Arashiyama Ko^zaburo^ a deux amours, la cuisine et la litte´rature. Il est toujours passionne´ par son sujet, qu'il s'agisse d'un hai¨ku, d'un oeuf ou d'un banquet de pirates. Il nous apprend comment boire du lait a` bicyclette, de´cline ses cent soupes pre´fe´re´es au miso, e´tudie les sept me´tamorphoses de la fe`ve de soja ou perce le secret me´taphysique du trou dans la racine de lotus. Ses Carnets de table sont de´lectables, la malice s'y marie a` une fantaisie de´bride´e. Cependant, mine de rien, ils demandent beaucoup d'e´rudition et une documentation minutieuse. Arashiyama nous e´tonne, nous fait rire, nous met l'eau a` la bouche et, tout brillant qu'il est, ne rechigne pas a` nous livrer ses recettes prive´es pour pre´parer le riz, les raviolis wantan, les ramen froides, les chenilles de cerisier, un oeuf dur ou` le jaune et le blanc sont inverse´s, et bien d'autres encore. Quel re´gal !
Depuis un siècle, Le Livre du thé qui offre une introduction des plus subtiles à la vie et à la pensée asiatiques s'adresse à toutes les générations. Et ce grand classique, qui a permis naguère de jeter un pont entre l'Orient et l'Occident, n'a rien perdu de sa force et peut encore éclairer notre modernité.
Le trait de génie d'Okakura fut de choisir le thé comme symbole de la vie et de la culture en Asie : le thé comme art de vivre, art de penser, art d'être au monde. Il nous parle d'harmonie, de respect, de pureté, de sérénité. Et de sagesse. Que nous contemplions l'évolution de la voie du thé à travers l'histoire, ou que nous nous projetions dans ce nouveau siècle, il convient encore et toujours de nous tourner vers Le Livre du thé.
A bientôt 80 ans, le chef Hisao Nakahigashi continue chaque matin à cueillir fleurs comestibles et légumes sauvage dans la montagne, il récolte ensuite ceux de son potager, nourrit les poulets qu'il élève luimême. Et décide du menu qu'il servira ce jour-là dans son restaurant kyotoite étoilé au Michelin.
Qu'est-ce que le bon ? À cette question essentielle, il répond d'emblée : « on sent qu'un aliment est bon lorsque notre corps s'en réjouit. Le bon ne se réduit pas seulement à une sensation gustative, c'est une expérience que l'on vit avec notre corps entier.» Ce livre est aussi bien le témoignage d'un chef précurseur qu'un manuel de cueillette et un livre de recettes. Mais c'est surtout un essai riche et sincère sur notre rapport à la nature et ce qu'il pourrait être.
Nancy Hachisu est née en Californie avant de tomber follement amoureuse d'un fermier japonais bio dans le nord de la préfecture de Saitama. « Je suis venue au Japon pour la cuisine, j'y suis restée par amour. » Ce livre est le fruit de son expérience accumulée pendant vingt-trois ans. Nous la voyons repiquer des plants de riz, pieds nus dans la boue, plumer des canards ou fabriquer du tôfu, toucher et écouter les légumes « pendant qu'ils sont encore vivants ».
La cuisine japonaise à la ferme est à la fois audacieuse, simple et directe. Nous utilisons des techniques culinaires ancestrales pour exalter les saveurs naturelles des légumes, du poisson et de la viande. Une fois les principes de base acquis, un cuisinier en herbe peut réussir ce type de recettes chez lui, dans sa cuisine, partout dans le monde.
Japon, la cuisine à la ferme nous invite à entrer dans la ferme ancestrale des Hachisu et à découvrir l'ensemble des ingrédients, du matériel (couteaux, marmites, râpes, mortier, réchauds traditionnels...) et des techniques de la cuisine japonaise à la ferme. En 160 recettes et encore plus de photos, qui vont de la cuisson au sel des edamame (haricots de soja nouveaux) à la soupe paysanne aux légumes mijotée dans un chaudron et aux demi-oranges amères farcies au flan salé.
Notre vie tourne autour de la ferme et des champs. Les recettes de ce livre sont à la fois simples et faciles, parce que c'est ainsi que nous mangeons et que nous aimons vivre. J'aimerais que ce livre et les photos de notre ferme et de notre nourriture vous encouragent à entrer dans notre cuisine pour y découvrir ses odeurs et ses saveurs. Et j'espère qu'après avoir partagé la vie chaleureuse et agréable de notre ferme japonaise, vous vous sentirez rassasiés et heureux.
L'ivresse comme porte ouverte sur un ailleurs, dans la grande tradition chinoise.
L'ailleurs de la création où le vin déborde la raison, le temps suspendu des fêtes et des réjouissances, mais aussi les règles et les protocoles qui tentent d'en réguler l'usage. Jacques Pimpaneau entrelace réflexions, histoires, anecdotes, légendes et poèmes pour nous livrer les vertus du vin et de cet art de vivre à la chinoise que, durant des siècles, les plus grands artistes ont pratiqué avec outrance ou raffinement.
Jean papin, grand coureur de terres et traducteur du sanskrit, ouvre pour nous la porte du jardin secret des épices.
Dans un tour de l'inde en 162 recettes, avec toute sa rigueur et sa passion, il explique les savantes associations de saveurs qui font de la gastronomie indienne un art fondé sur le maniement des épices.
" j'ai d'abord choisi les grands classiques, dans certains cas rénovés, puis des compositions traditionnelles caractéristiques de chaque province, parfois luxueuses, parfois frugales et d'une réalisation aisée.
