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Prix
Tardi
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Nestor Burma Tome 1 : Brouillard au pont de Tolbiac
Léo Malet
- Casterman
- 6 Novembre 2024
- 9782203290952
Appelé au chevet d'un vieux chiffonnier mourant, Nestor Burma se retrouve plongé dans ses souvenirs de jeunesse, alors qu'il traînait dans les milieux anarchistes de l'entre-deux-guerres. Léo Malet s'inspire de sa vie de bohème durant les années 1930 pour donner vie à son personnage fétiche.
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La rencontre au sommet d'un grand écrivain, Daniel Pennac, et d'un géant de la bande dessinée, Tardi, paru initialement en janvier 2000. Un homme est enfermé dans une cage du Jardin des plantes, normalement occupée par des tigres ou des gorilles, avec la mention : «Homo Sapiens, Laborare Carens, chômeur, Europe». C'est une fable sociale qui vire au polar. Une dénonciation du pouvoir, des médias, du libéralisme sauvage. Un récit qui n'a pas pris une ride !
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« C'était la guerre des tranchées n'est pas un travail "d'historien"... Il ne s'agit pas de l'histoire de la Première Guerre mondiale racontée en bande dessinée, mais d'hommes manipulés et embourbés, visiblement pas contents de se trouver là, ayant pour seul espoir de vivre une heure de plus et souhaitant par dessus tout rentrer chez eux... Il n'y a pas de héros, pas de "personnage principal", dans cette lamentable "aventure" collective qu'est la guerre. Rien qu'un gigantesque et anonyme cri d'agonie. » Ainsi Tardi présentait-il C'était la guerre des tranchées lors de sa première parution en album.
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Tardi replonge dans les tranchées pour une dernière « mise au point » sur l'horreur et l'absurdité de ce conflit. Des deux côtés, des hommes à bout de force, enfouis dans les tombes qu'ils ont creusés à leur usage, s'appliquent méthodiquement à s'entretuer... Il n'y a pas pire guerre qu'une guerre de position qui s'éternise !
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1943. À peine libéré d'un camp de prisonniers en Allemagne, Nestor Burma rentre en France et s'attelle à l'énigme de cette adresse qui fait tant parler les mourants.
Une enquête du détective de choc pendant l'Occupation, entre Lyon et Paris.
Nestor Burma, le détective qui met le mystère K.O ! -
Une enquête du détective de choc dans le XII? arrondissement de Paris.
En goguette à la foire du Trône, Burma manque d'être jeté du haut d'un grand huit. Son agresseur, qui ne survit pas à la bagarre, laisse Nestor sur une interrogation puissante : pourquoi a-t-il voulu le tuer ? -
Où Nestor Burma mène l'enquête dans les coulisses peu reluisantes du show-biz, entre vedettes de music-hall sur le retour, impresario véreux et club d'admiratrices fanatiques... De privé à joli coeur il n'y a qu'un pas, que Burma franchit allégrement, et tant pis pour les conséquences sur sa mission.
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Ce recueil regroupe les quatre adaptations des romans de Léo Malet : Brouillard au pont de Tolbiac (1982) 120 rue de la gare (1988) M'as-tu vu en cadavre ? (2000) Casse-pipe à la Nation (1996)
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Nestor Burma Tome 5 : la nuit de Saint-Germain-des-Prés
Léo Malet
- Casterman
- 4 Janvier 2017
- 9782203140936
Paris, été 1957. Nestor Burma enquête pour le compte d'un client dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés. Manière pour le détective de nouer quelques connaissances parmi les cercles artistiques et intellectuels qui semblent avoir élu domicile dans ce secteur de Paris : écrivains, critiques, musiciens. C'est sur les traces de l'un deux, justement, que Burma est lancé : Charlie Mac Gee, batteur de jazz talentueux, et sans doute aux prises, aussi, avec les milieux de la drogue et de la délinquance qui gravitent autour de ce genre d'artiste. Avec le concours de Marcelle, compagne de circonstance, Burma parvient finalement à loger son client, dans un hôtel de la rive gauche. Il n'y a qu'un seul ennui : il est mort...
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Glissez-vous dans le caractère bien trempé de l'héroïne détective de Tardi et enquêtez !
