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Fe Editions
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Tables tournantes, esprits frappeurs, telles sont les représentations le plus courantes du spiritisme, lesquelles peuvent être complétées par la question suivante : charlatanisme ou mysticisme ?
De la Grèce antique à nos jours, toutes les religions polythéistes comme monothéistes ont eu dans leurs rangs des hommes ou des femmes chargés de faire l'intermédiaire entre le monde de l'au-delà et celui des hommes. Oracles, devins et autres chamans sont autant de manifestations de cette croyance des hommes en un monde spirituel habité.
Le Livre des Esprits expose les principes fondamentaux de ce qu'Allan KARDEC a appelé « le spiritisme ». Il expose les théories de celui-ci, reprend les objections les plus courantes de l'époque pour mieux les démonter et fait suivre la théorie par la pratique. Ce livre (qu'il décrit comme lui ayant été dicté par plusieurs esprits, lui-même ne s'occupant que de la mise en forme) est une synthèse des questions posées par lui aux esprits et de leurs réponses sur des domaines aussi variés que Dieu, l'homme, la morale, etc.
Cet ouvrage est la base de toute la doctrine spirite. De grands noms s'y sont intéressés et l'ont pratiquée : Victor Hugo, Théophile Gauthier, Camille Flammarion, Napoléon III pour ne citer qu'eux.
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Fêtes et chants de la Révolution française
Julien Tiersot
- Fe Editions
- 24 Septembre 2015
- 9782373390193
Tous ces bruits n'étaient pas dissonants, bien au contraire : c'est l'époque des hymnes et des cultes un peu naïfs mais exaltés, à la gloire de la Liberté, de la Raison et autres divinités républicaines d'alors. Avec force extraits, Julien Tiersot nous entraîne dans ce théâtre permanent qu'étaient " les fêtes et chants de la Révolution française " . Les grandes dates et les grands hommes croisent les compositeurs connus ou en devenir, l'origine de la Marseillaise nous est dévoilée ainsi que le Chant du départ, appelé aussi " la seconde Marseillaise " .
Les chants et la théâtralisation des aspirations des révolutionnaires sont les supports indispensables par lesquels la communion des hommes avec l'esprit de la Révolution est entretenue lors des assemblées législatives successives, jusqu'à l'avènement de l'Empire. Une autre utilisation des fêtes et chants apparaît alors, plus tournée vers le culte impérial.
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Retrace la vie, romanesque et aventureuse, de Voltaire, de ses séjours à la Bastille à ses rencontres avec les plus grands personnages de son temps, en passant par ses actes de dissidence.
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JEANNE D'ARC. Au nombre et à la diversité de ses « racines », l'arbre Jeanne d'Arc est une vraie forêt : plus de 50 000 ouvrages lui ont été consacrés, des films, des pièces de théâtre, des colloques à foison, un nombre incroyable d'églises, des statues un peu partout et dans presque toutes les églises de France, 423 collèges et lycées français portant son nom. Nous ne sommes pas là devant une simple héroïne nationale, une icône du passé, mais devant un véritable mythe.
Et un mythe bien vivant. Personne n'est aujourd'hui encore insensible à ce qu'elle représente pour la Nation française et l'État, pour la mémoire populaire, pour l'imaginaire et le rêve. Au point que, profondément française, elle semble surgir de partout et de nulle part à la fois.
Car la vie de la Pucelle d'Orléans est un roman. Le roman français par excellence, et même le roman de la France chanté par Péguy. Cette vie semble si connue qu'il ne paraît presque plus nécessaire de la raconter. Et cependant le mystère de ce destin hors norme reste insondable :
Mystère de sa jeunesse, de son identité, de sa vie de femme, de son procès, de sa mort. Cette vie, en apparence si familière, est en réalité un abîme de secrets dont certains s'éclairent lorsque d'autres s'obscurcissent.
Victoria Man-Estier est allée , le coeur ouvert, sur les traces de Jeanne, sur les lieux de mémoire de cette étonnante destinée. Elle est allée aussi sur les chemins de sa postérité et de la construction de sa légende. Elle nous fait découvrir une Jeanne mystérieuse mais si vivante et si actuelle que l'on semble presque pouvoir s'adresser à elle et lui parler. Elle nous donne également la chance de pouvoir lire ou relire la Jeanne d'Arc de Michelet, ouvrage d'historien mais aussi oeuvre d'un formidable écrivain. Un pareil mythe méritait une place de choix dans notre collection.
