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Sciences humaines & sociales
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Voyages aux pays des Géants d'Oddr aux Flèches, ce recueil des sagas légendaires islandaises les plus étincelantes rassemble toute la matière des mondes magiques scandinaves. Confrontés le plus souvent à une funeste destinée, les héros de ces récits hauts en couleur affrontent trölls, sorciers, guerriers-fauves et autres monstres des franges du réel, et leur soif d'aventures les pousse vers des quêtes insensées qui forment autant de romans dont William Shakespeare, Richard Wagner et surtout J.
R. R. Tolkien surent en leur temps s'inspirer pour bâtir leur propre mythologie littéraire et poétique. Ce livre propose des sagas parues chez Anacharsis, d'autres, épuisées, publiées chez d'autres éditeurs, et des sagsa inédites.
Grand format 35.00 €Sur commande
Cette oeuvre vient clore le cycle qui s'ouvre avec Le Roman de Merlin et se prolonge avec La Quête du Graal, au cours de laquelle se sont illustrés les chevaliers de la Table Ronde. Avec le temps, l'esprit chevaleresque et la solidarité ont fait place aux rivalités et aux jalousies : Arthur apprend par une dénonciation la liaison de Guenièvre et Lancelot. Sauvée par son amant, la reine échappe au bûcher, mais Lancelot tue au passage les frères de Gauvain, son ami de toujours, qui le poursuit désormais de sa haine. Trahi par la reine, trahi par son champion, Arthur l'est aussi par Mordred, à qui il a imprudemment confié son royaume... Même si la déesse Fortune apparaît à plusieurs reprises, c'est la conduite des hommes plus que la fatalité qui précipite la chute de Logres.
Poche 6.50 €Sur commande
De Haraldr à la Dent Bleue au Xe siècle jusqu'à Valdimarr le Victorieux au début du XIIIe siècle, entre foi jurée, complots et trahisons, de puissants chefs se disputent la suprématie sur les mers du Nord, dans un monde où l'adoption du christianisme agit comme un levier de pouvoir ; on découvre dans cette saga, pour la première fois traduite en français, une Scandinavie médiévale rayonnante qui étendait son influence de l'Angleterre à la Russie.
Grand format 21.00 €Les inscriptions de la Perse achéménide
Anonyme
- Gallimard
- L'aube Des Peuples
- 4 Mars 1997
- 9782070730902
Pendant de nombreux siècles, le passé glorieux de l'empire achéménide a survécu en Europe grâce aux récits que nous ont transmis les historiens grecs, principalement Hérodote, ainsi que la Bible.Il a fallu attendre le XIX? siècle pour que l'opiniâtreté des archéologues et la sagacité des épigraphistes nous livrent enfin des documents originaux, rédigés par les souverains achéménides eux-mêmes : Cyrus, Darius, Xerxès, Artaxerxès I??... Commencé dès 1802, le déchiffrement des cunéiformes perses s'est poursuivi jusqu'à la fin du siècle.Ce volume offre, pour la première fois en français, une traduction intégrale des inscriptions achéménides, qui étaient, le plus souvent, rédigées en trois langues : vieux perse, élamite et babylonien. À cela s'ajoute la traduction d'une version araméenne de l'inscription de Bisotun, découverte en Égypte, à Éléphantine.L'introduction s'efforce de présenter une synthèse de tous les aspects de la culture des anciens Perses (histoire, institutions, religion), telle qu'elle se présente dans les inscriptions. Ces données sont confrontées aux textes, parfois contradictoires, des historiens grecs.