Dans ce jeu d'enquête, vous incarnez la célèbre héroïne de Tardi, Adèle Blanc-Sec, en suivant ses aventures des bandes dessinées depuis
Adèle et la Bête jusqu'à
Momies en folie. À votre tour de résoudre les événements mystérieux et étranges qui s'abattent sur le Paris de la Belle Époque en prenant le pas sur la police. À l'aide du carnet rédigé par Adèle elle-même, d'un journal présentant les événements quotidiens parisiens et de la carte de la capitale, récoltez des indices, écartez les fausses pistes et suivez votre logique en résolvant les énigmes pour avancer dans les différents scénarios et remporter le jeu !
De 1 à 8 joueurs
Matériel :
Un plan de la ville de Paris
1 pion Adèle Blanc-Sec
100 cartes énigme
1 carnet d'enquête
1 livret coupures de journaux -
Tardi est un boulimique de travail. Il dessine matin, midi et soir. Le lecteur trouvera dans ce recueil des tonnes de dessins sélectionnés dans les nombreux carnets qu'il a réalisé au cours de sa carrière d'auteur de bande dessinée. Vous trouverez dans cet ouvrage des croquis inédits, des études de personnages, des thématiques chères à l'auteur...Bref un pur régal.
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Où Nestor Burma mène l'enquête dans les coulisses peu reluisantes du show-biz, entre vedettes de music-hall sur le retour, impresario véreux et club d'admiratrices fanatiques... Une enquête du détective de choc dans le dixième arrondissement de Paris.
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Avant guerre, Eugène Varlot s'était frotté à pas mal de petits boulots:mécano, imprimeur, libraire, comédien. Après avoir fait son devoir comme tant d'autres pauvres gars embarqués dans la plus grande boucherie de l'Histoire, il se retrouve sur le carreau. Il décide alors de photographier tous les amnésiques rentrés du Front, croupissant dans les asiles, et d'offrir ses services aux familles éplorées qui n'avaient pas vu leurs héros rentrer. Il avait trouvé sa vocation, il serait détective! Installé en ménage avec la belle Irène qui panse à sa manière les blessures de son âme, il accepte ce qu'il croit n'être au début qu'une enquête de routine sur un banal adultère. Son commanditaire:le colonel Fantin de Larsaudière, de l'héroïque 296ème Régiment, le plus médaillé de toute la guerre. Le colonel gère également la fortune de sa femme et une fabrique de Cognac qui porte son nom. Et Amélie de Larsaudière s'en donne à coeur et à corps joie avec tous les uniformes qui traînent sur son chemin. Mais Varlot va vite s'apercevoir qu'il sert d'alibi à une sordide histoire de chantage autour d'un épisode caché et honteux de la guerre. Entre gueules cassées et vies brisées, la lâcheté et l'ignominie sont une nouvelle fois l'apanage de nantis intouchables qui finiront, bien sûr, par gagner. Quand Tardi lit Le der des ders, paru dans la série noire en 1984, il sait tout de suite que ce roman est pour lui. Tous ses éléments de prédilection y sont réunis:la guerre de 14 bien sûr, mais aussi le Paris des fortifs, des héros malgré eux et une belle brochette de salauds.
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Paris, 1959. Une météo exécrable s'est abattue sur Paris. Le brouillard règne en maître sur la capitale, et le froid est si vif que les rues sont pratiquement désertées. Même les forces de l'ordre, exceptionnellement en grève pour protester contre la mort de plusieurs policiers, ont abandonné le pavé parisien. Bref, des conditions exceptionnelles pour commettre le crime parfait... C'est exactement l'occasion qu'attendait Valentin Esbroufe, écrivain raté et libraire désabusé, amoral et un tantinet misanthrope. Il passe à l'acte aussitôt, en étranglant au coeur de la nuit un mauvais acteur de théâtre boulevardier. Et ce n'est qu'un début ! Plusieurs autres assassinats sont planifiés, avec le concours inattendu d'un gamin que le libraire cherche à épater...Au terme des cinq numéros du journal L'Étrangleur, qui ont accueilli la prépublication de ce grand récit, voici donc l'album, que Tardi a choisi d'intituler Le secret de l'étrangleur. Un ouvrage exceptionnel à tous points de vue : il s'achève sur plusieurs fins alternatives, que Tardi a dissimulées dans des doubles pages hermétiquement fermées, qu'il faut découper pour les découvrir !
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Ce n'est pas sans joie ni sans fierté que nous avons pu présenter un inédit de Tardi & Daeninckx dans ce catalogue. Prolongement du Der des ders (Casterman), dont il développe une des séquences, l'aversion de Tardi pour la Guerre 14-18 est ici à son comble.
