Ouvrage préfacé par Philippe Parengaux Petit Carnet dédié aux vingt plus grands guitaristes et chanteurs de notre époque. Warren Hayes, Mick Taylor, J. J. Cale, Bo Diddley, Eric Capton, Keith Richards, Jerry Garcia, Mark Knopfler, Frank Zappa, Jimmy Page, Neil Young, Pete Townshend, Carlos Santana, Ry Cooder, David Gilmour, Chuck Berry, Kurt Cobain, Bruce Springsteen, Prince, Jimmy Hendrix.
Avec un trait limpide sur des couleurs chaudes et élégantes, Bertail nous conte une histoire d'amitié entre un homme et sa nuit, avec son lot d'angoisses, de joies et de déceptions. Mais c'est aussi l'histoire d'une fibélité à l'épreuve des doutes...
Un conte illustré empreint d'humour et de tendresse.
Coupe du monde de football : « Un 6 juin, un match opposant la France à on ne sait plus quel pays fut organisé à Paris. À deux minutes de la fin, le score était nul. Pour le public ce résultat valait une défaite. La fureur montait dans les tribunes chauvines... ». Le Football Punk est un conte « philosophique » sur le milieu du football.
Où l'on apprend ce qu'il en coûte de la droiture et de l'honnêteté et comment, au bout du compte, on n'obtient pas la Légion d'honneur.
D'un trait joyeusement dégingandé, de personnages loufoques et l'humour à la pointe du pinceau, Lionel Koechlin nous brosse une caricature truculente du milieu du football. Un Petit Carnet indispensable à tout spectateur ou téléspectateur de la prochaine Coupe du monde de football (ou de tout autre match).
Petit rien et malgré tout d'Olive est un recueil de souvenirs d'enfance.
Une machine à remonter dans le temps qui débute à l'adolescence de notre héroïne avec la mort de son père, pour se terminer à sa naissance quinze ans plus tôt. Un petit album de « photos de famille » revisité et redessiné comme on retourne de façon singulière dans ses autres vies, ses autres chemins, ses petits riens .
Avec Les bras de Morphée, Philippe Petit-Roulet nous fait pénétrer dans son univers poétique, un monde empreint de délicatesse et d'humour servi par la vivacité, la simplicité et la pureté du trait d'un dessinateur qui se trouve être l'un des plus grands cartoonistes et reconnu comme tel par The New Yorker avec qui il collabore régulièrement.
À la recherche de la sublime note bleue dans l'univers des bars des restaurants musicaux d'un New York de la première partie du XXème siècle. Sur les platines un Big Ed Sullivan, au piano Lionel Hampton et un Arnett Cobb au saxophone, de quoi rêver et vous faire prendre l'air des rues de New-York dans une Chevrolet décapotable à la sortie du B.B. King Blues Club ou du Plaza.
L'art numérique fait son entrée dans la collection des Petits Carnets.
Pierre Bouillé, illustrateur et plasticien numérique, bien connu pour sa contribution graphique avec la presse européenne et d'outre atlantique, a imaginé un recueil de maximes et autres dictons, issus de pensées plus ou moins profondes (voire stupides) sur notre société, illustrés de manière humoristique, légère, utilisant les double-sens, les métaphores, les jeux de mots, le décalage entre le texte et le visuel, le surréel cher à Dada.
Le tout donnant lieu à des interprétations "à tiroirs" multiples de la part du lecteur- spectateur.
18 grandes signatures se sont réunis pour réaliser cet ouvrage: François AVRIL, Charles BERBERIAN, Ted BENOIT, Cyril CABRY, Dominique CORBASSON, Serge CLERC, Jean-Claude DENIS, Philippe DUPUY, André JUILLARD, Jean-Claude GOTTING, Miles HYMAN, Emmanuel KERMER, Lionel KOECHLIN, Philippe LARDY, Jacques de LOUSTAL, Lorenzo MATTOTTI, Madeleine de MILLE, Emmanuel PIERRE.
Dans ce portfolio tiré à 199 exemplaires signés et numérotés, et où chaque lettre de son nom désigne un endroit de Paris, Dominique Corbasson traduit dans ses dessins, par une touche fine et sensible, son style et sa gamme de couleur très personnels, la vie des parisiens, l'architecture de la ville et sa poésie. Les peintures de cette jeune femme parisienne sont empreintes de charme, de fraîcheur, le tout sous une apparente naïveté. Ses dessins sont utilisé dans la presse internationnale, elle expose régulièrement dans le monde entier.
José Correa, passionné de musique et de littérature, évoque la vie et l'oeuvre de Louis Ferdinand. Voyage au bout de la nuit, Mort à crédit, Guignol's band, une vie de chefs-d'oeuvre en 24 pages de dessins.