Grand format 29.00 €Sur commande
Pop Wuh ; le livre des événements
Anonyme
- Gallimard
- L'aube Des Peuples
- 22 Février 1990
- 9782070717835
«Voici le plus beau livre de l'Amérique indienne, et sans doute le plus ancien document sur la civilisation préhispanique. Le Pop Wuh, le Livre du Temps, représente pour le Nouveau Monde ce que le Poème de Gilgamesh ou la Genèse ont représenté pour l'Ancien Monde. Histoire de la création de l'univers, il raconte l'avènement de Wuqub Hunahpu, Seigneur Sept à la Sarbacane, son voyage initiatique jusqu'à l'empire souterrain de Hun Kamé, Seigneur de Chibalba, puis son union avec la première vierge Îchkik, qui enfantera le héros Hunahpu Chbalanké, annonciateur de l'apparition du Soleil et des premières créatures, pères des rois du pays ki-tchè, Entre les Agaves, qui devint plus tard le Guatemala. Cette nouvelle traduction du grand livre des Maya ki-tchè est sans aucun doute la plus authentique. Adrian Chavez est un Indien ki-tchè qui a consacré sa vie à l'étude de sa langue maternelle - et à corriger les erreurs de transcription dues au père Francisco Jiménez et les contresens des précédentes traductions. Grâce au vieux maître - hélas disparu avant de voir paraître cette traduction en langue française -, le Livre du Temps des anciens Maya ki-tchè nous devient familier. Parfois mystérieuse, énigmatique, mais toujours imaginative, on voudrait dire romanesque, dans son foisonnement et son rythme chanté, cette parole est celle d'une des plus durables sagesses du monde.» J.M.G. Le Clézio.
Grand format 22.00 €Sur commande
Au début de l'été 1844, la police d'Istanbul arrête une bande de faux-monnayeurs. Au cours des mois suivants, ils sont longuement, minutieusement interrogés par plusieurs ministres et dignitaires ottomans. Enfin, le verdict est prononcé.
Marc Aymes livre ici la traduction des audiences relatives à cette affaire tout en questionnant pas à pas le protocole d'interrogatoire observé par les autorités ottomanes.
Cette lecture rapprochée dévoile une éclectique association de malfaiteurs, menée par un marin de Santorin et un graveur français de Grenoble, et nous fait entendre de vive voix la parole de ses protagonistes. La matière première d'une singulière chronique criminelle d'Orient.
Grand format 18.00 €Sur commande
« Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! ». En une seule phrase, prononcée dit-on par Arnaud-Amaury, abbé de Cîteaux, peu avant le massacre de Béziers, il semble que soit résumée toute l'histoire de la Croisade contre les Albigeois. Elle a duré cependant près d'un demi-siècle, jusqu'au tragique bûcher de Montségur où les deux cents derniers Cathares furent brûlés vifs, retenus derrière une palissade et sous bonne garde.
Qui étaient ces centaines de milliers de personnes, qui avaient osé défier le Pape, son clergé, et l'une des armées les plus puissantes de l'époque, composée de combattants de toutes les nationalités ? C'est ce que nous raconte, en quelques dix mille vers et en occitan, cette Chanson de la Croisade albigeoise, écrite et déclamée dans les cours ou devant le menu peuple du Languedoc, par deux clercs - des poètes - dont l'un au moins, plutôt favorable aux hérétiques, est demeuré parfaitement inconnu. Cela n'a pas empêché cette geste haute en couleurs et en péripéties d'entrer dans la mémoire collective, en célébrant, parfois malgré elle et malgré les innombrables victimes de cette guerre, une des plus brillantes civilisations qu'ait connu, avec ses troubadours et ses cours d'amour, le monde occidental, celle du pays d'oc.
Grand format 29.50 €Sur commande
Livres de morale révélés par les dieux
Anonyme
- Belles Lettres
- Bibliotheque Chinoise
- 4 Décembre 2012
- 9782251100111
Les livres de morale, shanshu sont encore peu étudiés et traduits en langues occidentales en dépit de leur importance fondamentale dans la pratique sociale, éthique et religieuse de la Chine moderne, depuis le XIIe siècle jusqu'à nos jours. On peut les définir comme des ouvrages consacrés à exhorter leurs lecteurs, par le raisonnement et l'exemple, à se conduire vertueusement. Ces exhortations se fondent sur la notion, commune à l'ensemble de la religion chinoise, de la rétribution morale des actes (bao ), notion que l'on trouve également exprimée, quoique sur des bases théologiques distinctes, dans les classiques des Trois enseignements (confucianisme, bouddhisme et taoïsme). Par religion chinoise, il faut entendre l'ensemble des croyances et pratiques faisant appel aux ressources (textes, clergés, rites, symboles) des Trois enseignements tout en étant le plus souvent largement indépendants. Les livres de morale, en accord avec les trois religions, affirment que tout acte vertueux (shan ) entraîne, immédiatement ou à terme, des conséquences favorables des bénédictions, fu , tandis que les actes vicieux (e ) entraînent des conséquences défavorables des malédictions, huo . Ils mettent en garde le lecteur contre les punitions qu'entraînent les péchés et les enjoignent à faire leur salut en détaillant de façon concrète un programme de vie pure menant à une bonne mort voire à la divinisation. Leurs thèmes principaux de réflexion sont le respect des dieux et des règles de pureté rituelle qui leur sont associées, la libre circulation des êtres et des biens ainsi que les Cinq normes sociales, très marquées par le confucianisme, qui déterminent les liens entre parents et enfants, mari et femme, frères aînés et cadets, souverain et sujet, ami et ami.Vincent Goossaert est historien, directeur d'études à l'EPHE et directeur adjoint du GSRL (Groupe Sociétés, Religions, Laïcités, EPHE-CNRS). Il travaille sur l'histoire sociale de la religion chinoise moderne, et s'intéresse particulièrement au taoïsme, aux spécialistes religieux, aux politiques religieuses et à la production des normes morales. Il est l'auteur d'une dizaine d'ouvrages seul ou en collectif, dont La Question religieuse en Chine (avec D.A. Palmer, 2012).