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Camille Flammarion. Un destin imprévu, une aventure humaine exceptionnelle, un nom qui résonne encore aujourd'hui comme une référence dans l'histoire de l'astronomie. Né le 26 février 1842 en Haute-Marne, aîné d'une famille de campagnards, Camille Flammarion est destiné à devenir prêtre. Cependant, il se révèle un enfant prodige que les sciences de la Terre fascinent. Mais il hésite à s'engager dans cette voie alors que sa véritable passion concerne les choses du ciel.
L'observation d'événements astronomiques exceptionnels conforte sa fascination. Monté à Paris avec sa famille, il exerce plusieurs métiers avant qu'une rencontre capitale ne bouleverse son destin. A l'inverse des érudits de l'époque réunis au sein de sociétés savantes, Camille Flammarion n'a de cesse de partager ses connaissances avec tous et devient le premier vulgarisateur scientifique contemporain.
Brillant et sans concession, il côtoie les grands de ce monde ainsi que les plus brillants esprits scientifiques et ne laisse personne indifférent. Les mémoires d'un astronome se lit comme un roman autobiographique qui nous fait partager la vie d'un des plus grands esprits universels du siècle, au croisement de l'Histoire et de la Révolution industrielle. Camille Flammarion, un enfant de la terre destiné au spirituel, passionné par les cieux et dévoué aux hommes.
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Comment, dans cette collection RACINES consacrée à celles et ceux qui ont marqué de leur empreinte l'histoire et les plus hautes valeurs de notre civilisation, pourrait-on ne pas offrir une place de choix à VICTOR HUGO ? Victor Hugo si connu et si méconnu, tout à la fois. Celui qui, avec Napoléon, est aujourd'hui le Français le plus célèbre sur la planète, est si légendaire qu'on finit par oublier ce qui fait son génie.
L'enfant qui écrit des vers d'une incroyable précocité... Le génie des Misérables , de Notre Dame de Paris, de la Légende des siècles, de Napoléon le petit, des Travailleurs de la mer...Lamant couvert de femmes...L'adversaire de la peine de mort...le vieillard à la barbe fleurie "panthéonisé" de son vivant... Deux millions de parisiens suivent son cercueil et la République se déclare orpheline. Ce Victor Hugo qu'André Gide tenait pour le plus grand poète français, est aussi celui dont les enfants de toutes générations apprenaient et apprennent encore les poèmes .
Parce qu'ils sont immortels. Mais qui était vraiment Victor Hugo ? Qui se cache derrière ce nom ?On apprendra dans cet ouvrage qu'il recèle sa part de mystère.
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Mozart. Ce nom seul nous fait rêver. Depuis le film de Milos Forman "AMADEUS", le grand public a pu faire connaissance avec le personnage Mozart. Il est sans nul doute le génie absolu de la musique. Précoce comme c'est à peine imaginable, l'enfant sublime qui enchante à six ans les cours d'Europe, se métamorphose peu à peu en génie de la maturité. La chrysalide se fait papillon. Avec lui, on a le sentiment que les notes lui viennent tout droit d'un ailleurs où se trouve la main de Dieu.
Mozart ne compose pas, Il crée, ii invente . Il est un passeur qui nous dépasse. Des génies de cette envergure, on n'en trouve pas plus d'une dizaine dans toute l'histoire de l'humanité. Il y a Shakespeare, il y Mozart, il y a Hugo... La vie de Mozart est fascinante, parce que derrière l'artiste, se trouve l'homme. Un drôle de bonhomme si fascinant ; mélange de Rabelais et de Jean Sébastien Bach. Polisson, irrévérencieux, névrosé, amoureux, capable du meilleur comme du pire.
A la fois iconoclaste et troublé parle mystère des fins dernières. Il est homme de son temps et de tous les temps. C'est ce qui fait la marque de son génie unique. Il laisse une signature indélébile.
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Le Christianisme a pris racine sur une terre, l'Orient, où la mystique et les arcanes secrets des religions s'étaient développés durant toute l'Antiquité. Toutes les religions d'alors comportaient deux degrés de connaissances : le premier degré était accessible aux profanes (donc à tous) et le deuxième degré proposait aux initiés d'accéder à des vérités plus profondes à l'issue d'un long parcours initiatique.