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Le CD qui constitue le coeur de ce livre rassemble dix chansons évoquant avec puissance et émotion la douloureuse mémoire de la Grande Guerre, interprétées et pour certaines écrites par Dominique Grange. En contrepoint de ces témoignages souvent poignants, comme la célèbre Chanson de Craonne, Tardi a ponctué l'album de nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleur, tandis que Jean-Pierre Verney signe un ensemble de textes rappelant le contexte historique de chacune des chansons. Des photos inédites de la Grande Guerre signées du grand-père de Dominique Pierre-Elysée Grange, mobilisé comme médecin, complètent l'iconographie de cet album en forme de cri de révolte. Ces Chansons contre la guerre ont par ailleurs inspiré le spectacle musical original dont Grange et Tardi donnent plusieurs représentations en 2014, et au cours duquel Tardi joint sa voix à celle de Dominique Grange sur scène, en lisant des extraits de ses propres textes.
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Dans le Paris des années 20, un magnifique graphisme noir et blanc au service d'une histoire aux confins du roman policier dans l'atmosphère de l'après-Première Guerre mondiale, au programme de 3e. Cette adaptationmagistrale d'un roman de Daeninckx permet aussi d'appréhender les notions d'ellipse, de suspense, de registre de langue et de pastiche.
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Pour la première fois réunis en un seul volume, les 4 titres originels signés Tardi.
Brouillard au pont de Tolbiac, 120 rue de la Gare, M'as-tu vu en cadavre ?, Casse-pipe à La Nation. Les débuts d'une série mythique de la BD, par un auteur au sommet de son art. Des albums devenus cultes pour tous les amateurs de BD, réunis dans un luxueux objet collector au tirage limité à 2 000 exemplaires. Léo Malet a confié, avant de mourir, le soin à Tardi de continuer à faire vivre son personnage fétiche, le détective qui met le mystère K.O., Dynamite Burma !
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Catalogue de l'exposition du Musée du Petit Palais (10 mars-27 août 1989)
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En cette année de commémoration du 90e anniversaire de la fin de la Grande Guerre, et alors que le dernier poilu vient de disparaître, Tardi renoue avec la mémoire de 14-18 à travers son nouveau projet : une évocation en bande dessinée du premier conflit mondial, et de la place qu'y ont occupée, au quotidien, les hommes qui s'y sont affrontés et entretués. Un récit de fiction, mais où le souci de véracité et la rigueur de la reconstitution historique occupent une place primordiale.
Ce nouveau projet, dans la forme, reprend le découpage en 3 strips par page déjà utilisé dans l'album C'était la guerre des tranchées. Le récit débute en couleurs, mais, au fil de sa progression chronologique, et à mesure que la guerre s'enkyste, s'étend et s'approfondit, adopte les tonalités de plus en plus monochromes de la boue et de la grisaille.
Avant d'être proposé en librairie en album, fin octobre, ce nouveau grand récit de Tardi fait l'objet d'une publication sous la forme d'un journal grand format, à raison de trois numéros de vingt pages chacun. Chaque numéro du journal, centré par ordre chronologique sur l'une des années de la période 1914-1916, comporte d'une part quinze pages de bande dessinée et d'autre part cinq pages de textes et d'articles, consacrés à l'actualité non-militaire de la période. L'ensemble de ces textes, illustrés par Tardi, est signé de l'historien Jean-Pierre Verney, qui assure depuis des années, aux côtés du dessinateur, le travail de documentation historique auquel s'adossent l'ensemble de ses albums portant sur la Grande Guerre.
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Les chroniques du cinéma, c'est avant tout la chronique d'une rencontre. Rencontre entre deux sensibilités, deux manières d'aborder les choses, de vieillir tranquillement avec un regard attendri ou sévère, mais jamais dupe. Et quand Boujut propose à Tardi qu'il connaît depuis longtemps une collaboration à Charlie Hebdo, c'est d'abord pour les deux compères l'occasion de se retrouver au cinéma comme ils se retrouvent dans la vie. Le principe? Ils vont à la séance ensemble, confrontent leur point de vue autour d'un verre et sont en général toujours d'accord. Puis chacun rentre chez soi pondre son dessin ou son texte. Le résultat? Des chroniques assassines pour les cinéastes qui voudraient leur faire prendre des navets pour des chefs-d'oeuvre, et des hommages pointus pour quelques films rares et trop vite oubliés. A lire absolument.
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