Grand format 30.00 €Sur commande
La comédie vénitienne ; la veniexiana
Anonyme
- Belles Lettres
- Bibliotheque Italienne
- 9 Janvier 2017
- 9782251730479
Cette comédie anonyme, exhumée en 1928 d'un manuscrit de la première moitié du XVI e siècle conservé à la Biblioteca Nazionale Marciana de Venise, sous un respect formel des cinq actes canoniques de la comédie classique et dans un langage apparemment châtié conforme aux exigences de la censure, met en scène les cinq étapes d'une initiation à l'amour dont l'étape centrale (l'acte III) fait de la pièce, à la barbe des sévères censeurs vénitiens, la plus audacieuse de la Renaissance italienne.
La pièce s'ouvre sur un bref monologue du seul personnage présent du début à la fin, Giulio, jeune homme étranger à la ville épris d'une jeune Vénitienne, Valiera, dont il ignore encore qu'elle est mariée. Giulio déclare à Oria, servante de Valiera, sa flamme pour sa maîtresse. S'ensuit un dialogue malicieux entre les deux femmes où il apparaît que Valiera ellemême avait remarqué le bel étranger et serait disposée à répondre à ses avances. Est alors introduit le personnage sur les initiatives duquel va reposer l'essentiel de l'intrigue : Angela, une veuve d'âge mûr follement éprise du jeune Giulio et qui se livre sur sa servante à des simulations d'un érotisme croissant. Les tentatives des deux femmes d'attirer Giulio dans leurs filets tournent à l'avantage de la veuve, grâce à l'entrée en scène et aux propos convaincants d'un portefaix bergamasque madré, Bernardo, qui accompagne Giulio au palais d'Angela. Le jeune homme y connaîtra une longue nuit d'amour en plusieurs étapes, rythmées et commentées, dans la cuisine à l'étage supérieur, par le portefaix et la servante. La découverte par Valiera de la chaînette de sa rivale au cou de Giulio amorce, avec l'échec de l'anomalie perturbatrice dont Angela était l'incarnation, un retour à la normalité d'où s'ensuivra la fin heureuse traditionnelle, à cette différence près : le triomphe final de l'amour n'aboutira pas au mariage de deux jeunes célibataires, mais à un adultère.
Entre la redécouverte et une pratique croissante de la comédie antique dans le courant du XV e siècle, la naissance et les développements dans les premières décennies du XVI e d'une comédie italienne source reconnue du théâtre européen moderne, la Veniexiana occupe une place non négligeable : tant par la superposition au schéma canonique de l'intrigue comique d'une aventure initiatique inspirée de l'art de la nouvelle et des romans, que par les libertés prises vis-à-vis des unités de temps - quatre jours et trois nuits - et particulièrement de lieu(x). Leur multiplicité ne manqua pas de poser des problèmes inédits de mise en scène sur la résolution desquels on se perd encore en conjectures.