Le Christianisme ésotérique d'Annie BESANT s'adresse à ceux qui ne se satisfont pas d'une lecture au premier degré du dogme chrétien et qui veulent aller plus loin dans leur recherche de la vérité profonde et originelle du Christianisme. À la lumière de la Théosophie, Annie Besant nous entraîne parmi les secrets les plus inattendus de la religion et nous révèle les mystères cachés derrière la liturgie commune. Que l'on soit croyant ou simplement curieux, ce livre est un véritable guide initiatique pour tous ceux qui sont en quête de vérité intérieure.
« Toutes les religions ont leurs mystères et il semble que sans cela, il n'y aurait point de religions » écrivait Montesquieu.
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RIMBAUD incarne pour beaucoup celui par qui le scandale arrive. Nombreux parmi ceux qui se sont penchés sur le "mauvais sujet" RIMBAUD , ont mis l'accent sur le pêcheur, celui qui fût l'amant de Verlaine, l'artiste de tous les excès, le nouveau Baudelaire en quête des paradis artificiels. Tout ceci est vrai... Mais RIMBAUD est tellement plus riche que cette étiquette de mauvais garçon qui lui colle à la peau.
Il est d'abord et avant tout le poète de la précocité. Pourtant il ne suffit pas d'être jeune pour être un grand poète. Il est le Mozart de la littérature. Alors, oui, il est aussi un drôle de voyou, un buveur d'absinthe, un François Villon ressuscité, un inverti notoire... Et cela , non seulement n'est pas un frein à son génie mais semble au contraire l'enrichir. Avec lui, il est un mystère, l'un des plus grands de l'histoire de la littérature...Pourquoi l'adolescent sublime, adulé même par ceux qui le jalousent, jette-t-il sa plume soudain pour s'en aller vers un autre destin ? Avait-il tout dit de ce qu'il avait à dire ? Allait-il chercher une autre inspiration dans l'aventure d'Abyssinie où il se fait trafiquant ? Ce chemin initiatique s'apparente vite à un chemin de croix.
De ceux qui transforment l'être. Il en reviendra mourant et volontairement muet. De désespoir ? D'espérance ? Ce livre permettra de lever le voile sur cette question lancinante.
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L'histoire de la France sous le premier Empire. L'auteur, historien de la fin du XIXe siècle, propose une analyse de cette période sous plusieurs aspects : il commente les événements politiques, le parcours de Napoléon et décrit la vie sociale, culturelle, scientifique, et le quotidien des différentes classes sociales.
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ALEXANDRE DUMAS (1802-1870) est au roman ce que Michel Ange est à la sculpture : un géant. Innombrables sont ceux, de tous âges, qui ont aimé la littérature et l'histoire grâce à lui.
Héros parmi les héros dans une génération d'exception - Dumas est contemporain de Victor Hugo, Georges Sand, de Musset, Balzac et Stendhal -, il trace son chemin dans ce xix e siècle avec une énergie et une créativité qui évoque la démesure. Il est un titan des Lettres, à l'imagination sans égal, créant plus encore qu'évoquant les personnages historiques. Qui n'a pas rêvé à un monde merveilleux en lisant Les Trois Mousquetaires , Le Comte de Monte Cristo , Vingt ans après et plus d'une centaine de romans fascinants qui nous laissent éblouis par une telle virtuosité ?
Comment ce Prométhée déchaîné a-t-il pu accomplir une telle oeuvre en faisant de sa propre vie un roman, relève du mystère. Force vitale ? Démesure ? Amour de la vie pour tout ce qu'elle offre ? C'est tout cela, et bien davantage. Dumas aime tout, les voyages, les amours, les femmes, la cuisine, les fêtes, les débauches et les excès en tous genres. Qu'il ait réussi à vivre vieux avec une telle fringale relève du prodige. Georges Sand disait de lui qu'il possédait le « génie de la vie ». Mieux encore, il en était possédé. Avec lui, entrons dans une existence hors du commun caractérisée par un mot : la passion. Entrons au-delà des frontières de l'espace et du temps. Entrons dans l'extraordinaire aventure du plus grand écrivain de romans historiques, un maître absolu.
La biographie signée Charles GLINEL, Alexandre Dumas et son temps, Paris 1884 , est la première et l'une des meilleures du héros, écrite très peu de temps après sa mort. Elle a inspiré tous les amateurs de Dumas. Elle méritait d'être offerte aux lecteurs d'aujourd'hui.
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JE SUIS... : Anne de Bretagne
Alexandre Vieil-castel
- Fe Editions
- Je Suis...
