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frédéric stucin
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Cette fiction photographique est le quatrième ouvrage du photographe Fred Stucin. Son décor est celui des abords de la Seine, qu'il remonte à la recherche de sa source, et ce sont ces paysages et ces rencontres qui portent sa narration photographique.
La romancière Marie NDiaye pose dans ce livre ses mots sur ces images.
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Las Vegas. Ville de jeu, de néons, de débauche, d'exagération, d'entertainment.
Pourtant, ni casinos, ni palaces, ni machines à sous, ni strip-tease dans le Las Vegas de Frédéric Stucin. En noir et blanc pour aller à l'essentiel et gommer tout malentendu documentaire, au format horizontal pour en accentuer la dimension cinématographique, ces images, réalisées entre 2011 et 2017, n'expliquent rien. Elles sondent l'âme d'une ville somme toute imaginaire, prennent le pouls de son bourdonnement, du mouvement, de l'errance, de la solitude. Elles ressemblent aux souvenirs de jours heureux auxquels celui qui se souvient n'aurait pas participé, qui auraient passé sans lui et dont il ne parviendrait à glaner que débris fatigués. Le livre s'accompagne d'un texte de Marie Ndiaye et Jean- Yves Cendrey.
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Génération citoyenne ; 30 projets audacieux pour un meilleur futur
Joseph de Carme, Frédéric Stucin
- Éditions de la Martinière
- 9 Novembre 2017
- 9782732484037
Lutter contre le gaspillage alimentaire comme Disco Soupe, recycler des vêtements comme Hopaal, proposer des produits bio et locaux en épicerie comme Le Local, aider les entrepreneurs sociaux à émerger comme Ticket for Change... autant d'initiatives engagées qui ont eu recours au financement participatif Via KissKissBankBank et ont bénéficié du soutien de La Banque Postale.
Découvrez trente récits, trente projets innovants menés par des hommes et des femmes qui croient en l'engagement citoyen, au respect de l'environnement, à la solidarité. Trente facettes d'une société en mouvement, au service d'un futur durable.
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Le projet Parce que c'est Nous, porté par la Villa Pérochon-Centre d'art contemporain photographique, a été co-construit avec le service psychiatrique de l'hôpital de Niort. Il associe toute l'équipe de la Villa Pérochon, une équipe de 5 personnels soignants dont le médecin-chef du service psychiatrique concerné, l'association Peppsy qui gère la P'tite Cafète et la Radio Pinpon. Frédéric Stucin a été choisi parmi 80 dossiers de candidature pour développer son projet de «Âportrait porte-rêves», portraits de patients de la P'tite Cafète, lieu de convivialité au sein de l'hôpital dont l'accès est conditionné à une prescription. La résidence de création est en place et court sur toute l'année 2021 au rythme d'une semaine par mois. ÂL'objet final est une exposition et un livre retraçant ce travail documentaire mettant en avant une certaine réalité du milieu psychiatrique en France. Un regard singulier, bienveillant sans compassion ni voyeurisme.
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À Vichy, début mars 2019, dans le cadre du Festival Portrait(s), Frédéric Stucin photographie des sportifs. C´est le thème de sa résidence, il a pris rendez-vous en avance, depuis Paris, avec des volleyeuses, des basketteurs, des nageurs. Le Coronavirus arrive avant lui. Plane le spectre du confinement prochain. On ferme les gymnases. On annule les matchs. On interdit les regroupements. Alors, le photographe imagine. Que serait le sport s´il était clandestin? Si, à l´inverse de cette activité positive, bonne pour la santé, le moral, la cohésion sociale, il devenait illicite, comme il l´est en cette période où tout est inversé? Le sport subversif, caché? Il y aurait l´inquiétude et le danger que la clandestinité implique, bien sûr, mais aussi une autre forme de jouissance, celle de la transgression, du plaisir dérobé. Inspiré par ces images, l´écrivain Didier Daeninckx, auteur de romans consacrés par le public et la critique, a inventé une nouvelle, concentré de suspense et de joyeuse