Le tout premier Goûter philo propose aux enfants de réfléchir sur le cycle de la vie et de la mort, sur la valeur et l'importance de chaque être vivant et sur notre rapport à la mort et au devenir de notre planète.
Comment on sait que quelque chose est vivant ?
Pourquoi la mort fait-elle souvent peur ?
Pourquoi est-ce qu'on meurt ?
Et si personne ne mourait ?
Qu'est-ce qui reste quand on est mort ?
Y a-t-il des vies plus importantes que d'autres ?
À quoi ça sert de penser à la mort ?
Est-ce qu'on choisit sa vie ?
C'est drôle à dire, mais nous mourons parce que nous vivons. Le caillou ne meurt pas parce qu'il ne change pas. Tout ce qui pousse, grandit, change, meurt un jour.
C'est quoi, la différence entre garçon et fille ? Une femmelette, ça existe ? Et un garçon manqué ? Le Goûter philo Les Garçons et les Filles pour réfléchir à la question du genre. Les Goûters philo aident les enfants à réfléchir aux questions importantes qu'ils se posent. Toute une série de livres clairs, directs et drôles pour éveiller aux idées.
Le Goûter philo Le Respect et le Mépris propose aux enfants de réfléchir sur ces deux notions au coeur des relations entre humains.
Qu'est-ce que ça veut dire se faire respecter ?
Est-ce que tout le monde a droit au respect ?
Est-ce qu'on peut se respecter soi-même ?
Peut-on mépriser quelqu'un sans le faire exprès ?
Le respect, cela s'apprend ?
On s'imagine qu'en se faisant obéir, on se fait respecter. On s'imagine qu'en se faisant craindre, on se fait respecter. Confondre le respect avec la politesse, l'obéissance, la peur ou d'autres choses, c'est embêtant : à force, on ne saura plus ce que c'est, le respect, le vrai.
Pourquoi le travail que donne le professeur, ça s'appelle les devoirs ? A-t-on plus de droits ou de devoirs ? Comment on sait qu'on a le droit de faire quelque chose ? Le Goûter philo Les Droits et les Devoirs pour réfléchir à la vie en société.
Les Goûters philo aident les enfants à réfléchir sur les questions importantes qu'ils se posent, ici sur ces deux notions que sont les droits et les devoirs. Toute une série de livres clairs, directs et drôles pour éveiller aux idées.
La colère fait peur : on parle de rage, de fureur. On dit aussi de celui qui est en colère qu'il n'est plus lui-même. Bref, face à la colère, il n'y aurait qu'une chose à faire : la combattre, l'éviter, et même l'empêcher de naître.
Mais qu'en est-il vraiment ? La colère n'est-elle pas une force de résistance et de révolte autant qu'une force d'agression et de destruction ? N'est-il pas parfois légitime, voire raisonnable, d'entrer en conflit ?
Toute la question est alors de savoir jusqu'où il nous est possible de contrôler nos colères et de nous assurer que nous ne nous trompons pas d'objet ni ne manquons nos objectifs.
Le Goûter philo Moi et les autres pour réfléchir à la place que chacun donne à l'autre, cet autre très différent de moi, qui est un semblable, un humain.
Pourquoi, quelquefois, les autres nous font peur ?
On peut se mettre à la place de quelqu'un d'autre ?
Le racisme, c'est quoi ?
Est-ce que je pourrais vivre tout seul ?
Pourquoi on est tous différents ?
Pourquoi on se sent jugé par les autres ?
Pourquoi ça fait du bien d'avoir des amis ?
Comment on sait ce qui se passe dans la tête des autres ?
Comment avoir une idée de ce que l'on est, sans les autres ? Comment savoir si l'on est gentil, méchant, jaloux, affectueux, attentionné... si les autres ne sont pas là ? Pour se connaître, on a besoin de passer par les autres.
Qui est susceptible de nous trahir ? D'où viennent les trahisons qui déchirent une relation et nous laissent dans une grande détresse ? De nos proches bien sûr, de ceux en qui nous avons placé toute notre confiance. Pour qu'il y ait trahison, il faut d'abord qu'il y ait eu de la confiance. Alors forcément la question se pose : faut-il décider une fois pour toutes de ne plus jamais faire confiance pour se protéger de l'éventualité d'une trahison et de l'atroce douleur qui l'accompagne ? Ou bien devrait-on prendre le risque de la trahison afin de goûter au plaisir de s'abandonner à l'autre, de vivre le bonheur d'aimer et de tout partager, de se confier ?
Le 48e Goûter philo propose aux enfants de réfléchir à la question du rôle des artistes et de l'art dans la société. Van Gogh, Picasso, Léonard de Vinci... Quelle place les artistes occupent-ils dans notre société ? Que nous apportent-ils ? Pourrions-nous nous passer d'eux ?
Les agriculteurs, les architectes, les artisans, les commerçants, les professeurs... ont tous une raison d'être bien définie : leurs activités répondent à des besoins liés à la survie ou à la vie en société. Mais qu'en est-il des artistes ? Certaines oeuvres d'art ont le pouvoir d'orienter notre regard là où il n'allait pas, elles peuvent aussi nous toucher, nous bouleverser, nous faire réfléchir, et parfois transformer quelque chose en nous et dans notre manière d'être. Dans le monde actuel, que l'on appelle une société de consommation, les oeuvres d'art sont-elles englouties dans la masse des produits de divertissement, à consommer, ou peut-on et sait-on encore repérer des oeuvres d'art à contempler ?
De quoi a-t-on besoin pour obtenir des succès ? Est-ce que les échecs servent à quelque chose ? C'est quoi, avoir la grosse tête ? Être en échec scolaire, cela veut dire être tout entier un échec ? Pour réussir on a besoin que les autres y croient. Les succès et les échecs, on les rencontre quand on est gourmand de la vie, gourmand de projets, quand on se lance et qu'on ose faire des expériences. Le Goûter philo Le Succès et l'Échec pour réfléchir aux expériences de la vie.
La nouvelle édition du Goûter philo Le Succès et l'Échec, pour réfléchir sur ce que sont, philosophiquement, ces deux notions.
Qui est susceptible de nous trahir ? D'où viennent les trahisons qui déchirent une relation et nous laissent dans une grande détresse ? De nos proches bien sûr, de ceux en qui nous avons placé toute notre confiance. Pour qu'il y ait trahison, il faut d'abord qu'il y ait eu de la confiance. Alors forcément la question se pose : faut-il décider une fois pour toutes de ne plus jamais faire confiance pour se protéger de l'éventualité d'une trahison et de l'atroce douleur qui l'accompagne ? Ou bien devrait-on prendre le risque de la trahison afin de goûter au plaisir de s'abandonner à l'autre, de vivre le bonheur d'aimer et de tout partager, de se confier ?
L'enfant veut très tôt comprendre la société, quand il voit ses parents discuter autour de lui. L'économie consiste à comprendre les mouvements de la société, pour l'améliorer. Nous donnons la possibilité à un enfant de collège de comprendre l'économie réelle, qui fait vivre l'agriculture et les industries.
L'économie est physique. Elle dépend des découvertes scientifiques. Ainsi chacun peut ou pourrait obtenir mieux en meilleures quantités, avec moins d'efforts. Nous ne faisons que transformer notre univers créatif car il a créé la vie. Nous nous élevons à notre tour en êtres créatifs, afin d'améliorer notre société.
Il est possible que le développement de notre société, créée grâce à notre créativité, puisse aller vers l'infini si nous abandonnons la cupidité de l'argent, grâce à une réflexion scientifique et philosophique voulue par Platon.