- 5 Juin 2015
- 9782373390025
Il y a un peu plus de cinq cents ans, naissait Anne de Bretagne, dont le destin allait être capital pour l'Histoire puisqu'elle unit son duché, ravagé par les guerres, à son ennemi héréditaire, la France. S'appuyant sur la technique très vivante du « reportage vécu » dans le passé, Alexandre Viel-Castel fait ressurgir dans Anne de Bretagne, parmi le flamboiement des passions politiques et militaires, la fresque d'une aventure exceptionnelle dont Anne fut l'héroïne. L'auteur a pu découvrir des documents qui projettent un éclairage sur la personnalité d'un chef politique étonnamment précoce. Anne de Bretagne n'avait pas quinze ans quand elle épousa, contre son gré, le roi de France Charles VIII. Elle était passée maître en l'art de la diplomatie et ses qualités de réflexion, d'énergie et de charme, firent d'elle, ainsi que Brantôme se plut à le raconter, l'une des femmes les plus illustres de son temps. Comment pouvait-il en être autrement puisque, élevée dans une cour brillante et cultivée, mûrie de bonne heure par les épreuves des combats, Anne était, à la veille de son dixième anniversaire, le parti le plus envié de toute l'Europe. Treize prétendants, dont les futurs monarques d'Autriche, d'Espagne et d'Angleterre, se disputaient l'honneur d'obtenir sa main.
Dix-huit ans après sa mort, la Bretagne était rattachée à la France. Anne avait été, à contrecoeur mais consciemment, l'artisan de cette fatalité historique.
Il n'en reste pas moins que, toute sa vie durant, Anne sut maintenir l'indépendance de son duché en remplissant, sans le moindre reproche, son rôle de Reine de France. Ce personnage, qui a été souvent maltraité par l'Histoire en raison des légendes abusives, n'est plus celui de l'assez ridicule et pitoyable « duchesse en sabots ». Il sort grandi, à la lecture d'un livre qui restitue son auréole d'héroïne nationale, à la fois des Bretons et des Français.
Ce livre est accompagné d'illustrations en marge du texte ainsi que de dates et éclairages sur les évènements historiques du temps d'Anne de Bretagne et les données géopolitiques et enjeux d'une époque.
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Née le 28 mars 1515, dans une famille d'origine juive, Thérèse de Ahumada sera considérée tour à tour par l'Eglise comme une mystique, une insoumise, une révoltée. Passionnée toute jeune de romans de chevalerie, éprise de liberté, c'est contre son gré qu'elle entre au couvent mais elle décide pourtant quelques années plus tard de devenir religieuse ! Ce n'est qu'à partir de 40 ans, qu'elle va avoir des visions : « Je vis un ange proche de moi du côté gauche. Il n'était pas grand mais plutôt petit, très beau, avec un visage si empourpré, qu'il ressemblait à ces anges aux couleurs si vives qu'ils semblent s'enflammer. Je voyais dans ses mains une lame d'or, et au bout, il semblait y avoir une flamme. ». Réformatrice exigeante, fine psychologue, bonne cuisinière, Thérèse, dans les couvents qu'elle érige, raconte des histoires, crée des poèmes, elle aime la vie, la musique. Elle fondera seize monastères de carmélites et quatorze de carmes réformés se déplaçant par des routes impraticables, avec une audace et un courage qui dépassent tout entendement. Humaine, mystique, elle s'impose et en impose mais elle a horreur de toutes les formes de vanités. Sa force, son « feu sacré » en agacent plus d'un.Un théologien souhaitera en son temps « vivre assez longtemps pour voir cette nonne finir sur le bûcher ». Elle décède le 4 octobre 1582. Sans doute peut-on la considérer comme la première féministe des temps modernes et avec sa description des détours de l'âme dans Le château intérieur comme un précurseur de la psychanalyse n'en déplaise à ceux qui la traitèrent d'hystérique !
Ce livre est accompagné d'illustrations en marge du texte ainsi que de dates et éclairages sur les évènements historiques de son temps et les grands personnages qui croisèrent sa route.
Thérèse d'Avila est née l'année ou commence en France l'avènement du roi François Ier, au tout début de ce qu'on nomma le siècle d'or en Espagne, un peu après la fin de la Reconquista et trente ans avant la naissance de Miguel de Cervantès, et d'El Greco dont elle aura sans doute croisé les routes.