Le Jazz avant tout, le jazz par-dessus tout. Boris Vian, figure mythique de la littérature française fut avant tout un amoureux du jazz. Henri Salvador disait de lui : « Il était un amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n'entendait, ne s'exprimait qu'en jazz ». Sous le crayon de José Correa renaissent les multi-facettes de cette personnalité hors du commun : poète, parolier, auteur de romans, de pièces de théâtre, écrivain, critique musical, chanteur, musicien. José Correa est l'auteur de deux précédents Petits Carnets : Céline - Aucune illusion et Rimbaud Brothers. José Correa, peintre illustrateur, expose régulièrement en France et à l'étranger. Dans les années 70, il réalise ses premières couvertures pour la revue Fiction aux Éditions Opta. Il réalise également de nombreuses affiches pour le théâtre et la musique (Lionel Hampton, Barney Wilen) ainsi que de nombreuses jaquettes de DVD (Léo Ferré, Georges Brassens, Jacques Brel...).
Paris, dessiné par une jeune femme, une parisienne, Dominique Corbasson. Elle traduit dans ses dessins, par une touche fine et sensible, par son style et sa gamme de couleur très personnel, la vie des parisiens, l'architecture de la ville et sa poésie. Les peintures de Dominique Corbasson sont empreintes de charme et de fraîcheur, le tout sous une apparente naïveté.
Mais qui a-t-il à l'intérieur d'une boîte ? Et que fait cette boîte dans un musée ?
C'est la question que se posa Thibault Balahy et qui l'inspira lors des 24 heures de la Bande dessinée de la Maison des Auteurs d'Angoulême en janvier dernier présidé par Lewis Trondheim « initiateur historique » de ces 24 heures, troisième édition de ce marathon graphique qui a réuni en 2009 plus de 400 dessinateurs.
Bon nombre de super héros combattent les menaces cosmiques, rétablissent l'ordre et la justice dans les moindres recoins de l'Univers.
Notre héros bien plus efficace et plus retors que ses concurrents justiciers se trouve cantonné, à cause de circonstances qui nous seront contées, à défendre la veuve et l'orphelin, a rétabli le Droit et la Justice dans des lieux peu fréquentés par les supers héros : les escalators.
Le Redoutable Escalator, premier épisode d'un super héros bien de chez nous, retrace la genèse de son épopée et nous remémore l'histoire de son origine.
Le Mal sera désormais pourchassé, qu'on se le dise !
La suite de dessins qui compose ce livre est une série de variations directement inspirées d'une couverture de Lucky Luke "Le Cavalier Blanc" de Morris et Goscinny. Des variations sous influences.
Cette édition comprend un tirage de tête auquel est jointe une sérigraphie originale de l'auteur.
Muñoz se promène, encouragé par l'émotion, dans son paysage mental; les dessins émergent de sa mémoire aiguillonnée par des rêves insistants, il reconstruit un domaine désormais éloigné par le temps et l'exil.
"J'aime feuilleter de vieux magazines surannés du milieu du siècle dernier pour la qualité de leur iconographie et de leur reproduction, le plus souvent en héliogravure, et parfois je m'arrête sur une image qui me parle plus qu'une autre, sans que je sache pourquoi. Je prends alors le temps de la regarder attentivement, puis je la dessine à main levée, sans repentir aucun, dans un livre de dessins dont cet ouvrage est un peu le fac-similé. Certains viennent bien et d'autres sont si ratés que je préfère décalquer à ma manière la photo inspirante. C'est d'ailleurs devenu un exercice graphique de confronter le dessin d'observation au calque de la même image." Loustal.
En 1969, le royaume du Sangkum Reastr Niyum (Communauté du peuple) vit ses dernières heures d'un quotidien marqué par une insouciance tranquille où se heurtent le souffle du crépuscule et les premiers frissons de l'aube de la tragédie. Séra qui a 14 ans le 17 avril 1975, lors de la prise de Phnom Penh par les Khmers Rouges de Pol Pot, se remémore ces années avant que tout ne bascule dans l'horreur et la peur et nous offre dans ce magnifique portfolio des bribes de souvenirs se répondant recto-verso entre le Cambodge des années 1960 du Prince Sihanouk et celui des années 1970, période d'ascension des Khmers Rouges. Un très bel objet comme sait le faire Alain Beaulet avec ce portfolio de Séra (Prix du Polar à Cognac 2012).
Cinéma est le premier tome d'une série de Petits Carnets regroupant une véritable galerie de souvenirs des grands films qui ont marqués l'auteur. Un hommage de François Avril au 7ème art. Souvenirs s'inscrivant sous forme d'affiches revisitées par l'auteur, qui donnent une grande envie de redécouvir ces chefs-d'oeuvres en se replongeant sans attendre dans les salles obscures.
Quand André Juillard croque la gente féminine, cela donne "Portraits". On y découvre un Juillard intime qui parfois esquisse à peine la forme d'un visage mais parvient sans peine à faire ressortir toute la subtilité et la fragilité féminine. Le talent à l'état pur !