Par les champs et par les grèves : voyage en Bretagne (préface Michel Canèvet)

À propos

1) Un hommage à la Bretagne, à l'occasion du bicentenaire de la naissance de Gustave Flaubert.
2) De nombreuses illustrations des lieux visités...
3) La passion d'un sénateur breton pour ce texte, et pour le personnage, avec plusieurs manifestations prévues pour soutenir le livre.

Par les champs et par les grèves (voyage en Bretagne) est un récit de voyage écrit par Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, rédigé en 1847 et publié séparément entre 1852 et 1881. Pour Flaubert, ce voyage a été « une fort jolie excursion ». Sacs au dos et souliers ferrés, ils ont fait tous deux 800 kilomètres dans des conditions parfois diffi ciles. Flaubert se déclare très satisfait de son expédition, impressionné par la mer, « le grand air, les champs, la liberté, j'entends la vraie liberté, celle qui consiste à dire ce qu'on veut, à penser tout haut à deux, et à marcher à l'aventure en laissant derrière vous le temps passer sans plus s'en soucier que de la fumée de votre pipe qui s'envole. » En fait, il est désolé d'arriver au terme de son équipée à travers la Bretagne, commencée un matin de mai 1847 : deux écrivains à l'aube de leur carrière partant à l'aventure dans une région alors assez sauvage, loin de la « civilisation », loin du tapage du monde...

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    Gustave Flaubert

  • Éditeur

    Magellan & Cie

  • Distributeur

    Dod & Cie

  • Date de parution

    12/11/2021

  • EAN

    9782350746418

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    224 Pages

  • Longueur

    24 cm

  • Largeur

    17 cm

  • Poids

    630 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Gustave Flaubert

Gustave Flaubert (1821-1880) est l'un des grands maîtres de la littérature française. Ses romans réalistes "Madame Bovary" (1857) et "L'Éducation sentimentale" (1869) sont encensés, malgré un procès pour « outrage à la morale publique religieuse et aux bonnes moeurs » dont il sort acquitté. Il composait ses phrases comme des partitions de musique classique, dont il testait la solidité à l'oral dans son célèbre « gueuloir ». Tandis que l'immense "Bouvard et Pécuchet" (1881), inachevé, ne verra le jour qu'à titre posthume, « Un coeur simple », écrit dans la maturité de l'auteur, est l'un des "Trois contes" (1877), dernier livre publié de son vivant.

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