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Keith Richards est peut être la plus grande icône que le rock ait jamais connue. Certes, il n'est pas chanteur, mais il a à lui seul inventé le rôle du guitar hero matiné de bandit de grand chemin. Avec ses trois camarades des Rolling Stones, il arpente les scènes du monde entier depuis maintenant cinquante ans, cisaillant les riffs dans une posture qui confine à la légende.
Derrière le bad boy apparaît un personnage plus contrasté, plus fragile et sûrement plus authentique que ne peut l'être son alter ego Mick Jagger. Les drogues, les démêlés avec la justice, les mariages et les divorces à répétition en témoignent : Keith Richards reste un adepte de l'excès et le fait qu'il soit malgré tout encore en vie aujourd'hui est un véritable miracle.
Toutefois sa vraie vie est ailleurs : inspiré dès son adolescence par les grands maîtres du blues que sont Muddy Waters, BB King et Chuck Berry, il s'impose comme un compositeur hors norme et comme un guitariste à nul autre pareil, tant dans la posture que dans la dextérité.
De ses origines jusqu'à la dernière tournée des Rolling Stones, de ses premiers pas dans le Londres des swingin' sixties jusqu'à la parution de son autobiographie, Life , un best seller, cet ouvrage se penche sur un homme aussi génial que complexe !
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Mick Jagger est peut-être la plus grande star que le rock ait jamais connue. On peut même dire qu'il a inventé et incarne à lui seul le concept de rock star : chanteur exceptionnel, bête de scène flamboyante, auteur d'un nombre incroyable de classiques du genre, personnage public aux frasques légendaires mêlant sexe et drogue. Toujours sur la brèche à plus de soixante- dix ans, comme une sorte de Dorian Gray du rock'n'roll à l'éternelle jeunesse, il continue de faire triompher les Rolling Stones dans le monde entier devant des foules en délire rassemblant plusieurs générations de spectateurs.
Mais Jagger est un personnage complexe : c'est une rock star doublée d'un redoutable homme d'affaire à la froide efficacité, réservé, secret, adepte de la langue de bois face à la presse, conservateur et anglais jusqu'au bout des ongles, gentleman farmer propriétaire d'un château en Touraine, exemple type d'une nouvelle aristocratie rock'n'roll - au sens propre du terme puisqu'il a été anobli par la reine d'Angleterre. À cet égard, tout l'oppose en apparence à son vieux complice Keith Richards, éternel vieux pirate déjanté du rock'n'roll.
Qui donc est Mick Jagger ? Comment en est-il arrivé à ce statut d'icône planétaire ? En examinant ses origines, son évolution, ses hauts faits d'armes artistiques, commerciaux et people, ce livre tente de percer le mystère de l'ascension de ce petit blanc anglais issu de la moyenne bourgeoisie que rien ne prédisposait a priori à faire se pâmer les foules à travers le monde en interprétant une version modernisée de la musique des noirs américains du Sud des États-Unis.
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Charles Baudelaire est un « poète maudit », comme Verlaine aimait à nommer ceux qui se complaisaient dans la décadence, consommaient drogues et alcools et n'apréciaient rien tant que la provocation. La mort de Baudelaire, alors qu'il était âgé de seulement quarante-six ans, fut un non-événement : qui pouvait bien se soucier d'un rimeur aux vers crus, aux penchants malsains, à la réputation sulfureuse, un homme qui érigeait la mélancolie en façon de vivre, un dandy, un flambeur ?
Baudelaire fut accusé d'outrage à la morale publique et aux bonnes moeurs lors de la publication de ses Fleurs du Mal .
Baudelaire souhaitait sublimer son art poétique en touchant du doigt la vérité, il aspirait à l'élévation mais toute sa vie ne fut qu'une longue chute vers les abîmes et le néant.
Comment expliquer cet attrait pour la chute, pour les bas-fonds ? Cette inclination à fréquenter les paradis artificiels ? Ce réalisme et ce pessimisme qui lui collent à la peau ? Cette envie de travailler et ces journées à ne rien faire, à courir après l'argent qui lui manque tant ? Ce livre permet de lever le voile sur la dualité d'un poète incomparable.
