À propos

Le cinéma est une arme de guerre.

Paris, sous l'Occupation, septembre 1941. Un incendie dans le cinéma Le Concordia détruit la pellicule d'un film de propagande nazi. Chargé de résoudre l'affaire, le commissaire français Engelbert Lange découvre sur les lieux qu'il est surveillé par la Gestapo. Car c'est la deuxième fois qu'un acte similaire est perpétré dans la capitale, les autorités allemandes prennent donc la chose très au sérieux : la piste terroriste est privilégiée. Son enquête va conduire Lange dans le monde du 7e Art. Il va découvrir l'intensité créatrice et le vent de liberté qui subsistent dans un Paris sous tension. Mais entre la pression de ses supérieurs et celle de l'occupant, il va surtout devoir rendre des comptes... et voir resurgir de vieux démons.

À travers ce polar historique bien ficelé et dessiné par la prometteuse Alicia Grande, Laurent Galandon nous fait arpenter les rues d'un Paris occupé où le cinéma peut aussi bien servir à contester le pouvoir qu'à le maintenir. Une enquête en deux volumes.


Rayons : Bandes dessinées / Comics / Mangas > Bandes dessinées > Ados / Adultes > Policier / Thriller


  • Auteur(s)

    Laurent Galandon, Alicia Grande

  • Éditeur

    Glenat

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    05/02/2020

  • Collection

    24x32

  • EAN

    9782344018804

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    64 Pages

  • Longueur

    32 cm

  • Largeur

    24 cm

  • Épaisseur

    1.2 cm

  • Poids

    680 g

  • Série

    retour de flammes

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Relié  

Laurent Galandon

  • Pays : France
  • Langue : Francais

Il ne serait pas indu de dire de Laurent Galandon qu'il est le scénariste des opprimés. En seulement cinq ans, cet auteur a signé nombre d'albums dont le trait commun semble être une certaine volonté d'ouvrir les yeux du public sur le sort réservé à certains populations ou individus.

Des enfants déportés de « L'envolée sauvage », aux gitans de « Quand souffle le vent », en passant par les Algériens de « Tahya El-Djazaïr », Galandon aime dépeindre le sort des damnés de la terre. Exercice périlleux auquel il se livre toujours avec une grande sensibilité, multipliant les collaborations – autour de one-shots ou diptyques, la plupart du temps. Ses dialogues minimalistes et la grande part laissée aux silences et aux émotions ont vite conquis le coeur du public, faisant de Laurent Galandon une étoile montante du scénario.

Nullement rassasié, il fait une nouvelle fois montre de son éclectisme, en signant conjointement un projet sur les femmes islamistes kamikazes et en ressuscitant le temps des apaches à travers l'histoire de Casque d'Or.

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