Le bonheur de faireLe bonheur de voir clairLe bonheur d'être en relationLe bonheur d'être combléLe bonheur d'être en paixCes 5 bonheurs sont les 5 portes qui te montrent le chemin de la vraie spiritualité.À l'aide d'un test, découvre ta porte principale:elle est la puissance qui te guide vers le bonheur. À travers des exercices et des rituels, apprivoise ces portes pour surmonter tous les défis de la vie.Plus qu'un livre, une méthode initiatique.Avec son talent habituel, Bernard Gabay nous transmet les enseignements dispensés par Fabrice Midal.
« Mais bon sang, comment vais-je me sortir de cette tâche insensée ?
De cette idée d'entretenir avec vous de l'avenir du monde vivant ? Alors que je sais très bien que vous auriez préféré [...] un roman policier distrayant. Mais une sorte de nécessité implacable me pousse à écrire furieusement cet impossible petit texte.
Il y a dix ans, j'avais publié un très court texte sur l'écologie. Et quand on m'a prévenue qu'il serait lu à l'inauguration de la COP24, c'est alors que j'ai conçu un projet de la même eau, mais un peu plus long, sur l'avenir de la Terre, du monde vivant, de l'Humanité. Rien que ça." L'urgence climatique traitée sur un ton clair et direct, qui s'appuie sur des données rigoureuses sans oublier un certain humour noir.
« Je rêve d'un itinéraire qui m'apprenne à danser, à me départir de la dictature du on, pour progresser vers une complète déprise de soi. L'homme qui écrit ces lignes, pourquoi le cacher, a sombré au fin fond d'une addiction qui a bien failli le perdre. [...] C'est cette aventure que je m'apprête à retracer, convaincu que le philosophe ne plane pas en dehors de la cité, dans le ciel des idées, mais qu'il s'assigne pour tâche de traverser les tourments d'une vie, de scruter ce qui met en échec sa volonté et le tire vers le bas, d'aider tout un chacun à ne plus craindre le chaos pour l'habiter, allègrement. » Ce voyage au fin fond de la dépendance, cette invitation au gai acquiescement de soi emprunte deux versants. Sous la forme d'un traité, sont explorées les voies qui conduisent à la grande santé, au joyeux dire oui. En contrepoint, dans des fragments, une autre voix se donne à entendre. A la troisième personne, lointaine et pourtant si intime, l'auteur narre sa singulière quête de liberté en plein chaos. Chemin faisant, Alexandre Jollien nous livre un carnet de route, un véritable traité de déculpabilisation. Cet essai de philosophie pratique dessine un lumineux art de vivre surgi du fond du fond.
Une fois répartis dans les Maisons de la célèbre école de Sorcellerie, les joueurs doivent faire deviner à leurs coéquipiers le contenu du plus grand nombre de cartes possible, dans le temps du sablier et dans le respect des consignes. À tour de rôle, chaque Maison dispose d'une minute pour identifier les personnages, les créatures, objets ou lieux, les sorts et potions, les scènes mythiques des films... en 3 mots seulement, en dessinant, en mimant, en chantant, ou selon une contrainte définie par les joueurs des autres Maisons. Qui de Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle ou Serpentard l'emportera ?
Les réponses de Proust au questionnaire qui porte son nom à deux époques de sa vie, une question toutes les deux pages, des lignes vierges pour y répondre, un troisième jeu de questions-réponses datant du 25 juin 1887 en fin de carnet.
En 1950, le romancier et poète Raymond Queneau mène une enquête auprès d'un éventail d'intellectuels de son temps afin de recueillir la liste des cent ouvrages qui formeraient leur bibliothèque idéale.Retrouvez dans ce carnet des pages vierges lignées pour y noter votre bibliothèque idéale et découvrez les réponses de Paul Eluard, Blaise Cendrars, Joseph Kessel ou encore André Breton.
«J'étais à mi-chemin de la traversée de l'Amérique, sur la ligne de partage entre l'Est de ma jeunesse et l'Ouest de mon avenir.»Sur la route, 1957. Jack KerouacChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.Couverture avec marquage chrome sur un papier teinté noir.