Grand format 47.00 €Sur commande
Journal militaire de la campagne en Corse du prince Louis de Wurtemberg en 1732
Anonyme
- Alain Piazzola
- 15 Janvier 2016
- 9782364790452
Ce document rapporte les événements survenus en Corse lors de la deuxième intervention impériale : celle du prince Louis de Wurtemberg en Corse en 1732. La première intervention s'étant déroulée en 1731, s'était soldée par un échec cuisant. Ce journal a été tenu par un membre du corps expéditionnaire, probablement officier dans l'artillerie. Le point de vue est celui des troupes de l'Empereur Charles VI d'Autriche : il ne s'encombre pas du droit des peuples et affiche la nécessité d'une intervention s'agissant d'une île en rébellion contre le pouvoir reconnu internationalement, celui de la République de Gênes, alliée de l'Empereur et dont le domaine est garanti par celui-ci ; mais aussi, comme l'affirme le manuscrit, parce que Charles VI voit derrière les mouvements dans l'île l'inspiration des Bourbons espagnols et français.
Ajoutons que ce manuscrit possède une iconographie remarquable et pratiquement unique. Les représentations connues de la Corse sont quasi exclusivement urbaines et le plus souvent liées à un édifice remarquable ou à des travaux à effectuer. La vue du campement des troupes qui débarquent à Calvi, les vues de Belgodere, Montemaggiore, Calenzana, Corte, Bastia. et surtout une grande carte dépliante reproduite en fin d'ouvrage, nous font découvrir une iconographie qui est demeurée inédite jusqu'à ce jour.
Grand format 23.00 €Sur commande
Une anglaise témoin de la révolution française (1792-1795)
Anonyme
- Jacqueline Chambon
- 10 Octobre 2006
- 9782877113090
Nous ne connaissons guère de la Révolution française que les effets d'ensemble, l'histoire des assemblées et des insurrections de Paris ; du moins nos grands historiens se sont toujours placés à ce point de vue.
Il est utile de voir les choses sous un autre aspect, par le détail, et comme elles se passent, au jour le jour, d'après les impressions successives d'un témoin sincère. C'est ainsi que nous les aurions vues, si nous avions vécu alors ; et c'est en lisant de pareils témoignages que véritablement nous nous transportons dans le passé. (...) Les lettres que nous allons traduire ont été pour la première fois publiées à Londres en 1796.
L'auteur est une Anglaise visiblement fort sensée, instruite et intelligente, mais anonyme ; elle ne voulait pas compromettre les amis avec qui elle avait vécu en France, et qu'on aurait pu découvrir, inquiéter ou même persécuter si elle avait mis son nom en tête de son livre. " (Extrait de la préface d'Hippolyte Taine.) Ces lettres, riches de détails précieux, nous font revivre les années les plus sombres de la Révolution, celles de la Terreur, mais en province.
" Il est certain qu'un Français, après avoir lu ce livre, trouvera le breuvage amer, écrit Taine ; il faut le boire cependant, car il est salutaire. " Il nous aide à nous déprendre du mythe révolutionnaire encore si ancré dans les esprits.
Grand format 20.30 €Vie d'Abercius, vie de Polycarpe, les vies légendaires de deux évêques du IIe siècle
Anonyme
- Belles Lettres
- La Roue A Livres
- 13 Octobre 2017
- 9782251447131
Écrites au IVe siècle pour célébrer la mémoire d'anciens évêques de leur cité, dont l'un n'était connu que par son épitaphe, et l'autre par le récit authentique de son martyre, ces deux biographies les présentent avec des traits hagiographiques, mettant en relief leurs vertus, la qualité et l'orthodoxie de leur enseignement doctrinal, le succès de leur activité d'évangélisation, leurs pouvoirs de thaumaturge, mis au service de leur cité - l'un découvre des sources thermales, obtient de l'impératrice des dons destinés aux pauvres, l'autre guérit des malades, fait cesser par sa prière un grave incendie, une inondation, une sécheresse.
Ces biographies tracent ainsi le portrait idéal de l'évêque du IVe siècle, enseignant et garant de la vraie doctrine contre les déviations hérétiques, protecteur et bienfaiteur de sa cité. Elles témoignent aussi de la manière dont deux communautés chrétiennes asiates du IVe siècle, à une époque où le christianisme était devenu majoritaire, repensent leur passé païen et chrétien (ainsi dans la Vie d'Abercius), ou font remonter au IIe siècle les pratiques et les problèmes de leur époque (dans celle de Polycarpe).
