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Mon voisin Totoro, Le Voyage de Chihiro, Princesse Mononoke, Le Château ambulant, Nausicaä de la vallée du vent, ... La création du mythique studio Ghibli... Avec l'invention de personnages aussi emblématiques que Totoro, Nausicaä, Princesse Mononoke ou Chihiro, Hayao Miyazaki est l'un des derniers maîtres vivants de l'animation japonaise. Cofondateur et âme vive du studio Ghibli, il fait partie de ceux qui ont donné au film d'animation ses lettres de noblesse, le sortant définitivement d'une niche purement enfantine ou réservée au circuit des courts métrages.
Capable de s'adresser à un public de tout-petits comme à des adultes, de faire rêver sur grand écran tout en abordant des thèmes comme la préservation de notre environnement ou le pacifisme, Hayao Miyazaki mêle les influences occidentales et la mythologie asiatique comme personne ne l'avait fait avant lui. Féministe, profondément engagé, passionné d'aviation et de mécanique, il réussit à nous entraîner dans ses univers film après film.
De surprises en émerveillements, ils nous deviennent tous familiers. Monument de l'animation japonaise, il a ouvert la voie à une nouvelle génération de cinéastes, au Japon comme en France, capables de créer comme lui leurs propres univers graphiques et de faire entendre leurs propres voix, leur valeurs. Scénariste, dessinateur, producteur, réalisateur, Hayao Miyazaki est avant tout un créateur de mondes, et le coeur du studio Ghibli.
Un coeur... à l'ouvrage.
Des pages de La Gazette du Sorcier aux incroyables produits vendus chez Weasley, cet ouvrage recueille tous les graphismes qui ont rendu le merveilleux monde de Harry Potter au cinéma si riche et si réaliste.
Tolkien est le père de la fantasy moderne. Il a inspiré des milliers d'artistes et de lecteurs à travers le monde, et son univers riche d'adaptations est considéré comme une référence absolue, la plus vaste oeuvre fantastique du XXème siècle. Mais quelles sont ses références à lui ? Quels mythes l'ont accompagné pendant l'écriture ? De quelles histoires de la mythologiques scandinave peut-on rapprocher ses elfes, ses gobelins, les trolls et toutes les créatures merveilleuses qui peuplent la Terre du Milieu ? D'où viennent ses mages blancs et le terrible Sauron ? Comment a-t-il constitué son alphabet elfique et runique, sa cosmologie, et tout ce qui fait du Seigneur des Anneaux une série brillante et éternelle ?
Découvrez avec Ilan Ferry les secrets de fabrication du Seigneur des Anneaux, et plongez dans ce qui a inspiré le monde fascinant de la Terre du Milieu.
En 1950, Jean Genet tourne clandestinement Un Chant d'amour, un court métrage expérimental - le seul film qu'il réalisera - interdit de projection durant vingt-cinq ans, qu'il considérait lui-même comme un « échec », ou une simple « esquisse ».
Ce livre propose en quelque sorte d'aggraver le problème du cinéma de façon a`faire d'un seul film le point sensible d'une poétique d'ensemble. Une poétique dont on peut deviner la secrète cohérence dans l'oeuvre de l'écrivain, et qui entoure Un Chant d'amour d'un faisceau de questions et d'hypothèses qui l'isolent davantage et lui donnent sa spécificité´. Un film qui semble lancé à la poursuite d'un objet incertain, un objet enfoui dans le film lui-même, et qui fait d'Un Chant d'amour un acte théorique autant que poétique.
Des strangulots aux dragons en passant par les sombrals ou les acromantules, ce recueil raconte comment ont pris vie toutes les plus célèbres créatures du monde magique de Harry Potter.
Le château de Poudlard, le Chemin de Traverse, la prison d'Azkaban, la gare de King's Cross... Cet ouvrage raconte comment ont été bâtis tous les lieux magiques issus du monde de Harry Potter.
Le présent recueil a pour ambition de montrer les auteurs au travail : les scénarios, qui divergent parfois sensiblement du film, sont accompagnés d'un appareil critique et d'une présentation qui permettent de retracer le cheminement du projet, depuis le choix du roman jusqu'au film achevé.
