coup d'état de louis-napoléon bonaparte.
Sans négliger l'histoire précise des circonstances qui ont conduit au 2 décembre 1851, marx examine le cheminement des mentalités, en s'attachant aux traditions politiques qui imprègnent les masses populaires urbaines et rurales, en particulier le bonapartisme. ii s'efforce de préciser les formes du rapport entre le pouvoir et les masses en période de suffrage universel et enrichit ainsi la réflexion théorique sur l'état et le processus révolutionnaire, toujours solidement appuyé sur les rapports de classes.
Marx historien, marx théoricien, pamphlétaire et écrivain : le dix-huit brumaire offre du grand penseur révolutionnaire toutes ces images à la fois.
Une nouvelle traduction des chapitres sur la théorie de la valeur et la plus-value du Capital de Karl Marx.
Un capitaliste est un propriétaire d'argent qui achète des marchandises pour les transformer en plus d'argent. La plus-value est le seul but de ces échanges. Marx a identifié son origine : une seule marchandise, le travail humain, possède la propriété de créer plus de valeur qu'elle n'a coûté. En l'achetant, le capitaliste s'approprie du travail non payé : la plus-value. L'argent devient ainsi du capital. La fabuleuse création de richesses, l'épuisement des ressources naturelles et la crise actuelle du capitalisme reposent sur l'extraction sans limites de la plus-value.
Biographie des auteurs :
Gérard Mordillat est romancier et cinéaste. Depuis Vive la sociale ! il explore le monde du travail. Les vivants et les morts (2005) fait l'objet d'un film de Gérard Mordillat. Notre part des ténèbres (2008) est son dernier roman.
Karl Marx est l'auteur du célèbre Manifeste du parti communiste. Il a participé à la création de la première Association internationale des travailleurs
Dans les semaines qui suivent la publication du Manifeste du Parti communiste , la police prussienne interpelle et arrête les membres du Comité central de la Ligue des communistes (l'ancêtre du Parti communiste). Leur procès a lieu en octobre 1852; sept d'entre eux sont condamnés à des peines allant de trois à six ans de forteresse. Immédiatement après le verdict, la Ligue est o¡ ciellement dissoute.
Un texte rare de Karl Marx à plus d'un titre: d'une part parce qu'il est quasiment inédit, et d'autre part parce qu'il nous donne à voir un Karl Marx journaliste qui, entre histoire et philosophie, entre théorie et pratique, raconte et met en perspective cet épisode fondateur de la constitution du mouvement ouvrier.
Le premier volume des articles publiés par Marx et Engels dans le New York Daily Tribune couvre les années 1851-1852. En dépit du peu d'importance qu'on leur a prêtée jusqu'alors, ces textes représentent pourtant un pan majeur de l'oeuvre des deux auteurs. Rédigés à un moment clé de leur parcours, juste après l'échec des révolutions en Europe, ils montrent Marx et Engels se confrontant directement aux questions économiques et politiques de leur époque. Ces articles représentent ainsi un matériau original, contenant des réflexions que l'on ne retrouve nulle part ailleurs et anticipant des analyses qui seront plus tard développées dans leurs grands textes des années 1850 et 1860.
Edition et traduction Alexia Blin, Yohann Douet, Juliette Farjat, Alexandre Feron et Marion Leclair.
La Commune de Paris est une date-clé dans l'histoire de France, dans celle du mouvement ouvrier international mais aussi dans la pensée d'Engels et de Marx. C'est à partir de cette expérience qu'ils reprennent le fil de leur réflexion politique interrompue depuis la défaite des révolutions de 1848.
Ce choix de textes, présenté par Stathis Kouvélakis, propose, pour un public de non-spécialistes, leurs principales contributions sur la Commune et montre leur importance théorique. L'ouvrage donne aussi à voir les principales controverses, notamment à travers certains textes anarchistes (Bakounine, Kropotkine). Ces débats qui agitent le mouvement ouvrier de l'époque ne sont pas dépourvus de résonnance actuelle.
L'expansion coloniale de l'Europe a constitué un phénomène d'une rare violence qui bouleversa des civilisations millénaires, et laissa de profondes cicatrices dans les mémoire collective.
Tout au long de leurs vies de penseurs et de militants, Marx et Engels se sont intéressés de près à la question coloniale. Dénonçant l'inhumanité des puissances européennes envers les populations colonisées, ils dévoilent le pillage organisé des richesses de continents entiers.
