Le dépouilles de Poynton

Henry James

Traduit de l'ANGLAIS par SIMONE DAVID

À propos

Mrs. Gereth a consacré son existence à réunir des oeuvres d'art incomparables pour orner son manoir de Poynton, devenu célèbre dans toute l'Angleterre.

Quand son fils et unique héritier décide de se marier, elle se voit contrainte de lui céder sa demeure, ce à quoi elle pourrait se résigner si le brave garçon, au coeur d'or mais sans grand discernement, n'avait choisi pour épouse une parvenue au goût résolument vulgaire Laisser l'oeuvre de sa vie aux mains d'une béotienne est un supplice pour la machiavélique Mrs. Gereth, d'autant qu'elle est certaine d'avoir trouvé pour son fils - et pour ses collections - la compagne idéale en la personne de Fleda Vetch, belle jeune femme désargentée..

Publié en 1897, la même année que Ce que savait Maisie, Les Dépouilles de Poynton s'inscrit dans la lignée des grands chefs-d'oeuvre d'Henry James.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Henry James

  • Traducteur

    SIMONE DAVID

  • Éditeur

    Sillage

  • Distributeur

    Sillage

  • Date de parution

    23/06/2015

  • EAN

    9791091896344

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    224 Pages

  • Longueur

    16.5 cm

  • Largeur

    11.5 cm

  • Poids

    200 g

  • Support principal

    Poche

  • Dewey

    800

Infos supplémentaires : Broché  

Henry James

Né à New York en 1843, mort à Londres en 1916, Henry James qui prit la nationalité anglaise un an avant sa mort, est l'écrivain qui a dépeint le plus finement la distance, qui n'a cessé depuis de s'élargir, entre l'esprit européen et la sensibilité américaine. C'est à Londres où il s'établit à partir de 1876 qu'il écrit ses plus grands chefs-d'oeuvre. Une série d'études sur la femme américaine dans un milieu européen fut inaugurée par Daisy Miller (1878). Le thème opposant innocence américaine et sophistication européenne se retrouve dans Les Européens (1878), Washington Square (1880), Les Bostoniennes (1885) et « Reverberator » (1888) et atteint sa conclusion avec Les Ambassadeurs (1903) où la civilisation est définie comme « la tradition ininterrompue de culture que l'Europe occidentale hérita du monde antique ».
La Différence a publié en poche dans « Minos » : « Reverberator », Une vie à Londres, L'Autre Maison, Heures italiennes, Esquisses parisiennes, Le Sens du passé et La Scène américaine.

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