Ceci n'est pas un livre. Ceci est un manifeste. Celui de la vie, des coquelicots dans les champs de blé, des oiseaux au bord du chemin, des abeilles. Une véritable apocalypse les fait disparaître par milliers, par millions, par milliards, et tout le monde connaît le nom des coupables :
Les pesticides. Une industrie devenue folle détruit tout ce qui nous est cher, jusqu'à notre santé, et l'heure n'est plus à la discussion de salon. Il faut se lever, ensemble, dans un soulèvement pacifique de toute la société. Ce monde qui s'efface est le nôtre, et chaque couleur qui succombe, chaque lumière qui s'éteint est une douleur définitive.
Rendez-nous nos coquelicots ! Rendez-nous la beauté du monde !
Le texte que vous allez lire annonce que l'heure est venue de relever la tête après tant de coups reçus. Car c'est l'heure, et elle ne reviendra peut-être pas. Lecteur, c'est à toi que ce texte s'adresse. À toi. Veux-tu continuer à nourrir les tiens avec des aliments frelatés ? Veux-tu vivre sans le chant de l'alouette ou le violon des cigales ? Une société vivante a le droit et le devoir de rappeler à ses maîtres provisoires ce qu'elle veut. Et ce qu'elle ne veut plus. L'Appel des coquelicots commence...
«J'étais à mi-chemin de la traversée de l'Amérique, sur la ligne de partage entre l'Est de ma jeunesse et l'Ouest de mon avenir.»Sur la route, 1957. Jack KerouacChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Couverture papier teinté noir.
« Chaque fois que l'aube paraît, le mystère est là tout entier. » Chaque fois que l'aube paraît, 1953. René Daumal.
Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
Couverture papier teinté à rabats.
«L'instant présent, dans sa douceur, rappelle à lui les fantômes de la mémoire et, pour la première fois, je sens intensément le besoin de fixer ces images sur le papier.»Le grand Coeur, 2012. Jean-Christophe RufinChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.Couverture «Blanche» à rabats.
«Le besoin m'a pris d'écrire, de tout projeter, d'accaparer pour moi le sens de chaque chose, de ne plus vivre que de mes découvertes.»Les petites choses, 1954. Marcel BisiauxMini-bloc de 256 pages blanches détachables.
«Une fenêtre était ouverte et j'entendais taper, taper à la machine.»La machine à écrire, 1941. Jean CocteauChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
«La confiance est la clé. Sans elle, rien ne serait possible.»Désir, 2020. Philippe SollersChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
« [...] il vaut mieux rêver sa vie que la vivre, encore que la vivre ce soit encore la rêver [...] » Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
«Tu m'appartiens et tout Paris m'appartient, et j'appartiens à ce cahier et à ce crayon.» . Paris est une fête, 1964. Ernest Hemingway.
«Tous les matins du monde sont sans retour.» Tous les matins du monde, 1991. Pascal Quignard.
«Il s'assit devant sa table, trempa sa plume dans l'encrier, prit son front dans sa main et chercha des idées.» Bel-Ami, 1885. Guy de Maupassant.
Coffret inédit de quatorze marque-pages recto-verso reproduisant vingt-huit oeuvres originales de l'artiste Dominique Zehrfuss, peintes à la gouache.Après des études aux Beaux-Arts, et en architecture, Dominique Zehrfuss se met à la peinture et à l'illustration de livres pour enfants. Sa passion pour les livres et la peinture l'a conduite à créer 28 marque-pages uniques et précieux qu'elle a bien voulu confier à la Papeterie Gallimard. Ces marque-pages ont été regroupés dans deux coffrets de 14 marque-pages chacun:Miniatures imaginaires et Rêveries minuscules.
«Quand on entreprend de faire un livre, on ne sait où il vous mènera. On court une aventure, qui dépasse bien souvent les limites de la littérature.»Carnets de l'écrivain, 1957. Marcel JouhandeauChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
«La vie est semée de ces miracles que peuvent toujours espérer les personnes qui aiment.» Chaque grand cahier est présenté dans un étui cadeau. Il s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche. Pages blanches en papier Tintoretto Neve 140g/m². Dos carré collé cousu au fil de lin.
«De l'autre côté des maisons et des livres, de l'autre côté des pages de l'air..» Poèmes, 1912. Léon-Paul Fargue.
Une pochette 110x190 mm en coton naturel 100 gr imprimé, comprenant deux carnets poche différents (85 x 125 mm - 144 pages lignées, couverture Blanche).