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BAYARD|Bayard Service
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Remettons l'homme au coeur de l'économie
Alain Delaunoy
- Bayard Service
- 20 Octobre 2015
- 9782374140230
Dans un monde contemporain amené à résoudre d'urgence des défis environnementaux et sociétaux inédits, que vaut une économie capitaliste (ou socialiste) si elle ne place pas l'homme au coeur de ses préoccupations ? Révolté par les prétentions de certains « prophètes » de multinationales à déterminer le modèle de la société de demain et scandalisé par un emballement financier mondialisé aveugle, Alain Delaunoy en appelle à une économie humaniste qui, comme son nom l'indique, fait de l'homme et non du profit sa finalité. Dans son plaidoyer, l'auteur demande à chacun de prendre ses responsabilités, de s'interroger et interroger les intermédiaires - en premier lieu, les banques - sur l'usage qui est fait de son argent. Il en appelle aussi à tous ceux qui ont le pouvoir moral de faire changer les choses. Croyant, catholique, s'appuyant sur les paroles fortes du pape François - « l'argent doit servir, et non gouverner » - , il compte sur l'Église pour « éveiller les consciences ».
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Étant victime d'un grave accident de la route, Myriam fait l'expérience de la pause forcée. Cet événement la plonge au plus profond d'elle-même et la force à démêler le vrai du faux, le bon du mauvais.
Impuissante face au temps qui semble s'arrêter, cette jeune femme de 25 ans se voit confrontée aux aventures les plus secrètes de sa vie et doit utiliser ses émotions comme outils de guérison.
Il est maintenant nécessaire pour elle de faire le point afin de sortir d'un piège qu'elle s'est elle-même construit. -
Où commence l'acharnement thérapeutique? "Sommes nous condamnés à mourir en mauvais état général? Faut il absolument partir fâché?" Clément Leclaire, médecin réanimateur, nous livre son expérience, se questionne et nous questionne sur la pertinence de soins invasifs, l'élasticité des frontières actuelles, qui peuvent s'apparenter à une véritable malfaisance, tout particulièrement chez des personnes très agées. "Il y a deux manières de manquer de respect aux anciens, souligne l'auteur; les abandonner lorsqu'ils pourraient vivre sereinement et s'acharner sur eux lorsqu'ils pourraient vivre sereinement et s'acharner sur eux lorsqu'ils pourraient mourir apaisés." Il nous invite à engager un débat qui nous touche de près, à commencer par nos proches, mais aussi nous même: "Comment feriez-vous, si vous étiez moi? Comment voudriez vous que je fasse, si c'était pour vous?