Grand format 27.00 €Sur commande
La Russie des Vikings ; saga d'Yngvarr le grand voyageur
Anonyme
- Anacharsis
- 15 Octobre 2009
- 9782914777575
Saga d'Yngvarr le grand voyageur, suivie du Dit d'Eymundr Hringsson.
Le mirage de l'Orient attira par milliers les Vikings sur la Route de l'Est. Traversant le "Gardariki" - la Russie primitive - elle joignait, au long de fleuves immenses, les mers froides à la Route de la Soie.
Les deux sagas légendaires présentées ici se font l'écho littéraire et fantasmé de ces mondes du Levant.
L'expédiiton d'Yngvarr le Grand Voyageur conduit ainsi les Hommes du Nord en des pays étranges, peuplés de Cyclopes, dragons et Amazones, gardiens jaloux de trésors fabuleux dont personne, au risque de la vie, ne peut impunément s'emparer.
Le Dit d'Eymundr Hringsson conte quant à lui la geste d'une compagnie de guerriers scandinaves engagés dans des affrontements fraticides entre princes russes.
Fondés sur des faits réels - l'existence d'Yngvarr est avéréé par des inscriptions sur des pierres runiques traduites dans cet ouvrage - ces récits dessinent les contours chatoyants de terres lointaines dont les Vikings rapportèrent, sinon la gloire et l'opulence, matière à de délectables romans d'aventures.
Grand format 15.00 €L'Ashtâvakra gîtâ est un texte majeur de la philosophie indienne. La version qui nous est parvenue aurait été écrite entre le 4ème et le 7ème siècle ; on n'en connaît pas l'auteur. Le texte se présente sous la forme d'un dialogue entre le Maître Ashtâvakra et son illustre disciple, le roi Janaka.
Toute l'essence de la doctrine non-dualiste, Advaïta Vedânta, est ici exprimée de façon simple et poétique. L'enseignement concerne l'unité de la Conscience universelle, le Soi suprême. Face au roi, le Maître Ashtâvakra livre de nombreuses formules en vue de libérer de la souffrance, de la peur, de l'asservissement, du mal-être et d'ouvrir l'accès à la sérénité, à l'apaisement, à la libération et au bonheur. Cela passe notamment par le non-attachement, par l'état de non-désir, par la liberté absolue face aux alternatives courantes (le bien ou le mal, l'action ou l'inaction, la richesse ou la pauvreté, etc.), par l'indifférence aux buts et aux résultats de toute activité ou pratique...
C'est une véritable leçon de vie qui nous vient du fond des âges dans cette « langue parfaite, raffinée et sacrée » qu'est le sanskrit.
Chacun des trois cents versets est donné en écriture devanâgarî, puis en translittération selon la convention internationale. Une analyse mot-à-mot détaillée permet de remonter facilement au texte sanskrit. La traduction proposée respecte aussi fidèlement que possible le texte source.
Grand format 16.00 €L'Infiltrée raconte à la première personne un destin exceptionnel.
La narratrice est née dans une famille juive irakienne prospère. Après la guerre des Six jours (juin 1967), son père est arrêté par les autorités et torturé par la police qui cherche à lui faire avouer qu'il est un espion à la solde d'Israël. C'est sous la menace ultime de voir sa femme enceinte éventrée, que le père « craque » et avoue. Il sera pendu. Puis c'est au tour de la grand-mère d'être tuée. Le reste de la famille entreprend de fuir vers Israël, via l'Iran.
La narratrice raconte alors ses années de formation à l'Université de Tel Aviv, au département des études sur le Moyen-Orient. Elle cherche frénétiquement à retrouver la trace de son père du côté israélien : était-il effectivement un espion ? C'est en apprenant à se cacher parmi les ultra-orthodoxes juifs que lui vient ce sens du « camouflage » qui lui sera si précieux plus tard.
Car elle quitte Israël avec mari et enfants pour s'installer aux Etats-Unis, où elle trouve du travail dans un organisme de recherche à but non lucratif qui recueille de l'information sur le Moyen-Orient.Grand format 28.40 €Un article a été ajouté à votre panier.