L'âge d'or de Hollywood possède aussi sa légende noire, sur laquelle personne n'a écrit avec autant de brio que Kenneth Anger. Addictions, viols, meurtres, manipulations en tous genres, procès... aucune des grandes stars du cinéma n'a échappé au scandale : Chaplin et ses nymphes, Lana Turner et son amant poignardé, Marlene bisexuelle, Erich von Stroheim et ses orgies démentielles... Kenneth Anger raconte chacune de ces histoires, avec un mélange d'amour, d'humour et de cruauté, qui annonce - en même temps qu'il dénonce - la presse de caniveau et les phénomènes contemporains du «people» et du «trash». Petit-fils d'une costumière de Hollywood, lui-même enfant-acteur, Kenneth Anger est l'auteur de films dont l'originalité radicale a influencé des cinéastes comme Lynch, Scorcese ou Fassbinder. Aux marges du cinéma, ou pendant les sixties aux côtés des Rolling Stones, il a contribué à définir l'esthétique la plus sulfureuse de la deuxième moitié du 20e siècle. C'est à Paris que Kenneth Anger avait conçu et fait paraître - en 1959 chez Pauvert - une version embryonnaire de Hollywood Babylone, son unique livre, publié intégralement aujourd'hui pour la première fois en français.
Rayon : young adult. Et si Aladdin n'avait jamais trouvé la lampe ? Quand Jafar vole la lampe du Génie, il utilise ses deux premiers voeux pour devenir sultan et le plus grand sorcier du monde. Agrabah vit dans la peur, en attendant son troisième et ultime voeu. Pour stopper le dictateur, Aladdin et la princesse Jasmine doivent unir le peuple d'Agrabah et organiser une rébellion. Mais très vite, leur combat pour la liberté menace de créer une guerre civile... Ce rêve bleu explore une version sombre et audacieuse du classique d'animation Disney, Aladdin.
"La tragédie s'accommode mal du smoking et du plastron en dentelles : elle s'est terriblement encanaillée. La tragédie, c'est la mort toute prête que l'on rencontre dans le monde des gangsters ou dans une période particulière, comme la guerre." De Martin Scorsese à John Woo en passant par Quentin Tarantino ou Jim Jarmusch, nombreux sont les cinéastes à se réclamer de Jean-Pierre Melville (1917-1973), tant celui-ci aura renouvelé le cinéma de genre.
Dans ce livre d'entretien devenu un classique depuis sa première parution en 1973, le cinéaste revient généreusement sur son parcours et la genèse de ses films. Il y aborde ses influences, son expérience de la Seconde Guerre mondiale, les grands thèmes de son oeuvre et son travail de metteur en scène. Peu à peu se profile une personnalité complexe, parfois contradictoire : le portrait d'un homme secret et orgueilleux, réputé pour ses brouilles et ses colères, mais porté par un amour inconditionnel du cinéma.
Cette nouvelle édition est augmentée d'un chapitre inédit sur Le Chagrin et la Pitié de Marcel Ophuls, qui avait marqué Melville à sa sortie en 1971, ainsi que d'une postface de Rui Nogueira. Rui Nogueira est journaliste et critique de cinéma. Ancien collaborateur d'Henri Langlois à la Cinémathèque française, il a écrit pour de nombreuses publications, dont la célèbre revue anglaise Sight and Sound.
D'Expelliarmus à Wingardium Leviosa, ce recueil contient tous les sortilèges et les charmes les plus connus du monde magique de Harry Potter.
Passé la Loire, c'est l'aventure est épuisé depuis longtemps. A l'occasion de la rétrospective de son oeuvre organisée à Lyon par le festival Lumière, et de la restauration de nombreux de ses films, l'Institut Lumière et Actes Sud ont décidé de rééditer un ouvrage qui dit la place du cinéma dans la culture populaire de l'après-guerre.
Le Monde de Nemo..
Toy Story.
Blanche-Neige et les Sept Nains.
Le Roi Lion.
Shrek.
