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Suspense, pièges diaboliques, terreurs intimes, secrètes inconvenances : le chef-d'oeuvre de Wilkie Collins a toujours su accorder les intellectuels les plus exigeants et le large public affamé d'histoires à faire dresser les cheveux sur la tête.
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Alors que Walter Wilding se croit condamné à une existence misérable, il hérite une somme d'argent considérable d'une mère qu'il n'a jamais connue. Se croyant sauvé, il apprend que cette mystérieuse bienfaitrice s'est trompée d'enfant. Son seul but : retrouver le vrai Walter Wilding. Des beaux quartiers de Londres aux montagnes suisses, où le héros risque sa vie à chaque instant, cette trépidante enquête policière combine la virtuosité de raconteur d'histoire de Collins au génie créateur de personnages de Dickens.Préface de Charles Dantzig
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Nul doute que wilkie collins n'ait donné, avec sans nom (1862) l'un de ses plus intraitables chefs-d'oeuvre : celui en tout cas qui privera le mieux de sommeil le lecteur assez téméraire pour s'y plonger, pour s'y perdre.
De tous ses romans, celui que préférait dickens. c'est aussi le plus noir : portrait d'une femme dépossédée de toutes ses espérances (et même de son identité) à la suite d'un complot fomenté par des gens du meilleur monde. elle se battra, se salira les mains, fera le terrible apprentissage de la liberté... et nous tiendra en haleine huit cents pages durant au fil d'une intrigue qui ne nous épargne rien.
Prétexte, pour l'auteur, à décorseter la bonne société victorienne avec un sadisme tout hitchcockien. on comprend que borges ait pu voir dans les romans de collins la première expression de la fiction " moderne ", dont l'enjeu, selon lui se résumait à peu près à ceci : dire et montrer ce qu'il est convenu de taire et de cacher.
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Un jeune homme s'engage dans un mariage qui ne tarde pas à se révéler un guet-apens... Où la bonne société victorienne nous révèle le dessous - peu reluisant - de ses crinolines. Basil (1852), le plus sexué des romans de Collins, en tout cas l'un des plus délicieusement inconvenants, ne fait pas beaucoup de cadeaux à son lecteur... qui n'attend d'ailleurs que ça, l'hypocrite.
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Au lendemain de ses noces avec Eustace Woodville, la jeune Valeria découvre qu'elle a épousé un homme riche en mystères. Son vrai nom est Macallan. Cette révélation pique sa curiosité. Et de fil en aiguille... Valeria comprend le pourquoi de ce mensonge : Eustace a été accusé naguère d'avoir empoisonné sa première femme et, relaxé faute de preuves, entend se faire oublier.
Convaincue de l'innocence de son époux, elle décide de mener l'enquête, malgré les réserves de son entourage. Défiant l'autorité maritale, livrée à une angoissante solitude, l'insolente et pugnace Valeria va s'employer à dissiper l'une après l'autre les ombres autour de cette affaire.
Paru en 1875 - alors que Collins est au sommet de son art -, Seule contre la loi passe pour la première oeuvre littéraire où le rôle du détective est confié à une femme.
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En quête du rien
Wilkie Collins
- Editions Du Sonneur
- La Petite Collection
- 11 Septembre 2011
- 9782916136394
William Wilkie Collins (1824-1889) n'est pas seulement l'auteur de somptueux romans victoriens et le père du roman policier britannique.
Nouvelliste de talent, il est aussi journaliste à ses heures. Et fin observateur de ses contemporains. En quête du rien est le portrait primesautier, drôle et absurde d'un homme condamné à l'inactivité et au calme dans une société qui en est dépourvue. Ou comment la tranquillité peut finir par rendre fou.
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Créature des plus machiavéliques. Ce prêtre aux manières doucereuses, au discours subtil et à l'entêtement implacable, mène la danse d'un ballet qui l'associe à un trio de personnages particulièrement attachants dans leur aveuglement et leur soumission psychologique : le trop confiant Lewis Romayne, sa jolie fiancée Stella Eyerecourt et un jeune jésuite sous influence.Traduit de l'anglais par Louis Toscq.
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La dame en blanc
Willizm wilkie Collins
- Libretto
- Litterature Etrangere
- 18 Octobre 2018
- 9782369145059
Édition limitée reliée simili cuir.
Publié ici en version intégrale, La Dame en blanc fascinait Borges et rendit Dickens ivre de jalousie.
Suspense, pièges retors, terreurs intimes et scènes inconvenantes, rien ne manque à ce chef-d'oeuvre populaire où des gens irréprochables se livrent, une fois les portes closes, aux pires abjections. Vertus publiques, vices privés ! Rien de tel que la précision toute hitchcockienne des narrateurs pour que le lecteur ne puisse plus dormir...