«Laisse les jours s'écouler sans te tourmenter en vain.Combien de rêves inaccessiblessont offerts par l'heure propice !»Cent quinzième nuit, Les mille et une nuitsChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.Couverture papier teinté bleu.
«Laisse les jours s'écouler sans te tourmenter en vain.Combien de rêves inaccessibles sont offerts par l'heure propice!»Cent quinzième nuit, Les mille et une nuitsChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
De Prévert à Sartre, de Cocteau à Proust, de Colette à Duras, ces miscellanées de l'écrivain se font l'écho de la vie de nos plus grands auteurs. Un carnet ligné pour y découvrir au fil des pages des anecdotes littéraires et pour y noter les siennes.
En 1950, le romancier et poète Raymond Queneau mène une enquête auprès d'un éventail d'intellectuels de son temps afin de recueillir la liste des cent ouvrages qui formeraient leur bibliothèque idéale.Retrouvez dans ce carnet des pages vierges lignées pour y noter votre bibliothèque idéale et découvrez les réponses de Paul Eluard, Blaise Cendrars, Joseph Kessel ou encore André Breton.
« Le baiser n'est qu'une préface, pourtant. Mais une préface charmante, plus délicieuse que l'oeuvre elle-même, une préface qu'on relit sans cesse, tandis qu'on ne peut pas toujours... relire le livre. » Le Baiser,1882. Guy de Maupassant Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
«Je prends possession du monde par les mots.»Carnets, 1953. Antoine de Saint-Exupéry.Chaque carnet possède des pages légèrement lignées et s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
«Une histoire qu'elle pourra veiller de loin, même fatiguée, même lasse, même désappointée, et ce sera comme une lumière, toujours. Oui, une histoire, une belle histoire à écrire.»En attendant demain, 2019. Nathacha Appanah.Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection Blanche.
«J'étais à mi-chemin de la traversée de l'Amérique, sur la ligne de partage entre l'Est de ma jeunesse et l'Ouest de mon avenir.»Sur la route, 1957. Jack KerouacChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Couverture papier teinté noir.
«La confiance est la clé. Sans elle, rien ne serait possible.»Désir, 2020. Philippe SollersChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
«Où que portât son regard, un détail semblait l'attendre là depuis toujours, lui et personne d'autre.»Détails, 2017. Marcel Cohen.Chaque carnet possède des pages légèrement lignées et s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
«Une fenêtre était ouverte et j'entendais taper, taper à la machine.»La machine à écrire, 1941. Jean CocteauChaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
« [...] il vaut mieux rêver sa vie que la vivre, encore que la vivre ce soit encore la rêver [...] » Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
«J'ai commencé ma vie comme je la finirai sans doute:au milieu des livres.» Les mots, 1964. Jean-Paul Sartre.Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection Blanche.
«Je prends possession du monde par les mots.»
Titre de Marguerite Duras, paru en 1993 dans la collection blanche.
« Écrire c'est aussi ne pas parler. C'est se taire.
C'est hurler sans bruit. » Marguerite Duras, 1993
« J'aime les mots, leur sens ancien, les passerelles que ça crée. L'impression d'un ordre, d'une cohérence, d'un enracinement, le seul qui tienne dans ce monde de folie. Où les mots ne veulent plus rien dire. Où la vérité ne compte plus. » Croire au merveilleux, 2017. Christophe Ono-dit-Biot Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Titre de Jules Michelet, paru en quatre tomes de 1959 à 1976 dans la collection blanche
«J'avais pensé que ce travail provisoire me fournirait toute une documentation qui pourrait m'inspirer plus tard si je me consacrais à la littérature. L'école de la vie, en quelque sorte.»Encre sympathique, 2019. Patrick Modiano.Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
Titre de Jean-Paul Sartre, paru en 1964 dans la collection blanche.
« J'ai commencé ma vie comme je la ?nirai sans doute au milieu des livres. » Jean-Paul Sartre, 1964
Titre de Roger Nimier, paru en 1965 dans la collection blanche
Titre de Lise Deharme, paru en 1945 dans la collection blanche.
Chaque carnet s'ouvre par une citation dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection Blanche.
Titre de Jean Giono, paru en 1957 dans la collection blanche
Titre de Jean Guéhenno, paru en 1952 dans la collection blanche
«La plus grande noblesse de vie ne s'obtient pas par l'amour des autres, mais par l'amour du devoir.» Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.