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Née la même année que ce qu'elle appelait « l'infâme code Napoléon », George Sand est une femme libre, transgressant les codes de son époque, à la curiosité à 360°. Au-delà des clichés sur celle qui n'a pas hésité à braver la loi pour s'habiller en homme, qui s'est choisi un pseudo masculin pour être considérée autrement que comme « une femme qui écrit », sur la grande amoureuse qui fut la muse et l'inspiratrice de Musset et Chopin, Caroline Loeb nous présente une femme passionnée aussi bien de littérature que de musique, de botanique que d'idées humanistes, de cuisine que de théâtre.
Caroline Loeb, dont la curiosité et l'éclectisme sont en phase avec la grande George, joue depuis près de trois ans un spectacle musical, George Sand, ma vie, son oeuvre pour l'écriture duquel elle s'est plongée dans la vie hors norme de cette femme exceptionnelle. Ses amours, ses engagements, les rapports complexes avec ses enfants, Maurice et Solange, ou avec ses contemporains (autant elle était aimée et respectée par Victor Hugo et Balzac, autant elle était haïe par Baudelaire et Nietzsche) n'ont plus de secrets pour elle. George Sand était, et est toujours, une femme d'une modernité vibrante. Aller à sa rencontre se révèle être une grande expérience.
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Histoire pittoresque de la franc maçonnerie et des sociétés secrètes
François-timoléon Bègue-clavel
- Fe Editions
- 1 Avril 2016
- 9782373390643
L'origine de la Franc-Maçonnerie fait l'objet de nombreuses spéculations. Mais il est généralement admis qu'elle nous vient d'Angleterre et que son organisation actuelle remonte au début du xviii e siècle. Dès l'Antiquité toutefois, la transmission de savoirs se faisait au sein de corporations d'élus qui suivaient un enseignement progressif et initiatique dans l'art de leur choix : médecine, religion, architecture, etc.
L'histoire pittoresque de la Franc-Maçonnerie et des sociétés secrètes remonte le temps et nous propose de découvrir la genèse de ces sociétés occultes depuis l'Antiquité à nos jours. Dans son livre, F.-T. Begue-Clavel s'attache à démontrer la filiation historique qui lie à travers le temps et l'espace la tradition maçonnique avec les « castes » des premiers Égyptiens et, par la suite, avec les corporations du Moyen Âge.
L'auteur nous montre la naissance de la Franc-Maçonnerie en Angleterre au xviii e siècle, son développement en Europe puis dans le monde (Hollande, Russie, Amérique, Mexique...).
S'il détaille la façon dont la Franc-Maçonnerie se répand, sa rigueur historique ne saurait lui faire taire les nombreux obstacles et conflits auxquels elle dut faire face. Il s'attache enfin à présenter quelques sociétés secrètes initiatiques, politiques et philosophiques. On y découvre entre autres curiosités les « Fendeurs-charbonniers », les « sociétés secrètes polynésiennes », etc. Un ouvrage rare.
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Le nom de Léonard de Vinci est synonyme de génie, l'homme est fascinant, une fascination toujours prégnante cinq siècles après sa disparition.
Artiste, peintre, sculpteur, architecte, écrivain, ingénieur, inventeur, visionnaire, Léonard est un diamant à multiples facettes qui avait choisi pour devise :
« Obstination et rigueur ». « Le plaisir le plus noble, disait-il, est la joie de comprendre. Ne pas estimer la vie, toute la vie, c'est ne pas la mériter ».
C'est à la découverte de ce curieux de tout, de ce passionné de musique et de poésie comme de sciences et de technique que nous convie Antoine Cassagrande. Avec lui nous partons à la rencontre d'un jeune apprenti de 14 ans très vite enrôlé dans le Campagnia de Pittori, la guilde des artistes peintres de Florence, qui, à vingt ans va peindre « l'annonciation ». L'homme qui dévoilera le nombre d'or, ce perfectionniste qui ne laissera derrière lui qu'une quinzaine de tableaux jugeant le reste de son oeuvre inachevé, se préfère ingénieur et écrira notamment le « Codex Atlanticus », recueil scientifique et technique incluant des centaines de schémas dont celui d'une bicyclette, d'une catapulte, d'une arbalète géante, ou encore d'un avion. Mais Léonard est aussi et surtout un personnage entouré de mystère et c'est un coin du voile de ce mystère que l'auteur de cet ouvrage soulève.
Ce livre est accompagné d'illustrations des oeuvres du Maître en marge du texte ainsi que de dates et éclairages sur les évènements historiques de son temps et les grands personnages qui croisèrent sa route.