Enfin, puisque aucune gastronomie ne doit s'enliser dans l'immobilisme et la routine, quelques innovations sont proposées, telles que le mérou en papillotes au curry de fenouil, ou le magret de canard à la cardamome et à la coriande fraîche et citronnée, dit "magret du pandit". " et comme, en inde, médecine et maîtrise des épices sont étroitement liées, " notre désir n'est pas de trouver audience chez les amateurs de diététique amaigrissante, mais d'offrir aux curieux et aux gourmets l'occasion de jouir un peu plus intensément ".
Petite histoire des habitudes alimentaires en Chine : légendes, recettes de banquet, usages, règles et protocole de l'art de la table. Avec un choix de recettes traditionnelles simples à réaliser.
Qui n'a jamais rêvé de se transformer en petite souris pour surprendre l'intimité des peuples ? Voilà qui est chose faite pour les Japonais. En photographiant leurs bentô , ces cassecroûtes préparés à la maison que les Nippons emportent au travail pour le déjeuner, Satoshi Abe, avec l'aide de sa femme Naomi, nous révèle le quotidien de ces hommes et femmes.
Photographiés sur leur lieu de travail, ils sont de diµ érentes régions, rencontrés au cours de voyages qui ont mené les auteurs de Hokkaidô à Okinawa. 39 bentô , 39 vies. « Le bentô est quelque chose qu'on mange à deux. Celui qui le prépare et celui qui le consomme. On ressent l'amour de celui qui l'a confectionné, on lui est reconnaissant ». Un Japon peu connu, modeste et digne, raconté par les Japonais eux-mêmes.
Franchissant les hauts murs de la Cité Interdite, le lecteur pénètre dans le secret des offices où des cuisiniers venus des quatre coins de l'Empire élaborent les plats préférés de l'empereur Qianlong. Accompagnant eunuques et dames de cour, il parvient jusqu'à la table impériale, où une étiquette minutieuse régente chaque détail. Il pourra aussi, s'il le désire, expérimenter les recettes soigneusement choisies et conservées qui faisaient les délices de l'empereur et de sa cour.
Le Cambodge cache dans ses campagnes, dans le secret de ses familles, un trésor encore insoupçonné : une cuisine à la fois authentique et diverse, simple et originale.
La cuisine du Cambodge puise ses traditions dans le royaume d'Angkor, berceau de la civilisation khmère, et s'est transmise de mère en fille depuis les origines. Elle s'est enrichie au contact de la Chine et de l'Inde pour révéler tout son charme et sa subtilité : une alliance inimitable saveurs et de couleurs qui magnifient des ingrédients naturels. C'est ce trésor que les jeunes apprentis l'école de Sala Baï vous proposent ici de découvrir.
Pour près de la moitié de la population de la planète, le riz constitue la base de l'alimentation quotidienne : chaque Asiatique en consomme en moyenne 100 kilos par an. Le Livre du riz, c'est donc par excellence celui de l'Asie et de ses traditions, son
L'ivresse comme porte ouverte sur un ailleurs, dans la grande tradition chinoise.
L'ailleurs de la création où le vin déborde la raison, le temps suspendu des fêtes et des réjouissances, mais aussi les règles et protocoles qui tentent d'en réguler l'usage. jacques pimpaneau entrelace réflexions, histoires, anecdotes, légendes et poèmes pour nous livrer les vertus du vin et de cet art de vivre à la chinoise que, durant des siècles, les plus grands artistes - peintres, calligraphes, essayistes - ont pratiqué avec outrance ou raffinement.
Pense ci celui qui a planté l'arbre dont tu manges les fruits.
Simples ou recherchées, de l'inde au japon, du tibet à bali, voici, venues de tous les pays d'extrême-orient, plus de trois cents recettes savoureuses choisies avec soin. mais ce livre est bien plus qu'un livre de recettes. au gourmet curieux, à celui qui veut comprendre ou rêver, il explique l'histoire de chaque ingrédient et les traditions culinaires d'asie : disputant de l'origine des nouilles, racontant l'incroyable aventure de la découverte du thé, égrainant le riz des joies et des peines ou les poissons des vingt mille îles.
Une illustratrice, aurore de la morinerie, a ajouté son grain de sel pour le plaisir des yeux. emaillé de proverbes et de longues citations, complété d'un glossaire et d'index. le goût de l'asie de maït foulkes est le livre de référence de la cuisine asiatique à l'usage des occientaux.
Voici le premier livre sur la cuisine du Cambodge, une cuisine qui puise ses traditions dans le royaume d'Angkor, berceau de la civilisation khmère, et qui s'est transmise de mère en fille depuis les origines. Simple et originale,
authentique et diverse, elle s'est enrichie au contact de la Chine et de l'Inde, et révèle des trésors insoupçonnés: une alliance inimitable de saveurs et de couleurs qui magnifient des ingrédients naturels. Soixante-quinze recettes,
composées par le chef Joannès Rivière avec les apprentis de l'école de Sala Baï, vous proposent de faire la découverte de ce trésor culinaire. L'école de Sala Baï se situe à Siem Reap, ville en plein essor touristique aux portes
des temples d'Angkor. Ouverte par l'association Agir pour le Cambodge, elle accueille de jeunes Cambodgiens de familles très démunies et les forme aux métiers de l'hôtellerie. Les droits d'auteur de ce livre seront intégralement
versés à l'école, et permettront de financer davantage de cursus d'élèves.