De la Chine à l'Algérie, de l'Inde à l'Irlande en passant par la Perse et l'Afghanistan, ils donnent également à comprendre l'imbrication des enjeux économiques, politiques et sociaux au coeur de ce phénomène. Ils mettent ainsi en évidence que colonialisme et capitalisme sont intimement liés.
Recueil d'articles et de lettres accompagnés de rappels historiques.
« Les grands hommes de l'Allemagne de 1848 étaient sur le point de connaître une fin sordide quand la victoire des «tyrans» pourvut à leur sûreté, les envoyant à l'étranger et faisant d'eux des martyrs et des saints.
Ils furent sauvés par la contre-révolution.
Mais il fallait rappeler quotidiennement à la mémoire du public l'existence de ces libérateurs du monde.
Plus ces rebuts de l'humanité étaient hors d'état de réaliser quoi que ce soit de concret, plus il leur fallait s'engager avec zêle dans un semblant d'activité inutile et claironner en grande pompe des partis imaginaires et des combats imaginaires.
Plus ils étaient impuissants à mener à bien une véritable révolution, plus il leur fallait soupeser cette future éventualité, répartir les places à l'avance et se plonger dans les délices anticipés du pouvoir. » Lorsque Marx et Engels arrivent à Londres, ils ont été précédés par des compatriotes, militants du « Printemps des peuples », exilés comme eux. Refusant de réfléchir à leur échec pour préparer la révolution de demain, cette poignée d'intellectuels tient le haut du pavé sur une scène déjà médiatique, plus théâtrale que politique. Bouffons et traîtres s'y bousculent, que les auteurs épinglent au milieu de réflexions sur la mobilisation et la recomposition politique du mouvement révolutionnaire qui engendrera l'Internationale.
Écrit entre mai et juin 1852, ce texte n'a jamais été traduit en français. On y retrouve le ton incisif et parfois cruel de Marx lorsqu'il évoque ses contemporains - qui rappellent les nôtres.
C'est reparti. La correspondance de Karl Marx et de Friedrich Engels, arrêtée en 1989, recommence à paraître avec ce tome 13 qui comprend les années 1875 à 1880.
Comme pour les autres volumes, cette source est irremplaçable pour comprendre la vie et le travail de ces deux personnages qu'on dit volontiers secrets, alors que leurs lettres nous livrent leur existence au jour le jour : familles et soucis familiaux ou d'argent (le riche Engels distribuait trop...), organisation du travail, santé de plus en plus défaillante pour la femme de Marx, Jenny, puis pour lui-même, voyages, cures... Mais la masse la plus importante est toujours dévolue au travail.
1875, ce sont les derniers fascicules de l'édition française du Capital qui paraissent, il faut organiser la promotion. C'est la fin de la première Internationale avec les combats contre les anarchistes (Bakounine va bientôt mourir).
Mais c'est aussi et massivement la renaissance du mouvement ouvrier après l'effondrement lié à la défaite de la Commune de Paris. Partout en Europe se créent des partis socialistes sur les bases théoriques proches de Marx et Engels. En Allemagne d'abord, ce qui bien sûr intéresse au plus haut point les deux émigrés allemands. Non seulement Marx écrit La critique du programme de Gotha, mais son compère et lui correspondent avec les dirigeants du nouveau parti. Au fil des lettres, c'est l'ensemble des partis du Nord, du Sud, des organisations scandinaves, espagnoles, polonaises, françaises... qui demandent conseils et aides.
À partir de 1877, après s'être fait longuement tirer l'oreille, Engels accepte de rédiger plusieurs articles contre Eugen Dühring, qui donneront lieu à la publication d'un livre, l'Anti-Dühring. C'est toute l'histoire de ce travail, les discussions avec les socialistes allemands, l'élaboration avec Marx qui apparaissent dans les échanges de courrier.
La période est marquée par de nombreux événements internationaux auxquels l'un et l'autre sont toujours sensibles. Et en 1878 éclate un conflit entre l'Empire russe et l'Empire ottoman. Marx mène à ce propos un de ses grands combats, montrant l'importance des questions internationales pour le mouvement ouvrier et les rapports de forces nationaux...
Le prochain volume, d'ici 3 ans, ira jusqu'au 1885, et comprendra le début de la correspondance d'Engels après la mort de Marx.
On a ajouté quelques lettres de correpondants (Bebel, Liebknecht, ...). Chronologie et index divers.