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La collection ICÔNES est dédiée aux hommes et aux femmes qui ont fait l'Histoire contemporaine et continuent à la faire. Elle s'attache à présenter d'une manière à la fois empathique et factuelle les personnages qui ont scandé la marche de l'Histoire récente : la vie, les événements marquants, les lieux, les images, les phrases les plus importantes de ces hommes et femmes.
Ces ouvrages sont publiés en corrélation avec des événements-clefs et des faits d'actualité, et constituent un « hommage objectif » à ces grands personnages. Ils représentent donc un précieux support d'informations pour les enseignants, mais aussi les écoliers, les lycéens et les étudiants. La véritable histoire de ces hommes et femmes qui ont forgé et forgent encore notre avenir. Ce que vous avez toujours voulu savoir sur les lieux qu'ils ont fréquentés et aimés, leurs racines et leurs engagements, les anecdotes, gestes, actes, écrits.
Le premier livre de notre collection ICÔNES est consacré à Fidel Castro. Il propose une approche nouvelle et richement illustrée de sa vie. Son enfance, ses espoirs, ses ambitions, ses réalisations, les clefs essentielles de ce personnage emblématique de l'histoire du xxe siècle. Il s'agit d'un portrait à plusieurs entrées : terres et racines, moments phares, actes majeurs, vie privée, bref, une « radioscopie » de l'Icône.
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Andy WARHOL est une icône éblouissante du monde de l'Art et de l'Amérique. Davantage même qu'une icône, il a atteint le rang de mythe tant il a bouleversé l'art contemporain en même temps que notre vision du réel !
Qui est cet enfant d'immigré qui va mourir à moins de 60 ans des suites d'une banale opération, non sans avoir révolutionné tous les codes et rendu l'art « populaire » en s'appropriant les objets de la vie courante pour en faire des oeuvres d'art ?
Peintre, producteur musical, auteur de films d'avant-garde, ami des plus grandes célébrités d'Hollywood, il n'est pas du côté des artistes maudits : « J'ai commencé dans l'art commercial et je veux terminer avec une entreprise d'art. Être bon en affaire, c'est la forme d'art la plus fascinante. Gagner de l'argent est un art, travailler est un art, et les affaires bien conduites sont le plus grand des arts », dira-t-il.
L'homme qui fabrique des cartes de Noël pour Tiffany dans les années 1950 est alors avant tout connu pour ses publicités. Ce n'est que dans les années 1960 qu'il va devenir le « Pope of the Pop » et adopter la photographie sérigraphiée sur toile qui fera de lui l'artiste reconnu que l'on sait. Une vie dans l'obsession de la mort à laquelle il échappe en 1968, victime d'une tentative d'assassinat. Une vie dans le milieu underground et VIP, mais aussi une vie de pionnier avec l'ouverture d'Andy Warhol TV en 1980 et de découvreur de talents tels que Basquiat et Keith Haring, entre autres.
Comment Warhol est-il devenu Warhol ? La collection INCÔNES s'attache à décrypter le parcours de cet artiste incomparable : ses racines et ses engagements, les anecdotes, gestes, actes, oeuvres qui ont jalonnés sa vie. Une approche très illustrée de la vie d'Andy Warhol nous donnant les clefs essentielles pour comprendre l'artiste qui changea la donne de l'art au xxe siècle.
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Marie-Antoinette est la plus délicieuse et la plus malheureuse des reines de France. Sa tragédie fait d'elle une icône. Arrachée à sa terre natale, plongée dans les fastes de Versailles à dix-sept ans à peine, on la présente comme une jeune reine tour à tour enjôleuse, frivole et dépensière, aux antipodes de ce que sa mère, l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche, lui a enseigné.
La princesse impériale et royale d'Autriche, de Hongrie et de Bohême a davantage d'ascendance française que son roi de mari qui la délaisse - il mettra sept ans à « consommer» son mariage - et la nomme« L'Autrichienne»! Pamphlets et libellés orduriers ne cesseront d'ailleurs de circuler dans tout le royaume. On la traite de« nymphomane insatiable », de« prostituée babylonienne », de « Madame Déficit » ... Le 5 mai 1789, lorsque s'ouvrent les États Généraux, c'est à mots à peine couverts qu'elle sera attaquée.
Soudain, c'est la montée des périls. La prison du Temple et la lente avancée vers l'échafaud rapprochent le roi et la reine, transfigurent le destin de la petite princesse et feront d'elle la reine martyre.
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