Kung Fu Panda...
Avec ce coffret, les plus grands studios d'animation états-uniens n'auront plus aucun mystère pour vous ! Walt Disney, Pixar et Dreamworks ont marqué chacun à leur manière le monde du cinéma d'animation et continuent aujourd'hui de faire rêver petits et grands au fil de leurs productions ambitieuses. Ces trois mooks vous plongeront dans les coulisses des studios et de leurs créations au fil d'entretiens, de chroniques et d'anecdotes, mais également de dossiers thématiques et transversaux, de portraits de personnalités emblématiques et d'illustrations inédites. Trois studios de légende vous ouvrent leurs portes !
Rosalie Varda-Demy et Emmanuel Pierrat nous convient à une promenade inédite dans le monde féerique et troublant du film Peau d'Âne, écrit et réalisé par Jacques Demy et mis en musique par Michel Legrand. On peut s'arrêter sur une chanson du film, sur un texte décryptant les couleurs, un thème, une scène, un personnage, un décor, et voir la sublime princesse interprétée par Catherine Deneuve dans ses robes couleur de Lune, Soleil ou couleur du temps, sans oublier de feuilleter le texte original en vers du conte de Charles Perrault, paru en 1694. Avec des citations de Catherine Deneuve, Jacques Perrin, Michel Legrand, Jim Leon (décors), Agostino Pace (costumes), Agnès Varda, Jacques Demy, bien sûr, et des souvenirs de Rosalie Varda-Demy, adolescente au moment du tournage. Une nouvelle édition augmentée pour célébrer le 50e anniversaire du film.
Comment le cinéma français est-il structuré ? Comment analyser le regard des différentes catégories de spectateurs ? Comment se fabriquent collectivement les films ? Comment le cinéma parle-t-il du monde social ?
Ce livre s'interroge sur la polarisation du cinéma français entre cinéma commercial et cinéma d'auteur. Il analyse ensuite la consommation des films à travers l'étude de la fréquentation des salles, des pratiques de visionnage et des préférences des publics, sans oublier le rôle des intermédiaires, distributeurs et salles de cinéma. Il montre également les modalités concrètes de fabrication des films, de constitution des équipes et les rapports de force (en termes de statut, de genre, etc.) propres aux différents métiers (techniciens, réalisateurs, producteurs et acteurs, diffuseurs, administrateurs, etc.). Enfin, il s'intéresse aux relations entre cinéma et sociologie : dans quelle mesure peut-on considérer le cinéma comme un mode de connaissance du monde social ?
Le meilleur de la série STRANGER THINGS est réuni dans ce guide idéal pour accompagner ses errances, que ce soit à l'école, dans sa vie sociale, ou dans une dimension parallèle...
L'année 1984-85 ne s'annonçait pas différente des autres à Hawkins, et pourtant, des choses incroyables se sont produites : dans ce livre sont retranscrits tous les grands moments de l'année grâce aux témoignages de tous ceux qui en ont été les héros.
À l'occasion des cinquante ans du film monument de Stanley Kubrick, « 2001 : l'Odysée de l'espace, » Actes Sud et l'Institut Lumière publient un recueil d'articles parus dans la revue « Positif » depuis la sortie du film. Véritable chef-d'oeuvre qui a su révolutionner la science-fiction, ce film a marqué son temps, en évoquant avec philosophie des sujets comme la conquête spatiale et l'évolution de l'espèce humaine. Ce court recueil, premier d'une nouvelle collection, remet au goût du jour les grands papiers parus dans Positif au sujet des films et des auteurs qui ont marqué nos vies.
Un siècle après sa naissance, le cinéma connaît une croissance régulière portée par de nouveaux marchés. Engagé dans une mutation numérique, il combine grande stabilité et profondes transformations. La production, malgré une internationalisation, n'a pas connu de bouleversement majeur. La distribution a composé avec l'arrivée des géants du numérique, les GAFAN, qui a accompagné le développement de nouveaux modèles économiques et de nouveaux modes de consommation (abonnement illimité) qui se superposent aux autres formes de consommation, comme la salle.
