La terre et l'eau se sont unies pour se mettre au service de la région des charentes et du poitou.
Le climat s'en est mêlé en dotant les îles d'un vent marin qui apporte un printemps précoce favorable aux fleurs et aux primeurs. ainsi est née une cuisine de marins et de paysans, de marins-paysans, car les gens d'ici sont bien souvent l'un et l'autre. ils ont su marier les produits du sol, de l'océan, des rivières, des marais pour obtenir des saveurs envoûtantes, des goûts exquis, des odeurs subtiles.
Comment résister à cet appel magique ? on ne peut que se rendre et s'attabler. il serait vain de refuser de goûter à ces merveilles alors que votre palais est déjà tout émoustillé ! sylvianne léveillé vous convie à l'accompagner en charentes-poitou et vous propose un aperçu des nombreuses recettes que la région vous offre. ecoutant charentais et poitevins, marins et paysans, elle vous rapporte le meilleur de la tradition.
Régalez-vous en, feuilletant cet ouvrage.
Un des terroirs les plus riches en recettes originales et en produits de culture et d'élevage de grande qualité.
La gastronomie dauphinoise est aussi variée que son terroir d'origine.
Isère, Hautes-Alpes et Drôme nous font passer des neiges alpines au soleil provençal. Les ressources sont riches et diverses et l'on peut retrouver sur la même table des soupes bien nourrissantes, comme celle de Saint-Antoine, cousinant avec une délicate et parfumée truffade. Tomates, pommes de terre et huile d'olive voisinent avec le gratin dauphinois, et les ravioles avec la légère salade de Romans.
II faut encore citer les olives de Nyons, le gâteau de noix de Grenoble et les pognes, sans oublier la tarte aux pêches de Valence, le nougat de Montélimar, ou bien les poires, prunes, et abricots.
qui ne connaît la fameuse fondue ? la raclette ? le gâteau de savoie ? mais il y a tant à découvrir encore ! comme la montagne change au fil des saisons, la cuisine savoyarde se fait hiver, printemps, été et automne : la soupe du chalet pour le temps des frimas, le grapiau d'asperges à la mode de savoie pour le retour du beau temps, les truites de l'apremont pour les chaleurs estivales, la tourte aux myrtilles pour les douceurs automnales.
et l'on recommence l'année avec les punch des aravis pour affronter les rigueurs hivernales, la salade de pissenlits au beaufort quand les fleurs montrent le bout de leur nez, les andouillettes grillées à la savoyarde pour le temps des barbecues, les taillerins aux cèpes quand le paysage se pare de roux. on pourrait ainsi continuer longtemps tant la cuisine de cette région est riche et inventive. savourons-la puisqu'elle s'offre à nous ! hum !.
déguster un café des matins de savoie en contemplant le vertigineux mont blanc ! sylvianne léveillé vous souhaite cette expérience unique ! et à travers les recettes qu'elle vous apporte dans cet ouvrage, elle vous fait découvrir ou redécouvrir des plaisirs gourmands qui prolongeront ces instants magiques. suivez le guide. culinaire.
Du Châtillonais à la Vingeanne, du val de Saône à l'Auxois, des Tilles au Morvan, de la Côte à la Montagne, des Hautes-Côtes à la vallée de l'Ouche, de Dijon à Beaune, la Côte-d'Or est une mosaïque de pays qui s'emboîtent comme un puzzle.
Par la grâce départementale et sous un nom flatteur, ils trouvent leur unité bourguignonne sans perdre l'âme de leur terroir. Des années 1880 aux années vingt et comme partout ailleurs en France, c'est le choc de civilisation le plus rude de l'Histoire : une société rurale devient urbaine ; une société agricole devient industrielle ou de services. On passe sans transition du feu de bois à l'électricité, du cheval au moteur, des chemins de terre à la voie des airs.
Tout change et cependant, jusqu'à la Grande Guerre, tout reste stable. Mais la " civilisation lente " évoluera vite. Pratiquée par des amateurs éclairés ou des artisans populaires, la photographie naissante est le témoin constant de ces mutations. Pour la première fois sans doute, les humbles ont droit à la postérité. Réalisé à partir de nombreuses collections publiques ou privées, cet ouvrage ne porte pas seulement un regard nostalgique sur cette époque.
Il permet aussi de mieux comprendre le paysage au XXIe siècle. Sylvianne Léveillé et Jean-François Bazin réunissent ici leur passion pour la Côte-d'Or : une mémoire en images offerte au souvenir des uns, à la surprise des autres, commentée avec précision et chaleur.