La pierre de lune (préface Isabelle Viéville Degeorges)

Traduit de l'ANGLAIS par MARGURITE DE VAUDREUIL

À propos

Dans une statue hindoue se trouve un mystérieux diamant jaune appelé « pierre de Lune ». Durant les combats de Srirangapatna en 1799, elle est dérobée par le colonel Herncastle. Peu avant sa mort, celui-ci la lègue à sa nièce, Rachel Verinder. Mais à peine l'a-t-elle reçue que la pierre de Lune, qui se trouvait dans un tiroir de sa chambre, est volée en pleine nuit !
Tous sont suspects : Miss Rachel, sa mère Milady Verinder, ses cousins et prétendants : l'aventurier Franklin Blake et le charitable Godfrey Ablewhite, Rosanna Spearman, femme de chambre au passé douteux, la dévote Miss Clack, M. Murthwaite, explorateur des Indes, l'homme de loi Matthew Bruff, le nerveux Dr Candy et son antipathique assistant Ezra Jennings... mais surtout trois inquiétants brahmanes.
Seul le vieux valet Gabriel Betteredge paraît insoupçonnable, ainsi que le célèbre détective Cuff. Douze témoins, douze narrateurs qui se suivront pour élucider le mystère.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Wilkie Collins

  • Traducteur

    MARGURITE DE VAUDREUIL

  • Éditeur

    Archipoche

  • Distributeur

    Interforum

  • Date de parution

    24/04/2013

  • Collection

    Archipoche

  • EAN

    9782352874546

  • Disponibilité

    Manque sans date

  • Nombre de pages

    500 Pages

  • Longueur

    18.1 cm

  • Largeur

    11.3 cm

  • Épaisseur

    3.8 cm

  • Poids

    364 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Wilkie Collins

  • Naissance : 1-1-1824
  • Décès :1-1-1889 (Mort il y a 136 ans à l'âge de 65 ans)
  • Pays : Royaume Uni
  • Langue : Anglais

Né en 1824 et mort en 1889, inventeur du thriller contemporain, William Wilkie Collins influença jusqu'à Borges qui voyait en ses romans la première expression de la fiction moderne. Passé maître dans l'art de tisser des intrigues infernales, il aimait dire et montrer ce qu'il était convenu de taire et de cacher : un principe qu'il utilisa merveilleusement pour dépeindre l'hypocrisie de la haute société victorienne et de ses prétendues bonnes moeurs.

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