Stratégique sur les plans culturel, commercial et diplomatique (soft power), le cinéma a toujours fait l'objet d'une attention des pouvoirs publics. Sa régulation doit s'adapter à un contexte évolutif et à une concurrence internationale, où l'importance du cinéma américain est confrontée à un monde plus polycentrique.
L'économie de ce secteur majeur et mondial et ses enjeux contemporains sont ici décryptés.
Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir.Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l'unique activité est d'assassiner des adolescents à l'arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l'image de ses inoxydables psychopathes, s'adaptant à l'air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s'explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l'apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu'il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits etson progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n'est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir.Au travers de dossiers, d'articles, de tops et d'interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais populaire au sein de la culture populaire.
De Walt Disney à Hayao Miyazaki en passant par Paul Grimault, Jan Švankmajer ou encore Bill Plympton, comment découvrir ce continent extraordinaire qu'est le cinéma d'animation ?
Le Cinéma d'animation en 100 films propose un parcours chronologique à travers 100 films qui ont marqué l'histoire de l'animation. Chefs-d'oeuvre reconnus ou films oubliés, projets artistiquement ou économiquement audacieux, marquant un tournant historique ou une impasse apparente : ce sont aussi 100 aventures cinématographiques qui sont racontées, avec une attention particulière aux circonstances de production et de réalisation des films, à leurs enjeux esthétiques et à leurs auteurs. Le panorama est vaste : historique (des origines à nos jours), géographique (de l'Afrique au Japon), esthétique (du cinéma expérimental aux productions commerciales), technique (de la pâte à modeler aux images de synthèse).
Né dans le 14e arrondissement, Michel Audiard fréquente l'école de la rue du Moulin-Vert puis le Vél' d'Hiv' de la rue Nélaton. Pendant l'Occupation, il s'inscrit en école de soudure pour échapper au STO.
Mais c'est comme porteur de journaux à bicyclette qu'il entame sa vie professionnelle. La proximité avec les journalistes, qu'il croise dans les cafés des grands boulevards, lui vaut cependant de passer de l'autre côté du miroir, sa faconde naturelle nourrissant de longs articles « de notre envoyé spécial en Indochine » d'autant mieux informés que l'intéressé prend soin de les rédiger sans quitter sa mansarde ! Suivent les critiques de films, qu'Audiard compose sans s'infliger d'assister aux projections... Ces premiers pas le mènent à Cinémonde... Un producteur ne tarde pas à lui demander un premier scénario, Mission à Tanger en 1949... qui sera suivi de nombreux autres. Entre 125, rue Montmartre, Les Barbouzes, Les Tontons flingueurs... comme scénariste et/ou dialoguiste, Audiard truffera ses oeuvres de décors familiers et de références au Paris de sa jeunesse. Celui des concierges assises sur le pas de leur porte, des pistards tournant sans relâche au Vél d'Hiv', des Halles en effervescence... et de la réplique gouailleuse qu'un titi ne manquera de faire glisser sur le zinc... « Toute une époque ! » disait Blier dans Les Tontons.
Pierre Sky introduit dans cet essai le concept de chant-contre-chant, qui désigne la superposition de « deux types de voix dans la bande-son d'un film : celle d'un artiste qu'on entend chanter par le biais d'une platine, d'une radio ou d'un juke-box, par exemple, et celle d'un ou de plusieurs personnages qui reprennent simultanément la même chanson. » Il montre comment ce procédé narratif traverse en réalité toute l'histoire du cinéma parlant et, en fils spirituel de Serge Daney, il mène son analyse sur plusieurs fronts : celui du cinéma, bien sûr, qu'il soit d'auteur ou populaire (l'auteur aborde des films aussi variés que Casablanca ou Les Gardiens de la Galaxie), mais aussi celui de l'imagerie télévisuelle (et notamment l'émission Carpool).
On y constate que, s'il est parfois périphérique ou simplement ornemental, le chant-contre-chant revêt une fonction bien plus profonde, voire centrale, chez Nanni Moretti, dont l'oeuvre sert de fil rouge à cet essai.