Le Guggenheim présente pour la première fois aux États-Unis les oeuvres de la prolifique peintre suédoise Hilma af Klint, qui, pour la plupart, n'ont jamais été montrées au public. Décédée en 1944, elle demanda à ce que son travail ne soit pas dévoilé avant une vingtaine d'années : ce n'est finalement que très récemment que le monde artistique a découvert les peintures colorées et grand-format montrant la volonté ambitieuse de l'artiste de traduire l'ordre du monde en formes géométriques et en symbolisme ésotérique. Le catalogue de l'exposition reprend les oeuvres depuis les débuts de l'artiste au XIXe siècle jusqu'à sa soudaine rupture avec l'art figuratif au profit de l'abstraction en 1906, au chemin du modernisme suédois et des traditions folkloriques scandinaves.
Une nouvelle édition augmentée du catalogue de l'exposition Maurizio Cattelan au musée Guggenheim de New York en 2012. Relié de cuir, orné de dorures, cet ouvrage au format bible présente l'oeuvre d'un artiste provocateur, fondateur de la revue Toilet Paper.
Le Mexique est la véritable terre promise de l'art abstrait. écrivait Josef Albers à Vassily Kandinsky, son collègue du Bauhaus, en 1936. Entre 1935 et 1968, Josef et sa femme Anni Albers se rendent une dizaine de fois au Mexique et dans d'autres pays d'Amérique latine, où ils visitent monuments et sites archéologiques dont il tire des photographies N&B. Cet ouvrage révèle les liens profonds entre l'art et l'architecture de la Mésoamérique et les oeuvres abstraites sur toile et papier d'Albers en présentant des photographies, des photocollages, des gravures et des peintures de la série Variants/Adobe (1946-66) et Homage to the Square (1950-76) de la collection de Solomon R. Guggenheim Museum et de la Fondation Anni and Josef Albers.
Second volet de la rétrospective américaine consacrée à James Turrell, cet ouvrage présente ses oeuvres réalisées pour le Guggenheim : d' Afrum I , Prado et Ronin lumières blanches des années 60, à Aten Reign , extraordinaire intervention chromatique dans l'immense rotonde du musée new-yorkais, fruit d'un travail de cinq années.
Gabriel Orozco's Asterisms is a two-part sculptural and photographic installation comprising thousands of items of detritus he gathered at two sites--a coastal wildlife reserve in Baja California, Mexico, and a playing field near his home in New York City. The first component of the installation, Sandstars, draws on the voluminous amounts of waste deposited on the shores of the wildlife reserve by Pacific currents. Orozco's monumental sculptural carpet of nearly 1,200 objects is accompanied by 12 large-scale gridded photographs of the individual objects in a studio setting, organized typologically by material, color and size. An additional grid documents the landscape from which the objects were retrieved, along with incidental compositions made in situ from the castaway items. The second component, Astroturf Constellation, also explores taxonomic classification, but on a completely different scale. It comprises a collection of miniscule bits of debris--again numbering around 1,200 items--left behind by athletes and spectators in the Astroturf of a playing field in New York City. As with Sandstars, the objects are displayed alongside 13 photographic grids. This volume highlights Orozco's subtle practice of subjecting the world to personal, idiosyncratic systems while invoking several of the artist's recurrent motifs, including the effects of erosion, the poetry of the mundane, the relationship between the macro and the micro and the tension between nature and culture.
Catalogue de l'exposition qui a eu lieu au Deutsche Guggenheim, ce livre présente quatre grandes photographies en noir et blanc prises par l'artiste en 2007, ainsi qu'une sélection de travaux plus anciens.
Catalogue d'une exposition au musée Guggenheim à New York de l'hiver 2017. Mystical Symbolism est la première exposition consacrée au Salon de la Rose+Croix, une série d'expositions d'artistes symbolistes organisées par Joséphin Péladan entre 1892 et 1897 à Paris. À la veille du XXe siècle, ces artistes s'inquiètent des effets du monde moderne sur l'homme et le traduisent par un symbolisme fortement teinté d'occultisme. Le Guggenheim met en lumière ce pan oublié de l'histoire de l'art, vers lequel se sont tournés des artistes majeurs tels que Fernand Khnopff, Félix Vallotton, Ferdinand Hodler et bien d'autres.
A New York, le musée Guggenheim consacre une rétrospective (02/2015-05/2015) à cet artiste clé de l?art conceptuel. Silence présente toutes les grandes séries de l?artiste à partir de 1964 : ses Date Paintings (Today), ses calendriers (One Hundred Years and One Million Years), ses cartes postales (I Got Up), ses télégrammes (I Am Still Alive), ses collages et assemblages de journaux (I Read), ses cartes (I Went), et ses listes (I Met). On y découvre également quelques peintures et dessins réalisés à Paris et New York avant sa notoriété internationale, ainsi que des documents de travail inédits. Une monographie de référence richement illustrée.
Ce volume richement illustré présente la collection étonnante dans son intégralité, offrant une synthèse complète des oeuvres de maîtres modernes tels que Georges Braque, Paul Cézanne, Edgar Degas, Paul Gauguin, Édouard Manet, Picasso, Camille Pissarro et Vincent van Gogh, entre autres. Tout au long, les oeuvres d'art bénéficient d'un contexte et de détails riches, avec des vues d'installations historiques et des images de conservation haute technologie. De courts essais sur les collections soulignés par les conservateurs et conservateurs actuels et anciens de Guggenheim illustrent les innovations stylistiques des artistes alors qu'ils cherchaient à libérer l'art des genres et des techniques académiques. Le livre présente également des analyses techniques approfondies, offrant un aperçu rare des matériaux et processus des artistes, basé sur les dernières avancées technologiques en matière de conservation. Megan Fontanella a rédigé un essai principal relatant la genèse de la collection de Thannhauser et son transfert au musée Guggenheim.