Personne ne veut d'un putois sous son toit. Ils sont bruyants, odorants, encombrants... Alors, quand Blaireau apprend que son nouveau colocataire n'est autre qu'un représentant de cette espèce mal aimée, il manque de défaillir. Habitué à la solitude et au calme, toujours occupé à son Important Travail de Pierres, Blaireau n'était déjà pas ravi à l'idée de voir quelqu'un d'autre habiter sous le même toit que lui. Mais alors un PUTOIS... Pire, un putois sociable. Et c'est sans compter les poules qui l'accompagnent...
Un beau jour, l'Ours, un brin trop curieux, s'approche d'une rivière et... craac ! tombe à l'eau ! S'agrippant avec difficulté à un rondin bancal, il commence à dévaler le courant... et s'apprête à faire la rencontre de drôles d'animaux. Attention, risques d'éclaboussures !
Féli pense qu'elle est une licorne. Elle le sent au plus profond d'elle->même... Pourtant, Perruche et Gecko ne voient en elle qu'un petit chaton, et ne se gênent pas pour la rabrouer. C'est alors que débarque Lilicorne ! Face à son allure majestueuse, Féli rougit de ses prétentions, et se sent comme une vulgaire boule de poils.C'est alors que Lilicorne lui confie qu'elle n'est pas une licorne... mais une Féli-corne, tout comme Féli !
Fox le renard et Lapin sont copains. Ils font plein de choses ensemble. Ils vont à la foire et s'amusent sur une grande roue. À la plage, Lapin creuse un trou - ou plutôt entasse du sable pour en faire une montagne. Quand les deux amis trouvent une carte pour l'Île aux surprises, c'est la promesse de nouvelles aventures...
S'ils ne sont pas toujours d'accord, Fox et Lapin finissent à chaque fois par trouver un terrain d'entente. Ce qui compte, quand on est copains, c'est quand même d'être ensemble.
Mais qu'est-ce qui se passe dans l'école de Ben ?
Il y a du slime sur les murs, une odeur de fromage moisi flotte dans les airs, et le proviseur ne porte plus de chaussures...
Avec son amie Prince Koo, Ben est bien décidé à enquêter, mais les apparences sont trompeuses. Et d'ailleurs, c'est quoi ce truc de l'espace ?
Pop est le chien d'Emma et de Robert. Ils lui disent qu'il est très spécial, le trésor de ses maîtres, le seul, l'unique ! Jusqu'au jour où Flocon, un petit chat, entre dans leur vie... Pop n'est pas fan des chats, surtout que ce nouveau compagnon le suit partout.
En voulant trouver un endroit tranquille, Pop se retrouve enfermé dans la remise, et c'est grâce à Flocon que Sam et Céleste viennent le sauver... Et voilà, c'est maintenant Flocon le phénomène, le chat extraordinaire ! C'en est vraiment trop pour Pop qui, un jour de pluie, échafaude un plan pour se débarrasser de Flocon, quitte à décevoir ceux qu'il aime. Comprendra-t-il qu'il y a de la place pour deux dans le coeur de ses maîtres ?
Dans un grand manoir perdu au milieu d'une forêt, Frédéric vit reclus dans sa chambre. Allongé sur son lit, il s'ennuie. C'est alors qu'un avion en papier lui parvient : Emily, une petite fille qui n'a pas froid aux yeux, lui propose de sortir jouer ! Mais le jeune garçon est inquiet : et s'il attrapait froid ? Et s'il se cassait une jambe ? D'un avion en papier à l'autre, Emily fait tout pour le convaincre de la rejoindre...
Une petite fille entre dans une animalerie : elle veut un chien. Le vendeur la félicite pour son excellent choix, avant de lui proposer... un fourmilier. Interloquée, la fillette refuse, avant de se voir proposer une galerie d'animaux, tous plus incongrus les uns que les autres : un bébé babouin, un python, et même un lézard déguisé. Quand elle comprend que cette animalerie n'a pas de chien - une animalerie sans chien, a-t-on déjà vu ça ? - elle tourne les talons, furieuse. Mais le vendeur n'a pas dit son dernier mot...
La «philosophie» de la grammaire est, en fait, une réflexion sur la syntaxe. La révolution théorique opérée par Jespersen, qui travaille surtout à partir de l'anglais, consiste à refuser que les paradigmes d'élaboration de la grammaire soient presque exclusivement les langues mortes:il faut, au contraire, prendre appui sur les langues vivantes, et cesser de privilégier abusivement les énoncés écrits. Comme tout grand linguiste, Jespersen dispose d'une très vaste culture en matière de langues naturelles et ses exemples, pris dans toutes les cultures, permettent de mieux comprendre les phénomènes syntaxiques au terme d'une étude contrastive ou comparative. La thèse générale de cette «philosophie» est que l'humanité élabore des idées qui sont universelles mais qui s'expriment dans des structures profondes, lesquelles, dans chaque langue naturelle, se différencient par la fonction syntaxique et la forme grammaticale. De plus, Jespersen s'efforce de montrer le lien qui existe entre les catégories de la pensée logique et les formes grammaticales, ce qui est l'ébauche d'une théorie du jugement. Enfin, il pose la question épineuse et récurrente de la terminologie des objets grammaticaux tout en obéissant lui-même à un lexique clair et cohérent.